La Mer des monstres

au début, fureur par l'apparition du monstre et déchaînement du combat, retour à une paix. Le récit est pathétique à cause de la place qu’y prend celui qui le prononce : Théramène, dernier témoin et interlocuteur d’Hippolyte, nous fait part de ses sentiment particulièrement émouvante : « Excusez ma douleur. Cette image cruelle » vers 1545, « Sera pour moi de pleurs une source éternelle » vers 1546. Nous sommes informés non seulement de la réaction du monstre et d’Hippolyte, mais aussi de celle

Étonnée, et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots. Elle est au sein des flots, la jeune Tarentine. Son beau corps a roulé sous la vague marine. Thétis, les yeux en pleurs, dans le creux d'un rocher Aux monstres dévorants eut soin de le cacher. Par ses ordres bientôt les belles Néréides L'élèvent au-dessus des demeures humides, Le portent au rivage et, dans ce monument, L'ont, au cap du Zéphyr, déposé mollement. Puis de loin à grands cris

La légende part souvent d’un fait qualifié de « surnaturel réel », c’est à dire un évènement étrange qui s’est produit dans notre monde. Imaginez combien de légendes sont nées de paysans ayant vu un fantôme dans tel ou tel château.. Ou de ces monstres marchant comme des humains, qui ont donné naissance aux biens connus loups-garous... Autant d’éléments symboliques qui nous semblent difficile à réaliser dans notre monde réel, mais qui nous plongent dans le ravissement. Elles peuvent également

fureur désigne la passion et le "monstre qui t'irrite" désigne Phèdre. La tonalité de l'amour et la tonalité de la mort sont présentes : Phèdre demande la mort, elle va se retrouver très très mal : elle est compromise aux yeux d'Hippolyte, elle va maudir son fils. Thésée certain de la responsabilité de son fils, va demander à son père, Poséidon, dieu de la mer, de tuer Hippolyte.Alors que le jeune homme conduisait son char le long de la côte, Poséidon envoya un monstre qui effraya ses chevaux!; ceux-ci

commentaire : il ne faut pas seulement le citer, mais expliquer pourquoi l’auteur a choisi d’organiser ainsi son texte. �� L’alternance de point de vue dans le texte est un facteur de dramatisation : nous sommes informés non seulement de la réaction du monstre et d’Hippolyte, mais aussi de celle des chevaux (v. 1505, 1512, 1538) et des témoins (v. 1551, 1526). Leur terreur répond à celle d’Hippolyte comme une chambre d’écho. �� Le suspense est également un ingrédient important de cette dramatisation :

de « Phèdre », situé presque dans le dénouement, Racine y décrite le monstre effroyable que Hippolyte, fils de Thésée, doit combattre. Or, étant donné que l’œuvre est une tragédie où le destin est une fatalité qui conduite nos héros vers la mort, nous pouvons donc nous attendre au deuil du personnage principal présent ici, Hippolyte. Ici, Racine raconte la scène à travers Théramène et décrit de façon très précis le monstre ainsi quel e combat que mène Hyppolite et la bête. L’écrivain insiste

Comme eux, Ulysse leva l'ancre avec ses compagnons pour rejoindre la petite île d'Ithaque dont il était le roi et où l'attendaient sa femme Pénélope et son fils Télémaque. Ithaque n'était pas très loin de Troie. Il leur suffisait de traverser la Mer Egée et de contourner la Grèce. Ils firent tout d'abord voile vers la côte de Thrace dans l'espoir de s'y ravitailler en nourriture et en eau. Mais ils rencontrèrent l'hostilité des riverains et ne purent débarquer. Les vents les poussèrent vers

Ulysse commet une faute Zeus le punis). Symboles: le cèptre, la foudre et l'aigle. •Héra (Junon): femme et soeur de Zeus (reine des Dieux), c'est la déesse du mariage (furieuse des tromperies de Zeus). •Poséidon (Neptune) : dieu de la mer (capable aussi de créer des tremblements de terre). Symboles: le tridan. •Adès (Pluton) : 3ème frère de Zeus. Il règne sur les enfers. Symboles: le serpent et le chien Serber. •Déméter (Cérès) : Déèsse de la moisson (déèsse nouricière)

une île que l’on peut comparer à un paradis terrestre et est capable de donner l’immortalité aux mortels. Par la suite, à la fin du Chant V, Ulysse échoue en Phéacie, symbole par excellence de l’utopie, il s’agit d’un pays « à l’écart, au sein de la mer démontée, au bout du monde » (Chant VI, v. 204/205). De même lors de ces périples, Ulysse va rencontrer de nombreux êtres merveilleux qui ne chercheront pas à tuer Ulysse et ses compagnons tels que les Lotophages, « mangeur de fleur » au Chant IX. Dans

Devant la mer, un soir. Devant la mer, un soir, un beau soir d'Italie, Nous rêvions... toi, câline et d'amour amollie, Tu regardais, bercée au cœur de ton amant, Le ciel qui s'allumait d'astres splendidement. Les souffles qui flottaient parlaient de défaillance ; Là-bas, d'un bal lointain, à travers le silence, Douces comme un sanglot qu'on exhale à genoux, Des valses d'Allemagne arrivaient jusqu'à nous. Incliné sur ton cou, j'aspirais à pleine âme Ta vie intense et tes secrets