La Parure Incipit

La parure incipit Quel est le statut du narrateur dans ce passage ? Est-ce un personnage de l’histoire ?   Le narrateur est un narrateur témoin : il ne s’agit pas d’un personnage de l’histoire. Il nous livre des informations sur l’un d’entre eux.   De quoi est-il question dans ce passage ? Y trouve-t-on beaucoup d’action ? Pourquoi ?   Ce passage fait le portrait d’un personnage féminin, qui n’est pas encore nommée. On devine d’ores et déjà que c’est le personnage principal de ce récit

LA incipit de La Parure, Maupassant Nouvelle parue dans le journal Le Gaulois du 17 fév. 1884. Un récit composé à la manière d’un roman mais qui s’en distingue par sa brièveté et la simplicité de son sujet. Genre qui devient à la mode grâce à la presse écrite qui consacrait qq pages de ses quotidiens aux récits d’auteurs célèbres et appréciés du grd public. Une façon de fidéliser les lecteurs. Maupassant : romancier et nouvelliste faisant partie du cercle d’amis du naturaliste Zola, grand admirateur

intrigues amoureuses de l'aristocratie où se mèle innocence et libertinage. Cet incipit est la première lettre de l'oeuvre. Elle est "rédigée" par Cécile Volanges pour son amie et confidente Sophie Carnay, encore au couvent. Elle lui relate les évènements passés au cours de sa première journée passée en dehors du couvent qu'elle vient

ER-RHIF Lamia 2nde 4 Maupassant, La Parure, 1884 Cet incipit dresse un portrait psychologique de Madame Loisel. En effet, tout au long de la lecture on ne relève que très peu d’indications sur le portrait physique du personnage. L’auteur présente sa condition sociale en appuyant sur la souffrance et la détresse dont elle fait preuve. On la présente tout de suite comme une victime. Cette victimisation se caractérise par des phrases comme « nées, comme par erreur du destin » ou encore « Elle souffrait

Laclos Lettre première 1782 Roman Épistolaire (récit composé d'une succession de lettres) Effet de réalisme Différents points de vue Libertinage Figure du libertinage : Marquise de Merteuil Vicomte de Valmont Incipit Entrée in médias res Annonce la forme épistolaire La présence d'un personnage type (la jeune fille de bonne famille qui sort du couvent) Effet de réel de part la forme épistolaire Absence de noms (Exemple : M.C***) Post scriptum Introduction:

Séquence n°1 Lire une nouvelle de Maupassant : La Parure. Lecture : l'incipit de la nouvelle I. Un incipit réaliste - L'histoire débute par la présentation d'un personnage féminin qui n'est pas encore nommée. On devine d'ores et déjà que c'est le personnage principal de ce récit. Nous trouvons plusieurs occurrences du pronom personnel "elle", comme si le personnage était connu de toujours par le lecteur, comme s'il n'avait pas besoin d'être présenté, procédé habituel dans un début de

l'incipit du roman. Ce passage remplit-il la fonction d'un incipit ? Nous verrons que ce passage ne correspond pas tout à fait à l'idée que l'on peut se faire d'un incipit, en raison notamment du caractère envahissant de la description, puis dans une seconde partie, qu'il remplit effectivement cette fonction, mais de façon originale et adaptée au genre et au contenu du roman. 1) Le passage ne semble pas vraiment remplir la fonction d'un incipit : a) La métaphore filée initiale semble annoncer un récit

Lecture analytique n°1 Kessel (l'incipit) Intro: Ce texte est un extrait de l'équipage de Kessel. 1923. Incipit. Scène du départ pour la gare avec son frère. Passage obligatoire pour l'auteur. Nous allons voir que c'est un roman guerrier mais aussi a autres facettes. I- Un roman guerrier -Le personnage: présentation d'un héros guerrier > voc des soldats: « aspirant », « guerrier », « soldat » – parle très peu de la famille, Jean veut vite partir. > Il a tout d'un soldat – le nom « Jean Herbillon »

I. Un incipit qui remplit ses fonctions habituelles, en les détournant. Le cadre spatio-temporel est renseigné mais sa présentation est subjective et drolatique. L’action (une enquête) est esquissée et les personnages évoqués mais rien de précis n’est dit et aucun héros n’apparaît. II. Un incipit proprement original. Le narrateur " brode " à loisir, brouille les pistes, instaure un jeu avec le lecteur. Le récit fait une incursion dans le poétique, signalée d’ailleurs par le narrateur

Guy de Maupassant, « la Parure » (1884) Lecture analytique de l’incipit (jusqu’à « de désespoir et détresse »). Maupassant : il a vécu durant la 2ème moitié du XIXème siècle, il a connu beaucoup de femmes et attrapé la sifilis ce qui l’a rendu fou. Il a écrit beaucoup de roman dont « Le Orla » à la fin de sa vie. Son parrain en littérature était Flaubert. I) Un incipit réaliste : -> Comment Maupassant crée-t-il dans