La Mort De La Lison

on se voit reconnue par lui, rassurée, comprise, entendue, appréciée, soutenue, aimée. » La mort: en effet, la mort est beaucoup évoqué dans Villa Amalia comme dans TMM, d’abord, on apprend qu’un frère est mort quand il était petit et que son fantôme erre encore dans la maison, comme le fantôme de madame de Sainte Colombe dans TTM, même si elle est beaucoup plus évoquée dans VA que dans TMM, il y a la mort de Magdalena d’abord qui va être bouleversante pour Ann, c’est comme une deuxième rupture,

roman est basé sur l'ironie, il nous montre la vie au dix-huitième siècle et tout le monde olfactif qui l'entoure, par des descriptions surprenantes. Nous verrons d'abord que Grenouille n’a pas une vie facile. Son enfance est bouleversé par la mort de sa mère. Il est habité par la démence. Tout d'abord, l'amour à une place très importante dans la vie d'un homme, qu'elle nous soit donné par notre famille, par nos amis, par des animaux sous la forme de marques affectives (bisous, calîns...)

«Pourvu qu’on ne soit pas libre. […] pourvu qu’un devoir vous force à rester en place.» Jodoin démissionne d’un système et s’abandonne à vivre une vie médiocre. Même s’il écrit un journal personnel, il ne diffuse ni ses opinions ni ses impressions; nous lisons le journal seulement dix ans après son écriture. Une autre devise de Big Brother est non sans hasard «La liberté, c’est l’esclavage». Retiré en lui-même, Jodoin se met à l’abri de toutes obligations, se cachant derrière sa casquette, avec une grande

nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ? […] Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous. Voilà ce que je crois ». Ici il remet en question deux facettes de la littérature, il nous affirme que les livres ne sont pas là dans un but de divertissement ou autre mais simplement le fait qu'un bon livre est un livre qui nous « dérange » et que, ainsi seuls ces écrits méritent d'être lus. On peut alors se demander en quoi un livre « nous mort et

qu'il ne donne plus et en compagnie de sa femme qui sombre dans le gâtisme. La Pérouse mentionne l'existence de son petit-fils, Boris qu'il ne connaît pas, vivant en Pologne avec sa mère, ancienne élève de La Pérouse devenue la maîtresse de son fils mort depuis. Lors d'un séjour en Suisse avec Bernard comme secrétaire, Edouard fait la connaissance de Boris, inséparable de Bronja, jeune fille "pure" dont il est amoureux. Il est aussi accompagné de Sophroniska, psychanalyste qui soigne les nerfs fragiles

voir un glossaire que l’auteur lui-même a laissé afin de mieux comprendre ce qu’il a essayé de dire. Nous voyons donc une liste entière de mots inexistants créés par « assemblage » et « collage » pour obtenir un résultat bien absurde. Lorsque nous lisons la définition de ces mots nous pensons pouvoir mieux les comprendre mais nous faisons face à des définitions bien plus compliquée à comprendre que les mots en eux-mêmes : « peintureur : substantif dérivé de peinture et peinturer, avec la nuance dépréciative

vv.449-451). L’allégorie Elle consiste à représenter une idée abstraite par une image concrète. On fait donc appel aux symbole s. Un ensemble d'indices renvoie à une idée comme la justice, le temps, la mort, etc. L’allégorie repose souvent sur une personnification . Exemples : Une femme aux yeux bandés tenant une balance : allégorie de la Justice. La colombe et le rameau d'olivier : allégorie de la Paix.« Je vis cette

fabriquent des cimetières et chantent pour rendre hommage aux morts. On peut dire qu’une fois sorties de la guérite, elles font ce qu’elles veulent, plus personne ne les surveille, elles vivent libre de leurs choix, libre de leurs gestes jusqu’à ce que la mort les emporte. marcher, à aller dans les caves qu’elles rencontrent sur leurs chemins pour avoir de quoi se nourrir. Elles n'y verront que des cadavres empilés les uns sur les autres. Elles vont se voir mourir ou même se tuer entre elles pour abréger

Séverine a joué un rôle très important dans le meurtre du président Grand-Morin, ce passage donne l'impression qu'elle mérite ce qui lui arrive. Le meurtre de Séverine, symbolisé par le train, qui est assimilé dans le roman à la mort (du président, Flore, Séverine, la Lison, Lantier et Pecqueux), est d'ailleurs extrêmement violent : «A cette seconde, passait l'express de Paris, si violent, si rapide, que le plancher en trembla et elle était morte, comme foudroyée dans cette tempête». Dans ce passage

(v.1), « rivière » (v.1), « montagne » (v.3), «|États opposés | |Nature |rayons » (v.4), « val » (v.4), « cresson » (v.6)BIEN |Dans le poème la vie s’oppose à la mort (l’inactivité). Le poète| | | |crée avec la nature un tableau idyllique où le soldat semble en | | |