La Mort Sociale

opposés pour d'autres. L'étymologie du mot « religion » est assez flou, en effet, il pourrait venir du terme « religare » qui signifie relier mais aussi d'un autre mot « religere » qui se traduit par soigner, respecter. La religion est une institution sociale liée à l'affirmation d'une transcendance définissant le domaine du divin ou du sacré, opposé au profane. Elle rassemble les croyants dans une communauté que soudent les convictions et les pratiques : les rites, mais aussi les devoirs, les règles de

| | | |Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" | |Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html | |

L’expérience juridique de Rome sur plus d’un millénaire : de la promulgation des XII Tables en 451 av J.C jusqu’aux Codifications des Empereurs Byzantins au VIème s ▪ En 1000 ans, le Droit Romain a évolué au gré des bouleversements économiques, sociaux que le monde Romain a connu sans rupture ▪ on divise Rome en 3 grandes périodes : - Du XIIIème siècle au IIème av J.C : c’était la période archaïque. - Du IIème siècle av J.C au IIIème ap J.C : c’était la période Classique

La mort des pauvres intro+ QstMAIZIA Sarah TDG06 21204791 INTRODUCTION "La mort fait plus vite moisson des pauvres aussi bien dans les temps ordinaires (…)" Madeleine LASSERRE Les pauvres et la mort en milieu urbain dans la France du XIXe siècle : funérailles et cimetières (1995). En effet au XIXème siècle l’espérance de vie ne dépassait pas les 45 ans à la fin de cette époque et pour cause, la pauvreté. Le document étudié a pour titre ‘’La mort des pauvres’’ et est un extrait du rapport d’Edwin

Eduard BERNSTEIN [pic] • Nom : Bernstein / Prénom : Eduard • Date de naissance : 1850-près de Berlin /Date de mort : 1932 • Profession : homme politique & théoricien du socialiste allemand • Origine sociale : Issus d’une famille juive, avec de nombreux rabbins (dont son frère + journaliste) ; son père=conducteur de train -> vit dans la précarité (libéralisme) • Etudes : Collège (passion math + littérature) +

conseillé, éclairé par d'autres, mais ne laissez jamais quelqu'un penser pour vous. Que pensez-vous de la peine de mort? Vous avez des opinions et vous en êtes très fier. Vous pensez avoir raison. Que ce soit sur la peine de mort, l'avortement ou l'euthanasie, ... l'homosexualité, la pédophilie ou l'abus sexuel, ... la légitimité des impôts, le vol à l'étalage ou le Bien-être Social, ... la mode punk, la musique classique ou la beauté de Woody Allen, vous avez une opinion personnelle. Les médias

L’attachement au passé, la dominance de la vieillesse et la liaison étroite avec la mort mettent en question la cellule de base de l’organisation sociale, garante de la pérennité ; les valeurs familiales sont renversées. Écrit en 1829, Hernani est une pièce de la Restauration. L’absence des structures familiales reflète la gérontocratie de cette époque, à laquelle s’oppose l’individu, contraint par des conditions sociales rigides. Le héros romantique ne parvient pas à réaliser sa passion et son génie

avec l’idée de la mort ? Peut-on se protéger de la mort ? Quelle est la place du soignant dans la mort du soigné ? Pourquoi la communication avec le patient était-elle difficile pour les soignants ? Est-ce une manière de se protéger face à des actes de soins nous mobilisant affectivement ? L’homme est capable de penser à sa propre mort. Il a conscience de sa mort. Elle apparaît pour lui comme une certitude. Mais il est dans l'impossibilité de se représenter sa fin. La mort est au cœur du questionnement

Geneviève Hoffmann La jeune fille, le pouvoir et la mort Paris : De Boccard, 1992 (400 pages) Geneviève Hoffmann est agrégée d’histoire depuis 1972. En 1987 elle a soutenu une thèse de doctorat. Formée à l’université Paris-I et membre du centre Glotz, centre de recherche sur les monde hellénistiques et romains, puis du centre Louis Gernet, centre de recherches comparées sur les sociétés anciennes, ses travaux s’intéressent essentiellement à la représentation dans la société que ce soit l’adultère

La société a-t-elle le devoir et le droit de condamner à mort ceux qui violent ses lois et qui portent atteinte à leur prochain ? Peut-on venger le crime illégal par le meurtre légal ? Pendant des siècles, ces questions ont rencontré une réponse unanimement positive. Il a fallu les excès mêmes de cette justice immanente comme de cette répression cruelle pour qu'apparaisse l'autre face de la question: la justice n'a-t-elle pas aussi comme rôle de donner une nouvelle chance réparatrice à ceux qui