La Méritocratie Et égalité Des Chances

2. Avec le développement de la culture, les inégalités vont inévitablement se creuser. La société révèle des inégalités naturelles qui entraînent à leur tour des inégalités sociales et économiques. Dès lors la justice a pour tâche d'instaurer une égalité de droits entre les personnes. L'égalité devant la loi matérialise la justice politique. Par la loi, les hommes sont rendus égaux. Ce qui ne veut pas dire que la loi égalise les situations sociales. Les richesses et les talents se répartissent inégalement

la source d’une rumeur reste diffuse, inconnue. DE « L’AFFIMATIVE ACTION » A LA DISCRMINATION POSITIVE : C’est une réalité, un programme politique qui a plusieurs visages. D’une manière générale, ce sont des actions menées pour conduire à une égalité sociale, politique et culturelle. Cette « affirmative action » est une invention américaine qui remonte aux années 60 c’est-à-dire années des droits civiques, aux années de luttes du temps de Martin Luther King. Alors que la discrimination positive

de déplacement des individus dans la stratification et donc elle renvoie à la question de l’égalité des chances. Dans la société française, l’enjeu est de démocratiser l’accès aux positions sociales les plus enviables et d’affirmer ainsi l’égalité des chances. L’égalité des chances, c’est dans un système méritocratique, une égalité d’accès aux différentes conditions sociales. L’égalité des chances totale c’est une absence de tout obstacle à la mobilité sociale. A la logique héréditaire, se substituerait

ae SOCIOLOGIEJean Claude Kaufmann - « Corps de femmes, regard d’hommes, sociologie des seins nus » 1995Socio : essayer de comprendre comment le groupe socio avec lequel nous évoluons nous influenceEn quoi le groupe socio auquel on appartient détermine le comportement, influence de l’extérieur.Sociologue 3 caractéristiques :-Scientifique, implique qu’il soit neutre et objectif dans son approche (pas d’avis c’est bien ou pas bien)-Méthodes scientifiques, quantitatives (stat), qualitatives (interrogations)

l’ordre social traditionnel. On observe simultanément un affaiblissement de l’emprise de la religion sur les représentations (sécularisation et laïcisation), une baisse de l’influence de la famille sur les destinées (égalisation des chances et idéal méritocratie) et un recul du pouvoir des autorités traditionnelles sur les individus (démocratisation). Durkheim construit un cadre théorique permettant à la fois d’expliquer les mécanismes sur lesquels reposent les phénomènes à l’œuvre et d’analyser

patron ne doit pas gagner plus de 40x le salaire de ses salariés. Les patrons légitiment eux mm leur rémunération (cf : le salaire des patrons est-il juste ?) Texte d’Amity Shales : évoque la société américaine basée sur le concept de l’égalité des chances. Il reprend indirectement la thèse de Tocqueville => fcts politiques + 1856 : l’Ancien régime & la révolution ; 1835 : de la démocratie en Amérique. Tocqueville veut comprendre ce qu’est un régime démocratique. Il analyse alors les syst politiques

publique n° 142, 2012, p. 383-397 Mais la fonction de l’épreuve doit également être mise en relation avec les traits d’une mémoire nationale, qui sous-tend l’ensemble du dispositif des concours et qui va puiser aux sources de l’égalité des chances et de la méritocratie républicaine. L’épreuve de culture générale doit être replacée dans le dispositif plus vaste du concours et le concours de l’ENA, qui fonctionnant comme un modèle, intéresse bien au-delà des cercles étroits de la haute fonction publique

écoles privées par les collectivités locales. Dans un contexte de rapports tendus entre le gouvernement républicain et l'Eglise catholique, Jules Ferry par sa loi de 1880 a crée l'instruction obligatoire, pour une école instaurant l'égalité des chances et pour combattre l'arriération. Il disait « supprimer les distinctions de classe par l'éducation du peuple ». Il se basait donc sur une étroite fusion entre instruction et éducation. Les lois Jules Ferry sont en France une série de lois sur l'école

seul mérite. On parle alors de méritocratie, littéralement «le pouvoir au mérite», méritocratie permise par l’égalité des chances, c’est-à-dire la possibilité offerte à tous avec une égale probabilité d’accéder à n’importe quelle position sociale. Ces sociétés devraient donc être caractérisées par une mobilité sociale parfaite. Toutefois, l’égalité des chances est essentiellement juridique dans nos sociétés. Elle ne signifie pas nécessairement une égalité des chances statistique. En pratique, la mobilité

en place d’un Etat qui peut être dit de droit. Le Bwami semble être pour nous le modèle, en tant qu’il donne la capacité aux gouvernants d’établir l’équilibre et l’harmonie. Notons d’ailleurs que le Mwami(le roi) est choisi sur un critère de méritocratie. Les gouvernants sont choisis sur base de leur mérite, de leur degré de moralité, d’intelligence et de valeur ; et on peut sans aucun doute affirmer que le principe cardinal du Bwami est semblable à celui que Cabral énonce en ces termes : « ce