La Manuel D Epictete

Cyrénaïque cherche à éprouver le plus de plaisir Hobbes Les stoïciens cherche à ne plus éprouver de désir, ils ne veulent rien de plus. Ils veulent être comblé. En troisième axe on peut opposer le plaisir Au bonheur Texte 4 : Epictète, Manuel, 2ieme siècle av Jc Épictète n’est pas son vrai nom, cela signifie esclave Le seul bonheur qui soit sûre et à notre portée et celui qui ne dépend que de nous. Le plaisir, la richesse et la gloire ne peuvent donc pas nous rendre heureux, contrairement à ce

est important, c’est l’âme, pas le luxe. Le luxe ne dépend pas de l’âme, ne dépend pas de nous donc est étrangé. Les choses étrangères à nous, qui ne nous constituent pas. La raison, le dieu est une partie de nous. C’est notre âme. * Epictète, Manuel, I, 1-3 Tout ce que nous faisons dans notre esprit, dépend de nous, tout ce qui n’est pas en nous, you ce qui n’est pas l’âme sont des choses dont on peut se passer. Si on se limite à ce qui dépend de nous, on vivra heureux. On se sera

la sagesse dans le Manuel Epictète nous parle de un bateau métaphorique. Dans celui-ci l’homme a des devoirs concernant le bateau, le capitaine et ses occupants. La vie est comme un voyage en bateau l’homme a des devoirs envers le monde ou il vit et ses contemporains. Epictète nous parle également du rythme du voyage, qui va plus vite ou plus lent. Dans la vie on est soumis au rythme du temps de la nature et de l’histoire, on doit accepter ce rythme et nos devoirs. Pour Epictète la sagesse concerne

Pour le philosophe et tout comme le disait Epictète, chacun est « une pauvre âme qui porte un cadavre » ; ainsi, la mort n’est autre que la continuité de la vie. Marc Aurèle établit donc un raisonnement hypothético-déductif où il démontre à tous que rien n’est effrayant dans la mort si ce n’est l’idée que l’on se fait d’elle. En effet, nous ne perdons, par elle, que ce que nous possédons. Or ce que nous possédons n’est que 1 ’instant présent, donc la mort ne nous ferait rien perdre d’autre que l’instant

pleine ville en demandant la charité est contradictoire. De plus, demander l’approbation des autres en affichant publiquement son indépendance d’esprit prouve le besoin paradoxal de reconnaissance sociale, comme l’a souligné avec justesse Épictète dans le Manuel. L’être humain est un animal qui a besoin des autres pour survivre, et dont la liberté ne peut s’exercer qu’à l’égard de contraintes et en impliquant une part de responsabilité. Résister, protester, ridiculiser, se révolter, comme le font

Aborder les plaisirs avec prudence Toujours des occasions de jouir se présentent à l’homme. C’est pourquoi il doit apprendre à les examiner et à voir combien la jouissance qui en découlerait est peu de chose comparée au plaisir de l’abstinence. Pour Epictète (50-130), dont la devise était « Supporte et abstiens-toi », il s’agit là de se rendre parfaitement indifférent aux choses et circonstances extérieures. « Si ton imagination te présente l’image de quelque volupté, alors, comme toujours, veille

désir ? Les anciens ont bien souvent condamné le désir au nom du bonheur « Quant au désir, pour le moment, renonces-y totalement : car si tu désires l’une des choses qui ne dépendent pas de nous, tu ne seras pas heureux, c’est inévitable » Epictète, Manuel . A la suite de Descartes et de Spinoza , les modernes ont davantage insisté sur la positivité du désir. Désirer, bien sûr, c’est prendre des risques. Mais si nos passions, qui sont les formes exacerbées de nos désirs, peuvent être dangereuses

(environ 30 mots) À la fin de son travail, l'auteur résume son argumentation et montre qu'elle justifie sa prise de position. 3- Exemple Sophie ANONYME Groupe 6134 15 mars 1995 Faut-il être passif devant le destin? Dans son Manuel, Épictète prétend qu'il faut accepter complètement les choses qui ne dépendent pas de nous. Il faudrait demeurer impassible face au départ de notre amoureux ou à la mort de nos parents. Mais une telle position est-elle humainement acceptable? La philosophie

avec moi-même. La société des hommes ne cesse de m’influencer. Je dois me plier à mille contraintes. Dès lors que je m’attache à une personne, me voilà dépendant d’elle. C’est pourquoi Epictète conseille à celui qui veut être libre de n’avoir « ni attrait ni répulsion pour rien de ce qui dépend des autres »(Manuel). Seul, je respecte ma propre nature et n’obéis qu’à elle. L’enfer c’est les autres Sartre, dans Huis-Clos, déclare : « L’enfer, c’est les autres. » Ce sont toujours les autres qui limitent

éphémère ?4 I. Bonheur et désir4 A. L’hédonisme4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès)4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure)5 B. Le stoïcisme6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle)6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas6 b. Modifier nos désirs7 c. La vertu, c’est le bonheur7 d. Être conscient des maux qui nous guettent7 e. Conclusion8 2. Un Stoïcien original : Spinoza8 C. Le pessimisme10