La Nuit du chasseur

Anthologie Poèmes <–> tableaux Le Romantisme Poème : « Le Lac » par Alphonse de Lamartine Toile : « Lever de la Lune sur le lac » par Caspar David Friedrich Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,Dans la nuit éternelle emportés sans retour,Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âgesJeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierreOù tu la vis s'asseoir

rien ne bougeait », l.2). II - L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). - L’auteur est acteur -> c’est lui qui va éveiller (l.3) les choses et qui fait partir la nuit. - « Haleines vives et tièdes » = animaux / « pierreries » = rosée ou yeux des animaux / « ailes » = oiseaux ou ailes de la Nuit qui s’en va -> métonymies : ailes, haleines. - « Frais et blêmes éclats » = lumière qui se lève et qui se voit à travers les arbres (« frais » car il fait froid à l’aube). C’est un oxymore

fleurs, L'automne tant de raisins meurs, L'été tant de chaleurs halées, L'hiver tant de froides gelées, Ni la mer a tant de poissons, Ni la Beauce tant de moissons, Ni la Bretagne tant d'arènes, Ni l'Auvergne tant de fontaines, Ni la nuit tant de clairs flambeaux, Ni les forêts tant de rameaux, Que je porte au coeur, ma maîtresse, Pour vous de peine et de tristesse Ronsard, 1556 II) Le Romantisme : auteurs et poèmes Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine dit Alphonse

du peuple Turc. Il est cependant le destructeur chez les vikings. En inde il est le gardien de la nuit. On peut donc dire que le loup possède souvent un rôle ou une place precise dans la société ou la culture des différentes régions de la planète. Les attitudes face au personnage du loup sont ambigues, elles rallient la fascination, le respect et la peur que suscite depuis toujours ce grand chasseur.

on « entend » plusieurs voix, c’est un poème polyphonique. Ce qui frappe d’abord est le retour régulier, tel un refrain, d’une suite d’apostrophes marquées de points d’exclamation : Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! On entend ici la voix des chasseurs qui martèlent la poursuite de leurs cris. Les insultes étant au singulier, on comprend qu’elles s’adressent au seul enfant non repris et que les cinquante-quatre autres ont déjà été récupérés par les poursuivants. Le récit de l’action, fait au présent

Nicole Fabryka CPC DIJON EST 2006 1 LES ECRITS COURTS AU CYCLE 3 PROPOSITIONS D’ACTIVITES D’ECRITURE Nicole Fabryka CPC DIJON EST 2006 2 SOMMAIRE Déroulement possible de séquence ....................................... 3 1. Variations autour d’un poème ................................................. 4 2. Jeux d’écriture autour d’un verbe « prendre » ........................ 7 3. Du texte narratif au texte prescriptif ou injonctif .................... 9 4. Du texte prescriptif aux

Caractéristiques Expérience Repos Gagner un niveau Equipement Equipement lié Inventaire Chapitre 6 : Les races et les classes Description des classes de personnage Le Guerrier Le Mage Le Prêtre Le Voleur Le Druide Le Paladin Le Chaman Le Chasseur Familiers des Chasseurs Le Démoniste Familiers des Démonistes Chapter 7: Talents Chapitre 8 : Compétences Compétences d'armes & Expertises d'armures Artisanat Artisanat collecte Herboriste 46 47 50 52 54 58 61 65 66 68 70 72 74 76 78 80 82 84 84 86 86 90 93

(« rien ne bougeait », l.2). II ­ L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). ­ L’auteur est acteur ­> c’est lui qui va éveiller (l.3) les choses et qui fait partir la nuit. ­ « Haleines vives et tièdes » = animaux / « pierreries » = rosée ou yeux des animaux / « ailes » = oiseaux ou ailes de la Nuit qui s’en va ­> métonymies : ailes, haleines. ­ « Frais et blêmes éclats » = lumière qui se lève et qui se voit à travers les arbres (« frais » car il fait froid à l’aube). C’est un oxymore

avec laquelle il se joue des balles ennemies (cf. le parallélisme « on le visait sans cesse, on le manquait toujours » et le chiasme « les balles couraient après lui, il était plus leste qu’elles »). *Le personnage paraît minuscule, égaré dans la nuit froide, sur la grande route droite qui traverse la plaine. La crainte qu’il ressent d’abord à la vue des « feux rouges » - dont il ne connaît pas l’origine (noter l’utilisation du point de vue interne) – montre qu’il évolue dans un univers qui lui

Hors la terre, qui est l’espace de la parole, des choix, et de la souffrance, Phèdre n’a pas de lieu : descendante du soleil (ciel et lumière) dont elle veut se cacher, elle est aussi fille de Minos (terre et ombre) qui tient l’urne fatale dans la nuit infernale (94–). Surtout : Phèdre se réfère (mais bien sûr de façon très allusive) à la monstruosité de sa mère et à ses égarements (46-), au feu fatal à tout mon sang (66-), à son sang déplorable (47-). Phèdre relève cette hérédité et se reconnaît