La Parole En Loge

présents dans l'édition dite Les Rouyat. Quant aux "références explicites à Dieu", dans les manuscrits aux 3 premiers grades il n'y en a que 2 : celle de l'obligation précisant entre parenthèses que le GADLU est Dieu et la signification de la parole sacrée Jakin : Ma force est en Dieu. Seule la première référence est omise. Concernant le "principe de justice" qu'il évoque au 2e grade : "Le rituel de 1785 mentionne « la vertu et la justice » [430]. Celle de 1979 [1er rituel de la GLNF] modifie

m’avez offert la lumière. Vous m’avez révélez vos visages, votre Loge et certains de vos secrets. Je suis devenu votre Frère et vous êtes devenus mes Frères. Je suis depuis assis à la colonne du nord, avec mes Frères Apprentis, dans le silence. Nous apprenons à décorer la Loge, à connaitre les titres, les places et les plateaux des officiers. Nous apprenons à nous déplacer et à adopter les particularités du comportement en Loge ; Nous ouvrons nos sens et nous réfléchissons sur vos travaux. Nous

seul parmi les apôtres, au pied de la croix. C'est ensuite qu'il écrivit le 4e évangile dans le but de transmettre la foi chrétienne en rapportant la vie et les paroles du Christ. Si le baptiste est le témoin de la lumière, l'évangéliste est le témoin scriptural de Jésus. L'un annonce l'autre écrit mais tous les deux témoignent de la parole de Dieu. Mais qu'il soit Jean le baptiste ou Jean l’Évangéliste, ces deux Jean font aussi tous deux référence à un Solstice, référence à la notion solaire, qui

cette question qui me semble être le fond de la problématique posée ce soir. Nous avons vu rapidement les idées véhiculées par ce mouvement philosophique. Que disent nos textes fondateurs par rapport à la philosophie des « Lumières » ? « La Grande-Loge-de-France fait référence à un principe créateur / organisateur de l’univers, que la langue du XVIIIème siècle a appelé « Grand Architecte de l’Univers », et que l’on a conservé sous cette forme pour respecter  les textes fondateurs de la maçonnerie

atteinte à l’obéissance due aux lois. La démocratie dans la loge est bien présente : La loge est souveraine et a pour principe « un homme libre dans une loge libre ». Toutes les responsabilités sont clairement délimitées et électives. Tous les frères maîtres sont éligibles aux différents plateaux. Le pouvoir des officiers dignitaires est très limité et les décisions sont collégiales. Les statuts et règlements de la loge sont votés par la loge et aucun responsable ne peut les modifier d’autorité

Les trois lumières de la Loge À la Gloire du Grand Architecte de l’Univers, Vénérable Maître, vous tous nos frères en vos rangs, grades et qualités. Introduction Les Trois Lumières de la Loge: un sujet aussi vaste et aussi important. Tout d’abord la lumière tirée du mot latin lumen se définit comme source d’éclairage selon le dictionnaire et est également définie de différente manière selon le domaine d’activité certaines personnes. En effet c’est ce qui va nous amener à nous

Les lumières d'ordres Sagesse, Beauté, Force ou Sagesse, Force et Beauté. L’éveil, c’est aussi ouvrir les yeux et faire des analogies, des corrélations « symboliques » qui donnent la vision d’un ordonnancement global. « Nous l’avons appris en loge dans la pratique du REP qu’il existait un rapport entre les trois lumières des rites dits « modernes », et les trois grandes lumières des rites dits "Anciens". Ce distinguo visant à créer une distinction dans la pratique rituelique à l’époque de la querelle

que l’on appelle « tailler la pierre brute». Cette démarche intérieure est particulièrement rappelée dans le déroulement du rituel d’initiation au « Rite Français, dit moderne » : « Vous apercevez également les trois bijoux immobiles de la Loge: la Pierre brute, la Pierre cubique à pointe et la planche à tracer. Parmi ceux-ci, la Pierre brute est, mon cher Frère, un emblème qui s’adresse particulièrement à vous. C’est sur elle que vous avez commencé d’exécuter votre travail d’Apprenti Franc-Maçon

donne la parole aux deux femmes. - On peut d'ailleurs remarquer une évolution à ce sujet : il s'adresse d'abord à Cléanthis qui fustige Euphrosine, et celle-ci tente de se défendre, mais avec les multiples attaques de sa servante, celle-ci perd sa force de se plaindre, et devient muette. 2. Cléanthis - Elle a d'abord des paroles décousues qui traduisent son embarras. Comme la scène se déroule, elle a de plus en plus d'assurance. Elle profite du fait qu'elle puisse prendre la parole. A la fin

émotion intérieure profonde. « Moi….de ma propre et libre volonté, en présence du Grand Architecte de l’Univers et de cette respectable Loge de francs-Maçons, je jure et promets solennellement et sincèrement de ne jamais révéler aucun des mystères de la Franc Maçonnerie qui vont m’être confiés, et de ne m’en entretenir qu’avec de bons et légitimes Maçons ou dans une loge régulièrement constituée. Je promets d’aimer mes Frères, de les secourir et de leur venir en aide, je préférerais avoir la gorge