La Morale Est Elle Compatible Avec Le Bonheur

exprimer l’utile et le nuisible, et, par suite aussi, le juste et l’injuste : car c’est le caractère propre de l’homme par rapport aux autres animaux, d’être le seul à avoir le sentiment du bien et du mal, du juste et de l’injuste, et des autres notions morales, et c’est la communauté de ces sentiments qui engendre famille et cité. Kant, Idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique Quatrième proposition Le moyen dont la nature se sert pour mener à bien le développement de toutes

pourrait-il pas être heureux et peindre en même temps? Le champ lexical du malheur est introduit avec l'expression "je ne veux pas être heureux, je veux peindre" (l.5-6) et le comportement de Christine. Cette expression montre que le bonheur et la peinture ne sont pas compatibles dans l'esprit de Claude, comme si il se torturait mentalement, n'était jamais heureux inlassablement, à longueur de journée. Cela accentue l'impression que cet homme n'est plus maître de son corps, comme s'il était envoûté. Le

religion puisse être considérée comme une institution première déterminant la représentation du groupe mais aussi le système de valeur qui lui correspond pose le problème de savoir si elle n'est pas opposée ou contraire à la raison et si elle est compatible avec la liberté. Le problème de l'activité rationnelle et de la liberté de penser se pose d'autant plus que l'attitude général du religieux repose sur la croyance. Croire : La croyance est une adhésion subjectif au discours de l'autre (autrui)

mieux comprendre le texte .............................................. 68 5. Liberté et responsabilité ..................................................... 69 Sommes-nous condamnés à être libres ? .................................. 70 Devoir moral et liberté .............................................................. 70 L’autre comme condition de ma liberté .....................................71 Texte 19 : Condamné à être libre, J. -P. Sartre (1905-1980) ..... 72 Pour mieux comprendre le

L’histoire……..74 La vérité………….82 La démonstration…89. L’interprétation…..93 Le vivant…………98 Matière et Esprit…104. Théorie et expérience..109 La société et l’Etat…..115 La justice et le droit….124 La liberté…………132 Le devoir………..139 Le bonheur………145 Programme de Philosophie 2005/2006 SERIES GENERALES L-ES-S Le sujet  -La conscience, L’inconscient, Le désir ( S/ES/L) Autrui (ES/ L) Le temps et l’existence (L), La perception (L) La culture 

acquérir, mais la propriété de son temps, de ses forces, de tout ce que la nature lui a donné pour conserver sa vie ou satisfaire à ses besoins. A ce tort on joint celui d’enlever à l’esclave le droit de disposer de sa personne. Ou il n’y point de morale, ou il faut convenir de ce principe. Que l’opinion ne flétrisse point ce genre de crime, que la loi du pays le tolère ; ni l’opinion, ni la loi ne peuvent changer la nature des actions, et cette opinion serait celle de tous les hommes, et le genre

(religiosité)? 1.  la réduction sociologique du concept de religion. (Durkheim) « Considérer les faits sociaux comme des choses ». Considérer les formes sociales indépendamment des valeurs qui les justifient. La sociologie, pour Durkheim, exclut la morale, elle veut décrire, et non pas juger. Quête d’une objectivité de même nature que celle des sciences physiques, des sciences de faits. Il ne faut donc s’intéresser qu’à ce que la société livre d’observable et de réductible a un concept empirique.

divinité transcendante se sont cristallisées dans les premiers siècles de notre ère dans les querelles entourant la notion de Trinité, la nature du Christ ou le statut de l’homme. De ces débats se sont dégagés deux tendances de la pensée politique et morale chrétienne. La première insiste sur la bonté fondamentale du monde, en dépit de l’existence du péché. L’homme n’est pas conduit au bien par la seule grâce divine ; sa nature y participe également, laquelle demande à être cultivée en embrassant une

sur le pavé des villes est d’abord celle de l’argent. D’où le profond comique des entrevues avec Tiberge le moraliste: l’un pense en francs, quand l’autre parle valeur et rachat! Le héros-narrateur expose sa qualité (indissolublement sociale et morale) aux épreuves de la dégradation: chevalier, abbé, amant, côté face, il se retrouve, côté pile, greluchon, tricheur, escroc, assassin, prisonnier, puis déporté au bout du monde dans un convoi de filles de joie et de sbires cupides. Mais si le récit

 Les arguments brutaux chez Lui, les phrases verbales et les parallélismes contribuent à créer une personnalité agressive au personnage.  La forme du dialogue argumentatif permet d’aborder différents points de vue. II. La conception du bonheur A. Conception de Lui : épicurienne  Conception en plaisirs et non en devoirs, individualiste et matérialiste, refus de toutes valeurs = libertin => champ lexical du plaisir + chiasme ; énumération : « boire de bon vin, se gorger de mets délicats