La Perestroika De Gorbatchev

l’URSS. b) Les difficultés soviétiques : Or l’URSS est en difficulté politiques (la mort de Brejnev ouvre une crise politique avec trois dirigeants successifs en quelques années : Andropov, 1982-1984, Tchernenko, 1984-1985 et enfin Gorbatchev), économiques (le système est en bout de course) et idéologiques : peu croient encore au communisme surtout en URSS et dans les pays communistes. L’URSS est devenue pour beaucoup « l’Empire du mal » selon l’expression de Reagan en 1983.

une situation délicate En 1985 est élu Gorbatchev. L’URSS est dans une position difficile, elle connaît un déficit économique exceptionnel, le niveau de vie des russes est en baisse. L’accident de Tchernobyl du 25 avril 1986 affaiblit encore un peu plus l’image des soviétiques. Gorbatchev n’a qu’un seul moyen de faire face aux crises : ouvrir ses portes aux investisseurs étrangers, rétablir les libertés et démocratiser son régime. C’est la Perestroïka et la glasnot. Malgré une démocratisation

1956 : Khrouchtchev au XXème congrès du parti dénonce les crimes et le pouvoir autoritaire de Staline mais le fondement totalitaire - 1964 : Brejnev au pouvoir marque un raidissement (néo-stalinisme) - 1985 : Gorbatchev au pouvoir apparaît, c’est le changement de la dernière chance : PERESTROIKA + GLASNOST - 1991 : disparition de l’URSS Modèle américain : - 1776 : déclaration d’indépendance - 1789 : constitution améliorée - 1865 : fin de l’esclavage - 1950 : maccarthysme - 1960 : mouvement

soviétique n’en pas plus pour longtemps...sa dangerosité s’effrite surtout depuis que le réformateur Gorbatchev est arrivé au pouvoir en mars 1985. L’anticommunisme est donc moins virulent ou au moins, plus ciblé. A la sortie de l’album, la Perestroïka et le rapprochement Est-Ouest transforme immédiatement Russians en objet d’histoire puisque les dirigeants ont changé. Certes, la méfiance vis-à-vis de Gorbatchev va quelque peu perdurer. Tout cela n’empêche pas la chanson de rencontrer un franc succès, particulièrement

d'un syndicat en Pologne (Solidarnosc) : premier élément d'opposition dans un pays communiste. • Enlisement en Afghanistan en raison du soutien américain à la guérilla. • Arrivée d'un réformateur à la tête de l'URSS en 1985 : Mickaël Gorbatchev qui lance la Perestroïka (restructuration) et la Glasnost (transparence). • Pénurie alimentaire en URSS. 3. La fin de la guerre froide A – L’effondrement du bloc communiste • Mai 1989 : démantèlement du rideau de fer entre l'Autriche et la Hongrie :

Varsovie en RFA ("trains de la liberté"). - 3-10 RDA suspend libre accès à Tchécoslovaquie, mais autorise sortie des 10.000 réfugiés des ambassades. - 5-10 : 8 trains de réfugiés en Bavière. - 6-10 Gorbatchev à Berlin-Est. - 7-10 manifestation à Berlin-Est, lors du 40e anniversaire de la RDA (Gorbatchev, présent, est accueilli comme un libérateur). - 9-10 : 70.000 manifestants à Leipzig (Krenz, vice-président, aurait annulé l'ordre de Honecker d'autoriser la police à tirer). - 16-10 : 150.000 manifestants

russe, qui dirige l’URSS, est désormais Gorbatchev. Il engage un programme de réformes : la Perestroïka. Sur le plan économique il favorise une libéralisation de même sur le plan politique. En 1987, Il met fin à la course aux armements, et signe le traité de Washington sur le désarmement nucléaire. C’est le retrait des euromissiles installés an RDA et en RFA. L’Allemagne est encore au centre des intérêts politiques des grandes puissances. La politique de Gorbatchev désengage peu à peu l’URSS. Il reconnaît

événement, couvert par plusieurs chaînes de télévision américaines, était pourtant éminemment symbolique. Intervenant trois mois après la chute du mur de Berlin et peu avant la disparition de l'URSS, il était la conséquence de la perestroïka instaurée par Mikhaïl Gorbatchev. Il incarnait aussi l'ouverture du pays à l'Ouest et au capitalisme, McDonald's en étant l'un de ses plus grands symboles. George Cohon a ainsi raconté dans son autobiographie To Russia with fries ses difficultés pour établir la

échec américain, puisque le Vietnam est réunifié sous l’autorité communiste. II) La fin de la Guerre Froide et l’effondrement du bloc soviétique. (1989-1991) A. La fin de l’URSS. Mickael Gorbatchev est le président de l’URSS, en raison de sa politique va largement contribuer à la fin de la Guerre Froide : Perestroïka : « restructuration », c’est une réforme économique qui vise à mettre en place un peu de libéralisme dans la société soviétique, c’est-à-dire, l’autorisation de la propriété privée. Glasnost :

sans cesse renforcer le pouvoir des services de renseignement dont il est issu ainsi que de la police et de l’armée (les ‘‘siloviki’’, les hommes de force) Poutine veut également mettre fin à la libéralisation politique mise en place par Gorbatchev avec la perestroïka et la glasnost, certains médias occidentaux parlent de « néo-tsarisme » De 2008 à 2012 il n’est plus à la tête du pays car il ne peut pas exercer plus de 2 mandats consécutifs, c’est son 1er ministre Dimitri Medvedev qui lui succède et