La Paresse Alain

généralement que la première phrase, Alain propose une définition de la pensée, de l’acte même de penser. Penser c’est dire non, c’est refuser d’accepter immédiatement une telle acceptation étant signe de soumission ou de paresse ou de sommeil de la raison. Penser, c’est donc d’abord être éveillé, être en activité et faire preuve de vigilance. Pourtant, suffit-il de refuser, de s’opposer pour penser ? Par ailleurs, faut-il dire non à tout ? Au vrai ? Au juste ? Au bien ?…Alain va donc s’attacher ici à préciser

celui-ci ; ce principe a connu quelques distorsions ces dernières années, notamment lors de campagnes précédant des votations. Le président de la Confédération est élu au sein du Conseil par l'Assemblée fédérale, pour un an. C'est un primus inter pares avec un simple rôle de représentation et dont l'élection se fait traditionnellement par tournus d'ancienneté entre les membres. Avec la Chancellerie fédérale, état-major du Conseil fédéral dirigé par Corina Casanova, les départements fédéraux forment

Fiche de lecture individuelle livre « vivre avec des hauts et des bas » 1.Identification de l'ouvrage Noms et prénoms des auteurs : Christian Gay et Jean-Alain Génermont Nom de l'ouvrage : Vivre avec des hauts et des bas Edition : Hachette littérature Année : 2008 224 pages 2. Résumé de l'ouvrage Les auteurs : Cet ouvrage a été écrit par deux auteurs. Un psychiatre qui est le docteur Christian Gay. Responsable d'une consultation des troubles bipolaires à l'hôpital Sainte-Anne de

peut-on espérer mieux la répartir au sein de la société ? Comment établir une justice face au travail ? 3. LA PARESSE Nous n’entendrons pas ici le terme de paresse dans le sens que nous donne le dictionnaire « vice consistant à fuir le travail, goût pour l’oisiveté » Le paresseux, dit le philosophe Alain, est un homme qui n’a pas trouvé sa place. Nous dirons à sa suite que la paresse est souvent plus le refus du travail aliénant, sans intérêt, et sans but que la recherche de l’oisiveté, mais que

PARAMS= 50 Citation 458 « Un travail réglé et des victoires après des victoires, voilà sans doute la formule du bonheur. » Alain, Propos du 18 mars 1911. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 458 Citation 460 « Le travail utile est par lui-même un plaisir; par lui-même, et non par les avantages qu'on en retirera. » Alain, Propos du 6 novembre 1911. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 460 Citation 461

modèle, mais plutôt à se créer ce qu’il a comparé métaphoriquement à un bocal de poisson rouge qui nous encadrerait et limiterait dans un sens notre liberté pour n’en tirer que plaisir et bien-être. 2) Alain de Botton : une douce philosophie du succès Dans cette conférence, le journaliste Alain de Botton commence par relever une forme de snobisme dans la société où nous vivons. Ce snobisme se représente dans le fait que l’on est apprécié ou non par les autres selon ce qu’on a accompli dans notre

comment cette influence a pu se mettre en place, et comment y échapper. Par définition, les hommes sont capables de penser par eux-mêmes : c’est une de nos particularité, nous sommes des être agissants et pensants. En effet, comme le dit Alain, « la fonction de pensée ne se délègue point », nul ne peut penser à ma place. La pensée est propre aux hommes, l’acte penser ne peut être effectué à ma place. L’homme est doté d’une conscience, d’une raison. C’est-à-dire qu’il peut porter un jugement

maîtres, souffert maintenant du détruiment de son influence. «La France, pendant les années 40 et 50 du siècle dernier, en tant que la capitale des arts, attirant les junes ambitieux y à réaliser leur rêve, a déja cédée sa place à New York. », a déclaré Alain Quemin, critique français. Le déclin de la culture française est également dévoilé par la chute de l’importance de la langue du français. Du 17 siècle, le français a remplacé le latin comme la langage diplomatique internationale. Jusqu’à aujourd’hui

autrui Tout d’abord le mensonge est condamnable quand il est fait à autrui car lorsque l’on ment a quelqu’un on a comme but de le tromper. "Le mensonge consiste à tromper sur ce qu’on sait être vrai, une personne à qui on doit cette vérité-là" Alain, Définition Pourquoi doit-on la vérité ? Parce que l’exigence de vérité est requise dans notre rapport aux autres. Le mensonge pervertit ce qui est au cœur de chacun d’entre nous. C’est à dire la communication, la confiance et notre connaissance d’autrui

éducation qui se fermerait à cette communauté se dégraderait ipso facto en un endoctrinement fanatique ».(p.93) « les culturalistes ont beau jeu de nier la nature humaine en insistant sur les variations culturelles ; on peut pourtant leur rétorquer, avec Alain, que la différence essentielle n’est pas entre cette culture et cette autre, qu’elle est le "fossé entre l’homme et la bête" ». Suit l’exemple du langage (p.89). L’égalité : « C’est que l’homme garde toujours la vertigineuse liberté d’être inhumain