La Mer et les Prisons

sa mère. Si bien qu’il ne soit pas insensible au monde, pendant la première partie du roman, il me semble quelques fois qu’il trouve la vie absurde et ennuyeuse. Mais il change d’opinion au long de la deuxième parti du roman, quand il est dans la prison. Là, il perdre sa liberté et d’ailleurs il est condamné à mort pour le meurtre de l’arabe. Dans sa cellule, il commence à exprimer ses émotions, ses souvenirs, ses souhates. Il devient très sensible, il s’accroche à la vie profondément. J’ai choisi

Il est incapable de regretter son acte, selon lui c’est un acte involontaire qu’il a fait. Chap2 Sensé de la prison comme mort , une prévision de sa mort , il fait une identification de la cellule, même situation sans issue, la prison on ne peut pas sortir. Symbole de cette vie absurde. Il avait des pensées d’homme libre (p.117) il finit par s’habituer et par avoir des pensées de prison . Eléments qui sortent au procès p 136 138 Eléments liées : calme, il n’a pas pleurée, il a pris un café, arguments

attend un enfant de lui. Cosette livrée "aux loups" Printemps 1818. Fantine quitte Paris et porte dans ses bras la petite fille qu'elle a eu de Tholomyès, et pour laquelle elle a tout sacrifié, Cosette. Elle souhaite retourner à Montreuil sur Mer, sa ville natale, où elle espère trouver du travail. En chemin, à Montfermeil, elle fait la connaissance d'un couple d'aubergistes, d'allure plutôt accommodante, les Thénardier. Très vite Cosette joue avec les petites filles des aubergistes. Fantine

restent ouvertes. Depuis le douzième siècle, Venise est à la pointe du commerce européen. Contrôlant les routes de la soie et de la fourrure, elle exerce plusieurs monopoles commerciaux (dont le sel et les céréales) et contrôle les échanges en mer Noire et dans une partie de la Méditerranée. Son importante flotte, qui bénéficie de nouveaux perfectionnements comme la boussole, l’astrolabe et le gouvernail d’étambot, profite de nombreuses escales qui permettent de se ravitailler, de réparer les

était obligeant et rieur. Si quelque serrure allait mal, il l’avait bientôt démontée, rafistolée, huilée, limée, remontée, en disant : Ça me connaît. Il connaissait tout d’ailleurs, les vaisseaux, la mer, la France, l’étranger, les affaires, les hommes, les événements les lois, les hôtels et les prisons. Si quelqu’un se plaignait par trop, il lui offrait aussitôt ses services. Il avait prêté plusieurs fois de l’argent à madame Vauquer et à quelques pensionnaires ; mais ses obligés seraient morts plutôt

dans les failles qui se désagrègent, dans les manques qui creusent, dans les intervalles qui les séparent, au-delà de ce qu’elles expriment, dans ce qu’elles n’énonceront jamais, dans le tournoiement des bibliothèques incendiées ou disparues dans la mer, dans la mémoire évanouie des sociétés humaines. On ne sait pas si nous sommes quelqu’un On ne sait pas si nous portons un nom au point de se lire et finalement de s’écrire imperceptiblement. On ne sait pas comment la forêt bruissante

mourais… Tu as cédé à ses besoins pervers, il me martyrisait. Affliction. Peine. Il me battait, sans regrets. Il m’avait attirée, et moi naïve, amourachée, minuscule chose sans cervelle, je me suis laissée entrainée dans cette cage moisie, cette prison putride, atelier de sévices, qui défiait toute cruauté possible. Je croyais être son précieux écrin. J’espérais qu’une force supérieure pourrait me protéger. Stupidité. J’implorais. Tu as ignoré mes supplications déchirées de soubresauts car je pleurais

J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris

Silence on s’enrichit Silence main basse sur le peuple baudet Silence on détourne les deniers publics et les mineures Silence on affame Silence les princes voleurs innocents Exécutent le peuple honnête coupable Silence on assassine Silence les prisons sont pleines Silence on abrutit ,on embrigade, on lave cerveaux, on Intoxique, on rétrograde, on retourne dans i’antiquité esclavagiste, au moyen âge féodal. Silence on retourne à la traite négrière Silence personne n’est responsable. Silence

« pleine de pus », « froide épouvante », « des débris de squelette », « le cris » ce qui a choqué à l'époque du XIXème siècle. L'ÂME DU VIN Un soir, l'âme du vin chantait dans les bouteilles :" Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité, Sous ma prison de verre et mes cires vermeilles,Un chant plein de lumière et de fraternité !Je sais combien il faut, sur la colline en flamme,De peine, de sueur et de soleil cuisantPour engendrer ma vie et pour me donner l'âme ;Mais je ne serai point ingrat ni malfaisant