La Narrateur Participant

voyagé sont d’une même importance, sauf pour New-York, puisqu’à la fin de ses voyages c’est toujours là qu’il revient. La narration : L’histoire est raconté par Sal Paradise, le narrateur est un narrateur participant personnage principal, car il parle au «Je», et il a un point de vue engagé. Il n’y a qu’un seul narrateur. L’intrigue : Il n’y a pas d’intrigue puisque c’est un roman autobiographique. L’écriture : Oui, c’est un style d’écriture particulier. Jack Kerouac a une façon unique d’écrire ;

naturelles … où le résultat de l’action ne se révèle qu’à la fin, « lorsque tous les participants (ou soldats) sont morts ». Pour Arendt l’Histoire est différente lorsqu’on prend du recul par rapport à celle-là que lorsqu’on vit l’Histoire. Elle nous dit que : « l’action ne se révèle pleinement qu’au narrateur ou l’historien qui regarde en arrière et sans aucun doute connaît le fond du problème bien mieux que les participants. ». Comme le souligne Hannah, l’historien connaît la nature de l’histoire de façon

Dans la mesure du possible, le nombre de participants doit rester peu élevé. Quinze à vingt personnes constituent un nombre adéquat. Bien que l'on puisse utiliser le vidéofilm seul, nous préconisons d'animer un débat et de faire faire des exercices pour en améliorer l'impact pédagogique. Présenter le vidéofilm avec soin, pour en discuter et en appliquer les enseignements immédiatement, améliorera considérablement les chances de voir repartir les participants prêts à utiliser ce qu'ils ont appris.

médiévaux. Les deux auteurs Guillaume de Lorris et Jean de Meun écrivent successivement le long poème, au XIIIe siècle. Prenant la forme d`un songe allégorique, est narrée la conquête d`une Rose – une jeune fille – par un jeun homme, l`Amant. Le narrateur raconte comment, en rêve, il est entré dans le jardin où réside le Dieu d`Amour et y est tombé amoureux d`un bouton de rose. Sa quête de la Rose est ponctuée par les interventions de diverses personnifications: Raison, Ami, Richesse, Faux-Semblant

L, métamorphosé, revenu cô commandant de louveterie, veut détruire « nuisibles ». Au cours de l'hiver 1846: battue au loup où participent villageois + les notables du coin. Extrait: mort du loup à travers témoignage des vieillards recueilli par narrateur dans les années 1915-1916, mort = sorte de cérémonie sacrificielle. épisode qui permet d'écarter la menace laisse sentiment de malaise, cô la mort de MV, du fait des circonstances de cette mort. La chronique propose encore ici une vision inquiétante

__________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________ ___/3 5. Le narrateur est-il participant ou omniscient? Expliquez et relevez par la suite deux exemples de nature différentes (pronoms, noms, déterminants) qui appuient votre choix. ___________________________________________________________

une situation tirée du roman : 23 12. La situation initiale (Schéma H) 13. L’élément perturbateur 14. Le nœud (péripéties) 15. Le dénouement et la situation finale 24 16. Le type de narrateur (Tableau G) Absent (ou non participant) Présent ou participant / témoin Extrait et page : 17. Le niveau de langue (Tableau E) Langue soutenue (ou recherchée) Langue standard (ou correcte) Langue populaire Langue familière

tout d’abord distinguer le statut du narrateur (1ère personne : il fait partie de l’histoire ; 3ème personne : il n’en fait pas partie) et le point de vue narratif. Il existe 3 points de vue narratifs différents : A la 3ème personne : 1) Le point de vue externe Le narrateur, témoin étranger à l’action, s’en tient aux apparences extérieures. Il reste neutre et aussi objectif que possible. On compare souvent ce point de vue à celui d’une caméra.  Le narrateur n’est pas un personnage de l’histoire

l’associer au soleil car sault ressemble à la première syllabe du mot soleil, qui a également une grande importance dans le roman notamment pour le meurtre de l’ Arabe. Question 3 : On retrouve à plusieurs reprises, l’inaptitude de la parole du narrateur, notamment lors de sa rencontre avec le procureur. Quand celui-ci lui demande pourquoi il a tiré , il dit clairement : “ je n’ai pas su répondre “. On le remarque aussi lorsque Marie lui demande d’avouer ses sentiments : “ je lui ai répondu que ça

IV. Les interventions du narrateur 1. Relevez, dans les quatre premiers vers, une intervention du narrateur. Quel temps est utilisé ? Justifiez son emploi. 2. « Elle eût beaucoup mieux fait/ De passer son chemin sans dire aucune chose ». À quel mode est conjugué le verbe de cette phrase ? Comment le narrateur juge-t-il le comportement de la tortue ? Quel trait de caractère est ainsi mis en évidence chez elle ? 3. Qui est le « on » du vers 13 ? Quel jugement le narrateur porte-t-il sur le discours