La Nature Salvatrice

thèmes abordés par Maupassant dans ce roman sont déjà annoncés. Dès le début du texte, la nature est présente (« baie ouverte », « grand carré de lumière », « trou », « infini lointain » page 31), mais elle est l’espace de rêverie où l’imagination s’échappe pour rêver d’un ailleurs, d’une vie meilleure alors que le corps, lui, est pris au piège dans l’appartement et dans sa vie médiocre. Cette nature symbolise l’inconnu qu’Olivier désire. Cet espace infini et inconnu appelle le futur du peintre

un arrière-plan de l’histoire, mais elle est bel et bien un personnage de l’histoire, peut-être même le personnage principal de l’histoire. Elle fait partie de chaque partie du roman, se manifestant auprès des autres personnages de façon douce, salvatrice ou violente. Ces mots de Savigny veulent tout dire : « Et maintenant, je la regarde et je comprends : elle était tout ». Si on avait une citation à prendre afin de résumer ce roman, ce serait sans doute cette dernière. En conclusion, après avoir

tentations charnelles sont assouvies. On cherche maintenant une satisfaction spirituelle. On va rejeter Dieu qui n'a pas répondu et on célèbre l'alliance avec Satan (prince des déchus). - La mort (6 poèmes) : apparaît comme le dernier espoir, mort salvatrice, mort qui console => espoir de voyage donc de soulagement de la souffrance, peut-être un inconnu qui sera meilleur (mort = début : pensée très chrétienne). Dernier poème le voyage => moyen de soulager le feu qui brûle le cerveau. Dans les fleurs

entre homme éduqué élégant / femme vulgaire. Il est reconnu juridiquement irresponsable, avec budget limité. Terrible humiliation. CB est un poète marginal, solitaire, endetté, et peu solidaire avec les mouvements sociaux et politiques. Écriture salvatrice. 3 femmes occupent le cœur et l’œuvre de CB : - Jeanne Duval, infidèle (charnelle/séductrice) - Marie d’Aubin (modèle de la femme enfant) - Apollonie Sabbatin, qu’il adore en secret. Il lui adresse des poèmes anonymes. Pour Baudelaire l’expérience

nos souffrances... On devrait dire saint Molière, on pourrait dire saint Charlot... IRÉNÉE — Mais le rire, le rire... C’est une espèce de convulsion absurde et vulgaire... FRANÇOISE — Oh! non, ne dites pas de mal du rire. Il n’existe pas dans la nature ; les bêtes ne rient pas, les arbres ne rient pas, les montagnes n’ont jamais ri... Les hommes seuls, les hommes et même les tout petits enfants, ceux qui ne savent pas encore parler... Le rire est une chose humaine, qui n’appartient qu’aux hommes

apparait dans une partie du roman où Tituba reçoit son apprentissage de la part de la mère adoptive Man Yaya, qui pratiquait le Vaudou, « écouter le vent, apprendre la mer, les montagnes et les mornes. », la communication avec les éléments de la nature découle de l’ordre de l’obscur, pouvoir que Tituba utilisera par exemple dans son voyage de retour a la Barbade, où elle recourt a la magie pour sauver sa peau : « Négresse, si tu veux sauver ta peau, demande au vent de se lever2 ! » p. 215. En

- La loi naturelle : Considérer la loi naturelle comme base indispensable à la morale sous l’éclairage de la foi. - L’universalisme de la foi : Il s’agit de rester accrocher aux valeurs chrétiennes et de croire à la puissance de l’Evangile comme salvatrice pour le monde entier. Chapitre XIII – La théologie morale à la période actuelle 1/ La tradition post-tridentine dans les manuels et le renouveau thomiste : Nous avons hérité de cette tradition, la division de la morale en deux parties : - La

et le devoir de contracter de bonne foi (Civ.1ère, 10 mai 1989, Bull. n° 187, arrêt de cassation rendu au double visa des articles 1116 et 1134 alinéa 3 du Code civil). Si, pour reprendre l'expression d'un auteur, est érigée en principe la vertu salvatrice de la faute de l'auteur du dol sur l'éventuelle inconséquence de son partenaire contractuel, c'est parce que ce dernier pouvait légitimement faire confiance à son cocontractant et que cette confiance légitime mérite protection. Par son dol, ce

portés à la porte du malheur » : font penser a une sentences portée par le destin, et qui amène à la rupture de l’équilibre. III ] L’absurdité. A ) La rupture de l’équilibre. * L’acte de tuer, s’inscrit comme une rupture de l’ordre de la nature «  détruit l’équilibre du jour » * Le plus que parfait signale cette rupture et montre que l’on ne pourra pas revenir en arrière. B) Un personnage responsable ? * Narrateur qui semble manquer de volonté propre : «  Je savais que

travail est réservé aux esclaves, l'idéal de vie des hommes libres, riches ou non, est le "nontravail". Au Moyen-Âge, le travail est une nécessité expiatoire religieuse plutôt qu'un devoir. A partir du Xème siècle, en plus, le travail a une valeur salvatrice. Avant la Réforme, on voit apparaître une réhabilitation du travail dans l'idée de choisir un travail pour se conformer "aux dons" que l'on a reçu et de les faire fructifier. Le terme de motivation est apparu au XXème siècle , dans les années trente