La Marche Du Compagnon

(6000a Avt JC). Toutes les grandes civilisations m’ont connu, utilisé voire vénéré comme en Egypte, en Grèce, à Rome, en Inde et au Méxique. Je suis de notoriété universelle le plus vertueux, le plus fidèle des animaux et le plus honnête des compagnons de l’Homme. J’aime qu’on m’adore. Les égyptiens, par exemple, ne pouvaient parler de fidélité sans citer mon nom. J’aime bien Schopenhauer et Nietzsche qui pensent tous deux que l’animal est meilleur que l’homme. Aujourd' hui dans mon Orient

à travailler sur ce symbole…Content car la première idée qui m’ait venue à l’esprit en pensant à la chaine d’union, c’est ce moment fort, un moment clé dans notre rituel…L’un des moments où nous sommes tous en interaction…Vénérable, Maitre, Compagnon, Apprentis sont en communion…Cette première idée qui m’est venue à l’esprit est pourtant bien éloignée du sens commun qui était aussi le mien avant de vous rejoindre… Commençons comme d’habitude par définir les mots Chaine vient du latin Catena

30 Lève-toi prends ton lit Et marche – marche ou crève (mais tu ne bouges pas tu n’entends pas tu rêves assis devant la table 35 a main sur le poème que tu viens d’achever) Signes particuliers - Vahé GODEL L'Albatros de Charles Baudelaire, extrait Les Fleurs de mal (1857-1859). Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres

3 B. La république 3 a. Le statut servile 4 b. L’affranchissement 5 c. Les guerres serviles 6 i. Les gladiateurs 6 ii. Spartacus, « le prince des gladiateurs » 7 1. Les prémices de la révolte 7 2. L’évasion 8 3. La longue marche 8 4. Crassus, un homme obstiné 9 5. Epilogue 10 6. Qui était vraiment Spartacus ? 10 A. L’Empire 11 III. Réflexion sur la révolte 13 A. Introduction 13 B. Les origines métaphysiques de la révolte 14 C. La pensée de midi 15

Les pas de l’apprenti Les pas de l’apprenti nous ramènent me semble t-il à notre initiation Tout dans la posture et l’exécution de la marche rappelle les émotions ressenties à l’initiation Si je devais exprimer un ressenti sur les pas de l’apprenti, ce serait d’abord à travers la posture physique, ensuite l’entrée dans le temple et enfin les 3 pas successifs. Il me semble que chacune de ces phases sont chargées d’une symbolique puissante. La posture : La position dite à l’ordre, c'est-à-dire le

terminent jamais. Au tout début de la vie maçonnique, on vit dans un espace à deux dimensions, la longueur et la largeur du Temple, c’est le but de l’enseignement au grade d’apprenti et au grade de compagnon. Les marches respectives de ces deux grades nous maintiennent sur Terre. Au grade de maître, la marche nous apprend la notion d’espace en enjambant le corps de notre maître Hiram. Et en principe nous prenons conscience que nous nous déplaçons dans un univers à trois dimensions. Notre regard peut

une discipline stricte. Composé de membres égaux unis par un serment. Ils vont se réunir librement pour traiter de leurs intérêts, les salaires, les conflits de travail. C’est un monde hiérarchisé, sur 3 niveaux : * Les apprentis * Les compagnons * Les maîtres a) L’apprenti L’apprentissage est très important, car les métiers sont appris sur le tas, il n’y a pas d’école de plus elle permet l’éducation. L’apprentissage sera surveillé. L’apprenti sera confié au maître à l’aide

il délivre ses compagnons tombés sous le charme des Lemniennes et des Sirènes, il détourne le vaisseau de l’île maudite de Déméter ; et enfin, il charme le terrible serpent de la Toison d’or, et tout cela grâce à sa musique. A son retour, il épouse la jeune nymphe Eurydice. Un jour, alors qu’elle se promène sur les bords d’une rivière, le berger et apiculteur Aristée, au service des Muses, tombe amoureux d’Eurydice et la poursuit. Elle s’enfuit mais dans la précipitation, elle marche sur un serpent

vitre des surprises Sur les lèvres attendries Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom  Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom  Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté Le chant des

qu’un simulacre d’auscultation. Il reste 20 jours au Schonungsblock (la baraque de repos) .Les autres prisonniers lui parlent de chambres à gaz, de fours crématoires et de «sélections ».Un soir, deux SS font une descente au Schonungsblock. L’un des compagnons du narrateur est «sélectionné ». Ses camarades se doutent qu’ils ne le reverront pas. Le narrateur réalise que l'absence de travail est cause de souffrance morale et de désespoir, car elle l’oblige à laisser son esprit libre vagabonder.