La Nuit du chasseur

d'Afrique de l'ouest). Son nom signifie « guerrier » en langue malinké. Dès l'âge de sept ans, pour pouvoir fréquenter l'école française, il est pris en charge par son oncle infirmier et chasseur. Son oncle était fonctionnaire de l'Administration coloniale. Auprès de celui-ci, Kourouma a appris des secrets des maîtres chasseurs malinkés. Ceci explique la raison d'être de son style d'écrire et de son penchant pour la langue et culture malinké. Selon Tijani (2004 :3), « Ahmadou Kourouma se distingue de ses

d'Andréa, son double masculin, séducteur comme elle, et comme elle désabusé. Ensemble, coupés du monde, dans un corps à corps passionnel, ils s'affranchissent du malaise qu'ils partagent. Mais les démons sont toujours là, qui veillent dans la nuit blanche de ces chasseurs du plaisir."

l’œuvre. Les nouvelles sont au départ publiés périodiquement dans des journaux, Maupassant décide ensuite de rassembler ces contes dans un recueil en l’introduisant avec le thème de la chasse. En effet, la bécasse est un animal symbolique pour le chasseur puisqu’elle représente la difficulté, et donc de la passion. Mais la chasse est aussi synonyme de la mort, un thème qui concernera une grande partie de ces histoires. Sans oublier le comique qui est aussi utilisé par Maupassant. Nous pouvons alors

Les temps du récit I . L’emploi des temps a) Lisons ensemble « Langa » Il était une fois, dans un village, un chasseur du nom de Langa. Sa renommée débordait largement le pays. Il pourvoyait régulièrement le village d'un gibier abondant et varié. Mais, dans cette contrée, les gens vouaient au léopard le même respect qu'à leur chef. Aussi sa chasse était-elle interdite.           Le chef du village était devenu vieux et incapable d'assumer pleinement ses fonctions. Comme sa fin approchait

mouvement (« rien ne bougeait », l.2). II - L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). - L’auteur est acteur -> c’est lui qui va éveiller (l.3) les choses et qui fait partir la nuit. - « Haleines vives et tièdes » = animaux / « pierreries » = rosée ou yeux des animaux / « ailes » = oiseaux ou ailes de la Nuit qui s’en va -> métonymies : ailes, haleines. - « Frais et blêmes éclats » = lumière qui se lève et qui se voit à travers les arbres (« frais » car il fait froid à l’aube). C’est un oxymore

profite de la rénovation de Paris au Second Empire pour monter en échelon, devenir puissant et donc riche. Ils veulent bénéficier de l’ascension sociale. Dans cet extrait de livre nous pouvons remarquer qu’Emile Zola a fait des métaphores tel le chasseur qui représente les grands hommes comme Georges Eugène Haussmann, qui a dirigé les transformations urbaines de Paris sous le Second Empire. Puis il y a les profiteurs à l’exemple d’Aristide Saccard que l’auteur compare à un chien ; et le chassé qui

entre 50 et 52 jours. Le fennec femelle peut avoir jusqu'à cinq petits par portée mais en a le plus souvent deux à quatre. Comportement La nuit, les longues oreilles du fennec lui permettent d'entendre les plus petits bruits que font ses proies, ce qui lui permet de ne pas faire de longues recherches inutiles dans le désert. Le fennec est un redoutable chasseur, rusé et véloce. Il est parfaitement adapté au climat aride, ses oreilles très vascularisées et très grandes comparées à celles du renard

BIOGRAPHIE Ahmadou Kourouma est né à Boundiali, au nord-ouest de la Cote D’Ivoire, en 1927, d’une famille de commerçants malinké. Son père était à la fois marchand de colas, cultivateur et chasseur, nous disent ses biographies. Comme il est d’usage dans le système patrilinéaire malinké, ses parents le confient, à 7 ans, à un oncle infirmier qui va se charger de son éducation. Etre infirmier dans les années trente signifiait avoir une situation privilégiée ; cet oncle se devait donc de donner à

au lecteur la suite des évènements, le pronom « il », qui fait référence à l’enfant, et l’adjectif indéfini« tous », qui renvoi aux différents chasseurs. La dixième strophe explique ce que veut dire  «tous ». La onzième strophe est le « refrain ».Nous comprenons à présent que « ce refrain » fait référence aux mots que hurlaient les chasseurs la nuit en cherchant l’enfant. Dans cette strophe le poète utilise le présent comme pour exprimer une vérité générale. Dans la quinzième strophe,

crépuscule, les invités prennent congé et Siegfried reste seul. Il aperçoit un vol de cygnes blancs, mais ses instincts de chasseurs s’éveillent et il décide de les suivre. Les cygnes blancs glissent sur l’eau près du rivage mais ce sont en réalité de belles jeunes-filles qui ont été métamorphosées en cygnes le sorcier Rothbart (un sorcier mi-homme, mi-hibou) et c’est seulement la nuit qu’elles reprennent leur forme humaine. Seul l’amour éternel pourrait à jamais briser le maléfice. La reine des jeunes