La Monstruosité

innovation qu'on jugera comme on voudra, infime ou considérable : un type bien particulier d'information. […] au niveau le plus fondamental de la vie, les jeux du code et du décodage laissent place à un aléa qui, avant d'être maladie, déficit ou monstruosité, est quelque chose comme une perturbation dans le système informatif, quelque chose comme une « méprise ». À la limite, la vie – de là son caractère radical – c'est ce qui est capable d'erreur. […] Et si on admet que le concept, c'est la réponse

carabine, ma carabine! » l 99). Cet ultime renversement de situation grandit le personnage de Bérenger qui lance un défi aux rhinocéros : il cherche à les éliminer ou à se tuer, il incarnera bien « jusqu'au bout » (l 103) l'humanité qui résiste à la monstruosité. Toutefois, ce dénouement est ambigu car la décision de Bérenger ne relève pas de la raison ou de la morale, mais plutôt de l'instinct. S'il reste homme, c'est d'abord par impossibilité de se métamorphoser, l'exclamation « Malheur à celui qui veut

d’Espagne, installée à l’exposition universelle de Paris. Elle fut peinte du 1er mai au 4 juin 1937. Pablo Picasso utilisa la technique du Cubisme dans cette œuvre : avec ces formes symétriques et disproportionnées, un effet de ‘massacre’, de monstruosité se fait ressentir à la vue de cette toile ; (les femmes on des membres disproportionnés, leurs yeux sont de travers, etc…). Picasso choisit de peindre l’œuvre en noir et blanc parce qu’une telle atrocité humaine comme le massacre de milliers

rejoignent la majorité et ils changent. Daisy et Bérenger auront une brève histoire d'amour au cours de la pièce, mais Daisy va se laisser toucher très vite par la rhinocérite. Car elle préfère rester indifférente, tout en ayant conscience de la monstruosité du fléau. « J’en ai un peu honte, de ce que tu appelles l’amour, ce sentiment morbide, cette faiblesse de l’homme. Et de la femme. Cela ne peut se comparer avec l’ardeur, l’énergie extraordinaire que dégagent tous ces êtres qui nous entourent.

comme souffrance, émotion et sensation subies· => Appel laconique et injonctif, dont la tonalité est laissée à l’appréciation du lecteur…· Réaction de Pauline : · Transformation physique : jeu de miroir de l’horreur (cf connotations négatives)· Monstruosité (transformation physique, découpage des parties du corps)· Propositions en parataxe => simultanéité des actions· Désir effrayant, parce qu’il est animal ; et parce qu’il est lié à la diminution de la PdC, avec le « chatouillait » quasiment burlesque·

Il compare son œuvre avec un hôpital. Il y a une forte gradation. Un fort reproche. Selon le critique c’est une œuvre dont il n’y a pas de vie, seulement des cadavres “Je suis un cimetière abhorré de la lune”. Pour lui, c'est un livre fait de monstruosités. Pourquoi ces poèmes ont été censurés ? Les Bijoux → sensualité très forte Le Léthé → la question du suicide A celle qui est trop gaie→ Une relation violante, un amour qui détruit et psedo masochisye Femmes damnées → Homosexualité fémine Lesbos

cacher dans chacun d’entre nous. L’œuvre Boule de suif de Maupassant a une certaine ressemblance à Rhinocéros . En effet, Maupassant démontrait l’homme dans toute sa cruauté, sa laideur et donc, la monstruosité de l’homme. Donc, même dans deux époques différentes, la symbolique du monstre est représentée dans les pièces de théâtre absurdes ainsi que dans les œuvres réalistes. 762 mots

gaz ypérite). Encore et toujours « la mort qui s'invite en douce, au détour d'un crachat » (page 73) , comme pour Pedro (le copain de Bernardino) dans les tranchées de la Somme.... Roman de la misère sexuelle, aussi : les amours introuvés, la « monstruosité » du couple , la sexualité dans sa brutalité décevante, qui symbolise à elle seule l'impossibilité sociale d'accéder au bonheur et la fatalité des destins fracassés, floués... Les talents d'écriture de Christian Lacroix se déploient dans la

jaloux fanatisme” : métaphore hyperbolique = qualifie le travail du chercheur ( il ne peut s’adonner à autre chose que ce travail = fanatisme ) · présent de vérité générale : “inspire”· conclusion du passage avec une antithèse : “la magnifique monstruosité de sa physionomie” = le scientifique est atteint dans sa chair par la science et la recherche, cela se voit sur son visage = monstre physique mais magnifique par son intelligence.· attitude distraite, (“dont témoignaient sa mise et son maintien”)

la citation suivante : « Qu’il faut retourner à l’intégrité primordiale » (P.105). Alors Jean, est un personnage ciblé à la transformation et devient vulnérable et influençable. -Ensuite, Ionesco développe le thème de la métamorphose et de la monstruosité. Pour ce faire, la métamorphose de Jean révèle à la fois la bête humaine et la bêtise humaine est commenté par Bérenger comme suit : « Ce garçon si humain, grand défenseur de l’humanité !(…) Jamais je ne me serais douté qu’il aurait évolué de cette