La Mer des monstres

HOMÈRE, L’ODYSSÉE CALYPSO Tous les héros de la grande guerre de Troie, tous ceux du moins qui avaient fui la mort, réchappant du combat et de la mer, tous étaient rentrés chez eux. Mais lui, le divin Ulysse, loin de son pays et de sa femme, il était prisonnier de la nymphe Calypso qui brûlait d’en faire son époux. Dans son royaume, en Ithaque, personne ne croyait plus au retour du héros : depuis vingt ans qu’il était parti sur son navire arqué pour la maudite Troie ! Les jeunes

une rivale, elle renonce à le défendre. Hippolyte se décide enfin à partir. Mais alors qu'il est sur son char le long de la mer, un monstre jaillit. Un combat commence et le monstre lance une grosse frayeur aux chevaux qui se mettent à courir en tout sens, emportant le char et entraînant par terre Hippolyte qui termine en lambeaux. Oenone bannie par Phèdre se jette dans la mer, et après avoir tout avoué à Thésée, la reine se suicide. Thésée pour se venger de son fils et respecter la dernière volonté

rêve de bonheur. S’inspire de événements vécu par l’auteur même. Ressemble a une marine. Description minutieuse Rivage (hbts ile); Mer dans son ensemble; Horizon; Conséquence de cette tempête sur le vaisseau I – Violence extraordinaire des événements A- Mouvement de la description Accumulation des verbes de mouvement B- Eléments eux même 1. Le vent 2. La mer II- Caractère pictural de la scene A- aspect pictural Arrêt dans le temps Emploi des temps 1. Perspective (réseau de ligne)

d’Ouranos et l’épouse d’Héphaïstos. Le Taureau crétois est une créature fantastique offerte par Poséidon à Minos pour être sacrifié, mais qui fut épargné par Minos et dont Pasiphaé tomba amoureuse. Elle conçut de lui le Minotaure. Le Minotaure est un monstre fabuleux possédant le corps d’un homme et la tête d’un taureau. Il a pour vrai nom Astérios, et est né des amours de Pasiphaé et d’un taureau blanc de Crète envoyé par Poséidon. Pasiphaé est la fille d’Hélios et de Persé, et l’épouse de Minos, roi

vives/joyeuses/claires. Cette différence s'explique par le fait qu'au : -Premier plan nous voyons que cela représente le Hollandais volant (le fameux bateau fantôme), et donc cela doit aussi représenter la tristesse, le désespoir, le fait de se sentir piégé. La mer est agitée, tumultueuse et très sombre, on dirait qu'elle est noire. Ce bateau est en ruine, les voiles sont déchirées, les mats ne sont pas droit... Toute cette précision pour montrer que ce bateau a vécu et pour nous montrer que c'est bien une épave

grecque Atlas: Fils du Titan Japet et de l'océanide Clyméné, frère de Prométhée. Chez Homère, Atlas apparaît comme un être d'origine marine, chargé de maintenir les piliers séparant le ciel et la terre et qui, pensait-on, reposaient au fond de la mer, juste au-delà de l'horizon, dans la direction de l'ouest. Plus tard, le nom d'Atlas fut attribué à une chaîne de montagnes du nord-ouest de l'Afrique. Hercule aidant Atlas à supporter le globe terrestre Prométhée: Il est le fils d'Héra et de son

et déchaine donc contre notre héros une tempête épouvantable. Nous étudierons la tempête en elle-même puis la psychologie que subit Ulysse dans ce passage. Tout d’abord la mer est le seul moyen que détient Ulysse pour rentrer en Ithaque mais ce qui signifie aussi un lieu de tous dangers pour lui. Puisque la mer est le domaine de Poséidon « le puissant Ebranleur des terres » et ne pouvant empêcher le retour d’Ulysse dans sa patrie, le Dieu des mers ne peut seulement que le retarder ainsi il

être un monstre. Le naturaliste français Pierre Aronnax est prié de se joindre à l’expédition. Après quelques mois de voyage, l’expédition américaine tombe sur le fameux monstre mais le combat est déséquilibré et le navire est éperonné. Aronnax, son domestique Conseil et le harponneur canadien Ned Land sont précipités par-dessus bord. Bientôt, au milieu des flots, les trois hommes trouvent refuge sur une structure métallique. Ils comprennent aussitôt qu’il s’agit du dos du fameux monstre : ce dernier

père » (v.9/10). Pour ces malédictions, elle implore les Furies, créatures au corps ailé et à la chevelure de serpent. Ces monstres vivent dans les Enfers (« faites trêve aux enfers » (v.8)). Mais, la monstruosité de Médée a commencé lorsqu'elle était encore avec Jason. Ils ont tué le frère de Médée et trahi son père : « mon père trahi […] / D'un frère dans la mer les membres dispersés » (v.27/28). Sa fureur s'exprime grâce aux subjonctifs de souhait et aux anaphores présents aux vers

coté violent de la femme en annonçant qu’elle a des dents féroces et qu’elle a mangé son cœur. D’ailleurs, dans les poèmes « Hymne à La Beauté »[footnoteRef:5] et « Femmes Damnées »[footnoteRef:6] la femme est comparée à un monstre à travers l’hyperbole « un monstre énorme, effrayant, ingénu » afin de souligner sa violence et dangerosité. De plus, la violence de la femme apparait dans ses relations sexuelles avec le poète, cela est illustré à plusieurs reprises ; dans « Le