La Pensée Sauvage Levi Strauss

« VENDREDI OU LA VIE SAUVAGE » DE MICHEL TOURNIER La plupart des romans de Michel Tournier mettent en scène des personnages venus tout droit d’anciens livres d’enfance: I'ogre du Roi des Aulnes, les frères jumeaux des Météores, le Robinson de Vendredi ou les Limbes du Pacifique... Certains de ses contes, en outre, tel Amandine ou les deux jardins, ont été édités, illustrés, dans des collections enfantines... D’abord, je vous fait vite fait un résumé de Vendredi ou la Vie Sauvage : Le 30 septembre

contrairement à Hobbes, Locke pense que nul gouvernement légitime (c’est-à-dire librement consenti) ne saurait être un gouvernement absolu. En effet, nul homme ne serait assez fou pour consentir à abandonner tous ses droits, car alors l’état de société serait pire que l’état de nature. L’idée de Locke est que, dans l’état civil, la règle est celle de la majorité et non de l'autorité absolue d'une instance toute puissante . C’est le présupposé de toute la pensée politique libérale aprés Locke

car il y a par exemple un ministère de la famille, Jacob « la famille c'est moderne, de plus en plus de couple se marie ». C'est un enjeu morale, avec par exemple : la contraception, l'IVG. C'est plus un enjeu idéologique. • La famille est souvent pensée comme étant naturelle, il y a une représentation que la famille serait un espace de protection contre les « méchantes sociétés ». On privilégie les membres de sa famille. Il faut s'interroger sur le naturel. Il faut alors dénaturaliser la famille

PIERRE GOUROU Lorsque Claude Lévi-Strauss fonda L’Homme en 1960, il éprouva le besoin de faire appel, au Comité de direction de ce qui allait devenir la Revue française d’anthropologie, à deux collègues, non membres de son laboratoire, appartenant à des disciplines qu’il estimait être proches de l’ethnologie, le linguiste Émile Benveniste et le géographe Pierre Gourou. « Il me paraissait essentiel de manifester certains traits originaux de la recherche française, notamment le lien entre l’ethnologie

Montaigne est par ailleurs profondément humaniste, ce qui se manifeste notamment dans sa conception de l’éducation. Contemporain des grandes découvertes, Montaigne est aussi le fondateur du relativisme culturel, dont les héritiers seront Rousseau et Lévi-Strauss. Septicisme : Avant d’être une doctrine, le scepticisme est une attitude intellectuelle qui consiste à se demander si une véritable connaissance des choses est possible ou non. Son scepticisme est essentiellement basé sur cette constatation

XVIIIe siècles notamment, se multiplient les récits de voyage : Jean de Léry écrit L’Histoire d’un voyage fait en terre de Brésil rapportant les coutumes des Indiens, Montaigne parle de sa rencontre avec trois sauvages venus visiter la France dans ses Essais, et, plus récemment, Claude Lévi-Strauss raconte la vie quotidienne des Indiens Nambikwara. Instruire, c’est aussi apprendre à traiter l’information, c’est-à-dire à jeter un regard critique sur le monde. De nombreux auteurs dépassent la simple

parlons de l’accumulation des connaissances acquises depuis la naissance de l’homme qui va permettre le progrès au fil de l’histoire, nous pouvons affirmer que la culture est le lieu où s’inscrit le progrès. A l’inverse si nous parlons du repos du sauvage (les armes, la pollution…) qui sont néfaste à la culture alors on s’éloigne de ce progrès. Après avoir essayé de déterminer s’il y avait la présence du progrès au sein de la culture, nous allons maintenant nous interroger sur la possibilité de

parmi tous les êtres différents de nous - un être défini exclusivement par la propriété de ne pas être celui qui le désigne, tout en étant identique à lui. Ainsi "autrui" désigne-t-il quiconque est un autre moi que moi, un alter ego !Autrui est ainsi pensé comme étant le même et un autre, le même que moi et un autre que moi, ayant un rapport de soi à soi, comme moi, sans être moi ! Cf. Lévinas (19O5-1995), pour ma part, l'Altérité que je conçois comme le concept opératoire définissant les rapports cognitifs

Locke, Voltaire) B. Quelques œuvres philosophiques traitant de la tolérance (Montaigne, Montesquieu, Herder, Rousseau) 3. Les philosophies de l’altérité A. Les courants « exotiques » (Chateaubriand, Loti) B. Les courants ethnologiques (Ségalen, Lévi-Strauss, Clastres) 4. Les philosophies contemporaines de la tolérance A. Les multiculturalismes américains (Walzer, Taylor, Kymlicka) B. La question multiculturelle en Europe et en France (Wieviorka, Touraine, Lacorne) Résumé du cours II. Cité

étrangère : la nature - et en particulier les animaux - exerce sur ces sociétés une fascination qui rejaillit sur l’ensemble de leur culture, comme le montre la prépondérance des animaux dans leur art, ainsi que dans leur littérature orale. Ce système de pensée fait de l’animal un être inséparable de l’homme, relié à lui de multiples manières, et dont le rôle socioreligieux est majeur. Toutefois, force est de constater que cette représentation du monde semble condamnée à s’éteindre peu à peu, à cause de