La Nouvelle Le Torrent

Periodes litteraires: Le cadre intellectuel – periode des humanistes: les hommes savants qui lisent, corrigent, editent et commentent les textes de l'Antiquite, ou le Moyen Age n'a eu que tres peu de succes, mais aussi la Bible, dont ils proposent de nouvelles traductions fondees sur des textes hebreux et grecs. Ils mettent en valeur la raison humaine et la liberte. Ecrivains et poetes partagent leur foi dans le savoir et s'engagent avec ferveur dans la lutte contre l'ignorance culturelle. - LA REFORME

La Nouvelle Atlantide, Francis Bacon Œuvre publiée en 1627, incomplète Récit sous forme de mythe pour mettre à la disposition de tous les vues philosophiques de Bacon = récit à la première personne (// journal) de l'arrivée de naufragés européens (parlant l'espagnol) sur l'île de Bensalem en pleines mers du Sud, île peuplée par un peuple chrétien parlant de nombreuses langues (hébreu, grec ancien, latin, espagnol) et possédant une vaste connaissance du monde et des peuples qui y vivent sans pour

l'automne 2002), nous nous sommes penchés, quelques-uns de nos collègues et nous, sur la question du nécessaire renouvellement de la gamme des pistes de lecture à présenter aux élèves dans un premier cours de littérature, compte tenu de l'arrivée de la « nouvelle grammaire » au collégial. Nous avons, avouons-le, d'abord cherché à maintenir le statu quo... et, résultat réconfortant, nous y sommes parvenus, du moins dans une large mesure. Ainsi, nous n'avons senti aucune urgence à modifier notre enseignement

sur lequel une montagne « fendue du haut en bas s'entrouvrait ». Ce sentier s'enfoncerait dans cette brèche et suivait le fond entre « deux prodigieuses  murailles ». Des murailles comme on le comprend, merveilleuses, extraordinaires. « Un gros torrent parcourt cette crevasse » On s'imagine l'eau avec ce courant, qui coule au milieu de cette grande et large « coupure » de glace. Il nous décrit de plus, l'air qui est glacial et le granit qui est noir. Il raconte que même en étant à côté de la glace

Sainte-Catherine et à Kamouraska et ses hivers à Québec. En 1942, elle publie son premier recueil de poèmes ``Les songes en équilibre`` qui lui vaut le troisième prix au concours du prix Athanase-David en 1943. ``Le torrent`` sera la deuxième œuvre d’Anne Hébert à paraître, comprenant cinq nouvelles. Il y a eu cinq ans d’intervalle entre la fin de la rédaction du livre et l’année de sa publication. Ceci s’explique par le refus des éditeurs de publier ce recueil. Anne Hébert écrira son premier roman à Paris

dans la préfecture de Yamanashi, le Mont Fuji est le plus haut volcan du Japon (3776 m). Il est aussi réputé pour ses flancs de lacs et de forêts. Localisée sur le versant nord-ouest de la montagne, Aokigahara Jukai en est l’une d’elles, née d’un torrent de lave lors de l’éruption de 864. En dépit de sa jeune histoire (1 200 ans d’existence) et de sa surface (3 000 hectares), cette forêt profonde est devenue célèbre grâce (ou à cause ?) de ses légendes et des phénomènes mystérieux qui s’y déroulent

l'ambition qui me tiennent éloigné de l'âme de ma vie. Au milieu des affaires, à la tête des troupes, en parcourant les camps, mon adorable Joséphine est seule dans mon cœur, occupe mon esprit, absorbe ma pensée. Si je m'éloigne de toi avec la vitesse du torrent du Rhône, c'est pour te revoir plus vite. Si au milieu de la nuit je me lève pour travailler, c'est que cela peut avancer de quelques jours l'arrivée de ma douce amie et cependant dans ta lettre du 23, du 26 ventôse (2), tu me traites de vous (3)

Répétition de « Oui » (l.38 ; l.40 ; l.46)  voix orale  renforcement de la prophétie, voix divine - idée de destin inévitable (« fin du siècle » l.39 ; « fatalement » l.38) - apocalypse violente, force irrépressible de la révolution : o métaphore du torrent l.42 « balayant le vieux monde » ; « qui les emporterait tous » l.37 o déshumanisation du peuple, redevient à l’état de bête sauvage : « grand rut, grande ripaille » l.44 ; « barbare » l.42 o images sanglantes l.39 « ruissellerait du sang des bourgeois

encore ignore le vrai nom, Esprit mystérieux, mortel, ange, ou démon, Qui que tu sois, Byron, bon ou fatal génie, J'aime de tes concerts la sauvage harmonie, Comme j'aime le bruit de la foudre et des vents Se mêlant dans l'orage à la voix des torrents ! La nuit est ton séjour, l'horreur est ton domaine : L'aigle, roi des déserts, dédaigne ainsi la plaine Il ne veut, comme toi, que des rocs escarpés Que l'hiver a blanchis, que la foudre a frappés ; Des rivages couverts des débris du naufrage

Nuage put, au plus une seconde, Cacher quelques rayons de l'œil brillant du monde, Exploit peu glorieux et bien digne d'un fat ; Car, bientôt, se montrant dans son plus vif éclat, Le Soleil radieux, poursuivant sa carrière, Ne cessa de verser des torrents de lumière Sur le monde animé par sa douce chaleur, Et charmé de le voir dans toute sa splendeur. Rien ne saurait ternir l'éclat du vrai mérite ; Et si, parfois, l'envie et la malignité Le voilent un moment, il reparaît bien vite Dans toute sa splendeur