La Nuit étoilée

CHARLES BAUDELAIRE Sélection de poèmes de la section « Spleen et Idéal » Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par delà les éthers, Par delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans l’air supérieur

yeux noirs. La blanche ville aux sérénades, Il passe par tes promenades Bien des petits pieds tous les soirs. Madrid, quand tes taureaux bondissent, Bien des mains blanches applaudissent, Bien des écharpes sont en jeux. Par tes belles nuits étoilées, Bien des senoras long voilées Descendent tes escaliers bleus. Madrid, Madrid, moi, je me raille De tes dames à fine taille Qui chaussent l'escarpin étroit ; Car j'en sais une par le monde Que jamais ni brune ni blonde N'ont valu le bout

rassemblé plusieurs pièces qui sont autant de rêveries dans lesquelles le poète exprime un attachement à un passé idéalisé et intime, d’inspiration chevaleresque et romantique Nous étudierons ensuite un poème de Aloysius Bertrand tiré de  Gaspard de la nuit , « Un Rêve » et publié en 1842. Ce poète est surtout célèbre pour avoir crée le poème en prose. Le quatrième poème est « Rêve Parisien » de Baudelaire tiré des Fleurs du mal et publié en 1861. Ce recueil de poèmes versifiés a été condamné pour

majeure du musée. MOMA : Musée d’art moderne et contemporain de New York (Manhattan) financé par Rockefeller. Il est très célèbre dans le monde entier. Ouvert en 1929. Regroupe divers domaines (peinture, sculpture, dessin, photo…). Il abrite La nuit étoilée de Van Gogh, La Goulue avec deux femmes du Moulin Rouge de Toulouse Lautrec, La persistance de la mémoire de Dali, Les demoiselles d’Avignon de Picasso, la Danse 1 de Matisse ou encore Le Bain de Cézanne. Le « Met » ou Metropolitan Museum: Situé

évolué. J'espère chers lecteurs que vous avez apprécié cet petite préface fait avec coeur et soin et nous vous laissons savourer ces magnifique poèmes. {text:soft-page-break} «Le Lac» Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu’elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m’asseoir sur

de la religion très connue de Jésus. Dans ce tableau on voit une deuxième source de lumière. Un autre tableau exprime là aussi le travail de Rembrandt il exprime ici dans un tableau son adhésion au genre baroque. Ce tableau se nomme « LA RONDE DE NUIT, OU LA COMPAGNIE DU CAPITAINE COCK » on voit alors les caractéristiques de l’art baroque : les groupes, les couleurs, les expressions… L’ART CLASSIQUE OU L ’ART OFFICIEL FRANÇAIS L’art classique français est un réel outil de propagande, Louis

ignore le vrai nom, Esprit mystérieux, mortel, ange, ou démon, Qui que tu sois, Byron, bon ou fatal génie, J’aime de tes concerts la sauvage harmonie, Comme j’aime le bruit de la foudre et des vents Se mêlant dans l’orage à la voix des torrents ! La nuit est ton séjour, l’horreur est ton domaine : L’aigle, roi des déserts, dédaigne ainsi la plaine ; Il ne veut, comme toi, que des rocs escarpés Que l’hiver a blanchis, que la foudre a frappés ; Des rivages couverts des débris du naufrage, Ou des champs

rêve ! - Hé bien ! avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s'entre ouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l'horrible réalité qui m'entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles de ma lampe de nuit, dans la trame grossière de la toile de mes vêtements, sur la sombre figure du soldat de garde dont la giberne reluit à travers la grille du cachot, il me semble que déjà une voix a murmuré à mon oreille : - Condamné à mort ! ». Emile Zola (1840-1902)

qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent

Paris, est fermée et quatre étudiants sont condamnés à la prison. C’est pour réclamer leurs libérations et la réouverture de la Sorbonne que les étudiants, dans la nuit du 10 au 11 mai construisent des barricades dans le quartier Latin à Paris.( 1ere nuit des barricades) L’infernal engrenage est enclenché, le bilan humain de la nuit des barricades est lourd. En quatre heures de combats, les affrontements on fait 367 blessés. Le 11 mai, George Pompidou prend des mesures d’apaisement: la libération