La Mort De Paquita

fraternel et où l’homosexualité de Paquita et de San Réal est clairement annoncée .. De Marsay vient venger son déshonneur et tuer Paquita avec l’aide du chef des Dévorants : Ferragus. Cependant cette vengeance va lui être volée par l’amante de Paquita : Mme de San Réal , qui n’est autre que la sœur de De Marsay et dont la ressemblance entre les deux êtres était sûrement la raison de l’infidélité de Paquita . Ce texte s’articule en deux mouvements : tout d’abord Paquita meurt devant les yeux de De Marsay

que les femmes se retournent, ce sont des rencontres hasardeuses.- La révélation à la fin du livre, la demi-sœur d’Henri de Marsay le rencontre, c’est un choc, et aussi pour le lecteur qui voit l’indifférence de de Marsay lorsqu’il raconte la mort de Paquita à son ami. Si elle est « morte de la poitrine » c’est que c’est le cœur qui l’a emportée. C’est une « passion fatale ». - Degré franchi dans la cruauté, elle laisse le goût d’un Paris meurtrier qui broie ses habitants dans l’indifférence. Peinture

rencontre Paquita Valdès, métisse magnifique . Au fil de leurs rencontres secrètes, Henri comprend que Paquita est prisonnière d’un personnage mystérieux, malheureuse et veut s’enfuir avec lui ou mourir. A la dernière rencontre Henri arrive ,Paquita a été tuée par son amante, la Marquise de San Réal, jalouse. La marquise est le sosie de Henri. C’est sa demie sœur bâtarde. Elle se retire dans un couvent. Henri continu sa vie comme si de rien était. Il dit à son ami Paul que Paquita est morte de

Bâle. Il va à l’école de commerce puis finalement, en 1904, il part pour la Russie ou il fait un apprentissage d’horloger, en 1er à Moscou puis à St-Petersburg. Il y rencontre une jeune fille russe nommée Hélène. Il rentre à Neuchâtel et apprend la mort d’Hélène. On suppose qu’elle s’est suicidée en se brûlant. La mère meurt en 1908 et le père se remarie. En 1909, il tente des études de médecine, de littérature et de musique à l’uni de Berne. Il rencontre Fêla Poznanska, une jeune juive et future

PARTIE : V ou F (corrige si c’est faux) /5 1. Le surnom de Francisca est Paquita. 2. Lors de la visite de Rubens à la cour d’Espagne, Juan tombe amoureux de l’esclave (Miri) d’une des dames de la suite du peintre hollandais. 3. C’est en premier à Bartholomé que Juan confie qu’il peint. 4. En récompense de la guérison de sa main, Juan demande à son maître l’autorisation d’épouser Lolis. 5. Après la mort de Don Diego, Juan part à Séville et va travailler avec Bartholomé.

franc-maçonnerie qui exerce une puissance qui ne respecte ni l'ordre social tel qu'il est juridiquement constitué, ni la morale naturelle ou religieuse. Ces Dévorants interviennent dans l'action de manière quasiment diabolique d'une part pour assurer la mort d'un des personnages (Auguste Maulincour) et d'autre part pour exaucer le voeu, interdit par la loi, du veuf de l'héroïne de garder près de lui les cendres mortuaires de son épouse. Il est vrai aussi que dans La Duchesse de Langeais Montriveau a recours

Il s'intéresse alors à Francisca (nommée aussi Paquita) qui tombe elle aussi amoureuse de lui. Les deux amoureux se font passer des mots doux par Juan, sous le nez du Maître, et ont même des rendez-vous en cachette. Le titre du chapitre est dû à des fleurs rouges que Paquita fait passer à Juan Bautista pour qu'il pense à elle. Mais le Maître comprend tout et intercepte un billet. Juan Bautista décide alors de demander la main de Paquita. Le Maître accepte et toute la famille est heureuse

franc-maçonnerie qui exerce une puissance qui ne respecte ni l'ordre social tel qu'il est juridiquement constitué, ni la morale naturelle ou religieuse. Ces Dévorants interviennent dans l'action de manière quasiment diabolique d'une part pour assurer la mort d'un des personnages (Auguste Maulincour) et d'autre part pour exaucer le voeu, interdit par la loi, du veuf de l'héroïne de garder près de lui les cendres mortuaires de son épouse. Il est vrai aussi que dans La Duchesse de Langeais Montriveau a recours

Comédie humaine, un portrait de la société de son temps. Dans son œuvre, La Fille aux yeux d’or, Henri de Marsay, jeune dandy parisien, se prend de passion pour « la fille aux yeux d’or », Paquita Valdès, et découvre qu’il a pour rivale sa propre sœur dont Paquita est très éprise. Pour se venger de Paquita, il décide de la tuer avec l’aide d’amis réunis en société secrète, les « Treize ». en ouverture à cette étrange histoire, Balzac a composé ce tableau de l’Enfer parisien, montrant ainsi dès

de C... la bonne paquita Historique : Confessions d’une femme est initialement publiée dans la revue Gil Blas du 28 juin 1882, sous le pseudonyme Maufrigneuse, puis dans le recueil posthume Le Père Milon en 1899. Auteur : Henry-René-Albert-Guy de Maupassant est un écrivain français né le 5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques1 (Seine-Inférieure) et mort le 6 juillet 1893 à