La Nuit des généraux

Présentation générale «Nuit et Brouillard » de Jean Ferrat. Titre : Nuit et Brouillard Interprète, Compositeur, Auteur : Jean Ferrat Époque : Décembre 1963 Style : Lyrique et littéraire Description et analyse de l’œuvre « Nuit et Brouillard » est une chanson engagée de Jean Ferrat qui évoque la déportation des juifs par train : juif lui-même ayant perdu son père (mort à Auschwitz), il dénonce le barbarie de cette période de l'histoire pour que cela n'arrive plus jamais. Contexte

bibliques). Source de guidance, d'inspiration, de problèmes, les rêves constituent une expérience commune pour chacun d'entre nous. Ils ne sont l'apanage de personne. - Dans chaque culture, nous trouverons une version ou une autre du fameux ''la nuit porte conseil'', quand il s’agit de prendre une décision. J’espère pouvoir en donner une explication au travers de ce travail. Un peu de vocabulaire Durant mon exposé, je vais aborder certaines notions que je souhaite vous expliquer

Fiche de lecture : On ne badine pas avec l’amour, Alfred de Musset. [ 1 ] Indications Générales : - On ne badine pas avec l’amour a été écrit par Alfred de Musset. Musset est né le 11 décembre 1810 à Paris et est mort le 2 mai 1857 à Paris également. Il est un dramaturge, un poète, il écrit des pièces de théâtre ainsi que des proverbes. - Principaux évènements biographiques : 1810 : naissance 1828 : entre au « cénacle » romantique de Victor Hugo et de Charles Nodier 1829 : premier recueil

l'un/l'autre, croit qu'elle est invisible nuit/plus/tous : anaphores métaphore : la salle noire = la nuit = l'oasis anaphore « plus que » ? comparaison paronomase : « ouverte à tous » « offerte à tous » fonction cathartique ? coupe du réel ? rêver ? « dispensatrice de bienfaits » « consolante » ; ? champ sémantique de la purgation, de la consolation « plus que tout » ? comparaison absolue « égalitaire , démocratique » ? on est tous = au ciné La nuit on rêve ? mieux que sa vie, ici elle choisit

Exposé espagnol informations générales : Climat : Doux en hiver, chaud en été, le climat de la Costa Brava est typiquement méditerranéen. La moyenne de janvier, le mois le plus froid, dépasse 10 °C et l'été se rapproche de l'idéal avec une agréable température de 25 °C pour l'air et 23 °C pour l'eau. Le secret de ce microclimat ? Un site abrité, entre mer et montagne, animé par un cortège de petites brises. L'été, la brise fraîche qui monte de la mer lorsque le soleil réchauffe les collines nimbe

venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je

CARAVAGGIO (© Galleria degli Uffizi, Florence) On les représentait sous la forme de femmes à la chevelure faite de serpents entrelacés et parfois dotées d'ailes; elles vivaient près du pays des Hespérides, aux confins de la Libye. On distingue en général trois Gorgones: - Euryale, - Sthéno, (la puissante) - Méduse (la seule mortelle). Méduse avait la figure, parfois barbue, d'une laideur repoussante, de forme ronde, avec un nez camard, une bouche immense, munie de dents longues comme des défenses

extérieures entre les divers bâtiments communs et les pavillons de vie des « Villageois », desservis par un pigeonnier. Elle s’agrémente de bancs, d’une fontaine centrale et d’un espace boulodrome afin de parfaire à son entité. Son éclairage de nuit est composé de lampadaires et de bornes rustiques.  Les corps de bâtiments distincts les uns des autres se succèdent dans une logique de fonctionnement. On trouve en premier lieu : - le bâtiment administratif composé d’un hall

directement sur la voie, avec pour seul compagnon de nuit à partager son compartiment, un vieux monsieur du nom d’Amédée Fleurissoire. Alors que Lafcadio regarde le vieux bonhomme, il se prend subitement d’une pensée des plus saugrenues. Comme il tient là, sous sa propre main, la poignée de la portière, il lui suffirait juste de la tirer et de pousser son compagnon de voyage en avant. Qui le verrait ? C’est sûr, on n’entendrait même pas un cri dans la nuit. Acte libre par définition car indépendant de toute

Lamartine) L'Orient jaillit comme un fleuve, La lumière coule à long flot, La terre lui sourit et le ciel s'en abreuve Et de ces cieux vieillis, l'aube sort aussi neuve Que l'aurore du jour, qui sortit du Très Haut. Et des pleurs de la nuit, le sillon boit la pluie, Et les lèvres de fleurs distillent leur encens, Et d'un sein plus léger l'homme aspire à la vie Quand un esprit divin vient englober ses sens. Notre terre éblouie du rayon qui la dore, Nage plus mollement dans