La Mission Du Poete

français 4Antoine MorganeDissertation :René Char est un écrivain du 20 eme siècle, et un des rare à s’être spécialisé dans un genre poétique et qui n’a jamais changer ce genre littéraire. Pour lui, il faut donner des pouvoirs à la poésie ainsi que des missions, il dira d’ailleurs « transformer les vieux ennemis en loyaux adversaires ». Faut-il dans la vie que la poésie soit utile, qu’elle ait une place a revendiqué ainsi qu’un rôle a joué comme le pense René Char ?Pour cela, nous seront amené a voir tout

«poiein» qui signifie créer. Le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives. Mais comme l’écrivain ou plus généralement l’artiste le poète s’est souvent questionné sur le monde qui l’entourait, la société à laquelle il appartenait. Le poète, prenant conscience de ceux-ci, renonce à sa position de simple spectateur et met alors son art et sa pensée au service de la cause qu’il défend. C’est la naissance de la poésie engagée. Les poètes engagés ont pour mission d'exprimer les préoccupations

sur les civils pendant la guerre ? Le poème est composé de deux strophes : un quintil et une strophe de 20 vers. Il n'est pas ponctué et les vers sont libres. Titre : Il est ambigü car on les présente comme mort avant le début du poème.Le poete veut nous faire ressentir l'intensite emotionnelle de cette scene. Vers 1 à 5 : Présentation générale, vision extérieure. Ils sont présentés de façon générale, les fusilles sont un groupe indefini d'hommes anonymes. . On a un lien avec le ciel

Problématique : En quoi la poésie est t'elle un moyen efficace pour présenter une critique de la société ? I- Le poète dévoile les travers de la société 1) L'hypocrisie à la cour Joachim du Bellay : « Seigneur je ne saurais regarder d'un bon œil » → relation hypocrite ou cyniques entre les courtissants et le roi Jean de la Fontaine : « Le lion, La genèse, la chèvre et la brebis » → inanité des mœurs bourgeoises 2) Critique du Clergé Jacques Prévert : « Pater Noster » → parodie de la prière

Un texte entièrement construit en référence à la révolution politique et social de 1789 b) Une analogie héroï-comique entre l’ancien régime et l’art poétique classique 2°) La reconstitution d’un mythe a) Un poète réincarnant le héros révolutionnaire b) Une amplification qui fait du poète un démiurge nouveau 3°) un nouvel art poétique a) Une abolition des règles étouffant les idées nouvelles b) Le mélange des genres et l’abolition des catégories pour être plus fidèle à la vie c) La promotion

Tout d'abord, La poésie est un moyen pour le poète d'extérioriser ses sentiments, surtout dans le courant romantique du XIXe siècle, qui permet l'expression des ressentis grâce au lyrisme. Ce courant, inspiré par Rousseau, tente de retranscrire la sensibilité des auteurs avec l'emploie de la première personne du singulier dans laquelle chacun peut s'identifier. Ronsard se peint lui-même à l'approche de la mort : « Je n'ai plus que les os... ». Le poète, par l'utilisation du « je », se place en position

portait précis, pas de nom, désigne les hommes en général), la faucheuse (allégorie de la mort, désignée par « elle », « squelette », « faux » ,elle-même désignée par « lueur », rayon lumineux faible), le poète (« je », inspiré par la Muse, a le sentiment d’avoir une mission, il a un don de poète voyant, il est un peu en retrait, il voit la mort agir et le lecteur est invité à le rejoindre), fée, peuples, triomphateurs (généraux, gens qui sont plus puissants), ange, ensemble de l’humanité représentée

des Regrets, Du Bellay « pleure » ses « ennuis » : « Si bien qu’en les chantant, souvent je les enchante ». En chantant son mal, le poète parvient-il à l’enchanter ? Nous présenterons d’abord la pérennité du mal malgré le chant, ensuite la dimension d’enchantement qui permet de le dépasser, pour terminer sur la mission de la poésie. Hélas, le tourment du poète ne cesse pas au moyen de l’écriture de ses vers. Du Bellay lui-même, grand sonnettiste de la Pléiade au XVI°, intitule son recueil

terre. Encore ici, nous avons un monde autre que celui du lecteur, mais pourtant identifiable. Ensuite, c’est Théodore De Banville qui nous transporte dans une réalité autre avec son poème Bien souvent je revois sous mes paupières closes...ici, le poète fait appelle à ses souvenirs, qui font partie d’un monde autre, appartenant au passé et à l’auteur, car le lecteur n’en fait pas partie. De Banville nous envoie dans son enfance, monde inconnu du lecteur mais pourtant largement identifiable. Sans oublier

l'indicible.-> par sa forme : la poésie force le poète à être précis, concis, parce que les vers limitent l'écriture (Du Bellay dans "Heureux qui comme Ulysse" a exprimé dans son sonnet sa nostalgie vis-à-vis de sa Tourraine natale ; dans "Notre Vie" de Eluard, expression de sa douleur à la mort de sa compagne Nusch, dans "L'albatros" où Baudelaire parvient à surmonter les contraintes formelles de la poésie pour décrire sa situation de poète (et celle des poètes en général), chez Apollinaire,