La Mort De La Lison

avons le sentiment du poète. Enfin dans une troisième sous partie nous allons montrer que celle-ci sert à énoncer un fait ou quelque chose. Par exemple La Fontaine, lui, fait passer son opinion à travers ces œuvres, par exemple dans le curé et le mort il critique et fait la satire du clergé. La Fontaine a souvent critiqué le clergé dans ces œuvres. Puis dans le texte de Baudelaire : L’Albatros le poète nous décris sa situation en se passant comme un animal des mers. Il nous énonce que tous les

Il'va'chercher'dans'un'coin'la'petite'table'ronde,'l'apporte'sur'le'devant'et'la'charge'joyeusement'de' tout'ce'que'contient'le'gardeMmanger,'bouteilles,'plats,'etc.';'il'ajoute'un'verre,'une'assiette,'une' fourchette,'etc.'–'puis'il'prend'une'des'bouteilles. Lisons!d'abord!ceci. Il'emplit'le'verre,'et'boit'd'un'trait. C'est!une!oeuvre!admirable De!ce!fameux!poète!appelé!le!soleil!! XérèsPdesPchevaliers!n'a!rien!de!plus!vermeil. Il's'assied,'se'verse'un'second'verre'et'boit.1625 Quel!livre!vaut!cela!?!TrouvezPmoi

cosmogoniques. Ils exigent un autre type de discours : première forme de philosophie. Philosopher c’est vivre avec raison, personne ne peut le faire à notre place. On philosophe lorsque l’on parle du monde, l’humanité, le bonheur, la justice, la liberté, la mort, Dieu… Il faut donc philosopher dans le but d’une vie humaine, plus lucide, plus sereine, plus raisonnable, plus heureuse… ce qu’on appelle la sagesse (bonheur sans illusions ni mensonges). Il s’agit donc de penser mieux, pour vivre mieux (réflexion

(l'arrondissement de Nagano, à Tokyo) pour aboutir au même endroit (une bibliothèque de Takamatsu, ville du Shikoku) se répondent l'un l'autre et nous, pauvres lecteurs pris entre leur mondes et le nôtre, nous écoutons leur dialogue, plus encore que nous ne le lisons. La première croisée de leurs chemins a lieu dans la matière même du roman. Le récit s'ouvre avec Kafka. Suit un rapport de l'armée, relatant l'accident de Nakata. Vient ensuite un autre chapitre sur Kafka, puis un autre rapport de l'armée

La bête Humaine, Émile Zola Les Rougons-Macquart entreprise monarque qui porte le titre d’une famille issue d’une alliance, les rougons d’une part et les macquart de l’autreUne saga familiale autour d’une origine, autour d’une famille dont assimile l’union entre un Rougons et une Macquart. Il a y a donc déjà dans ce titre qlq chose comme le programme biologique de la famille le nom confirmé par son sous-titre

le conservateur qui a recueilli les divers poèmes après la mort de l'auteur, est le titre d'un des poèmes écrits par Vigny. Il fait référence à l'ancien testament : dans la religion catholique, le destin n'existe pas mais le libre arbitre existe. Le début du poème Destins nous amène à rencontrer les personnages païens qui passent la journée à filer de la laine puis coupent subitement l'un des fils ce qui provoque automatiquement la mort d'un individu. Inspiration de l'Ancien Testament : Dieu ressemble

« voilà » = présentatif Exaltation après l’attente >> Impression d’homme providentiel, attendu de tous > un 3ème personnage qui entre en scène aux yeux du public + c’est le premier nommée (les deux autres sont encore inconnus pour nous qui ne lisons pas le texte mais sommes au théâtre. Dora va vers Stepan et lui prend la main : Quel bonheur, Stepan ! Didascalie : les gestes de Dora Exclamative + mot « bonheur » Répétition du prénom > un personnage tjs en mouvement> qui a un élan vers

(v.1), « rivière » (v.1), « montagne » (v.3), «|États opposés | |Nature |rayons » (v.4), « val » (v.4), « cresson » (v.6) |Dans le poème la vie s’oppose à la mort (l’inactivité). Le poète| | | |crée avec la nature un tableau idyllique où le soldat semble en | | |

Sujet : « On ne devrait lire, disait Kafka, que les livres qui vous mordent et qui vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d’un coup de poing sur le crâne, à quoi bon lire… Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous » Comment expliquez-vous cette conception de la lecture et de l’œuvre littéraire ? Introduction : La lecture est une activité de compréhension d’informations écrites. Et d’après Kafka, lire, doit en plus donner « un coup de poing sur le crâne »

peut. Chacun doit décider de la question pour soi-même. Faire entrer dans nos bibliothèques des autorités, même chargées de pourpre et de fourrures, et les laisser nous dire comment lire, quoi lire, quelle valeur donner à ce que nous lisons, c'est détruire l'esprit de liberté qui est l'âme de ces sanctuaires. Peut-être sommes-nous partout ailleurs soumis aux lois et aux coutumes; là, nous n'en avons aucune. [1: C’est moi qui passe en gras. ] Mais