La Perfection Physique

Hals. | | Naissance | 31 mars 1596, La Haye en Touraine, Royaume de France | Décès | 11 février 1650, Stockholm,  Suède | École/tradition | Rationalisme, inspirateur du Cartésianisme | Principaux intérêts | épistémologie, métaphysique, physique, optique, mathématiques, morale, psychologie, biologie | Idées remarquables | Cogito, doute méthodique ou hyperbolique, morale par provision, dualisme de l'âme et du corps | Influencé par | Platon, Scepticisme, Anselme, Scolastique, Nicolas de

présente aussi la femme comme une beauté parfaite, presque divine, ce qui illustre son incertitude par rapport à l’amour : « T’es tell’ment tell’ment tell’ment belle / […] Un envoi du ciel » (l. 15, 17). Le narrateur s’enthousiasme devant la beauté physique de sa maîtresse. La répétition du mot « tell’ment » accentue ici ce sentiment. Cette répétition porte d’ailleurs sur un adverbe d’intensité, ce qui ne fait qu’en décupler l’effet. Le premier des deux vers présentés plus haut est aussi répété trois

brillante et son écriture commence à changer. Mais la publication des Lettres Anglaises l’expédie en exil en Lorraine. Des années passées au château de Cirey sont dix années très créatrices. Il rédige de nombreuses pièces de théâtre, il fait de la physique, de la chimie, de l’astronomie. Il entretient toujours une grande correspondance avec ses amis parisiens. En 1744, il est rappelé à Versailles et entre dans 10 années de fréquentation des grandes cours d’Europe : Versailles pendant 3 ans et Zadig

dans la deuxième moitié du XVIIe siècle. Il désigne un ensemble de valeurs et de critères qui définissent un idéal s'incarnant dans " l'honnête homme "et qui développent une esthétique fondée sur l'idéal de perfection . L'idéal classique • Souci de perfection, de l'autorité de la raison, de l'ordre, et des règles qui en découlent : respect de la vraisemblance et des bienséances ; souci d'éternel, d'universel, c'est la raison pour laquelle les écrivain de cette pÈriode privilÈgient

de minceur sont devenus omniprésents au sein de notre société. La télévision, la publicité, les magazines féminins et même les jouets comme Barbie ainsi que bien d’autres messages culturels, véhiculent des images qui tendent à promouvoir qu’une perfection corporelle doit être atteinte. Les mannequins et les célébrités participent tout aussi bien à une perpétuation de ce culte. La minceur incarne aujourd’hui des valeurs comme la réussite, le succès et le contrôle de soi. C’est un idéal qu’on cherche

Les écrivains classiques, à leur tour, les imitent car ils pensent que les grands auteurs de l'Antiquité avaient atteint la perfection, prouvée selon eux par la durée de leur renommée. Molière a ainsi imité Plaute, Racine Sénèque ou Euripide, La Fontaine le fabuliste grec Esope, Boileau dans son Art Poétique la Poétique d'Aristote... L'idéal classique Souci de perfection, d'où l'autorité de la raison, de l'ordre, et des règles qui en découlent : respect de la vraisemblance et des bienséances ;

philosophie plusieurs grands penseurs se sont penchés sur la question. De la représentation de la sculpture Adam du peintre de la renaissance Michel Ange au despotisme de l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler, on y retrouve cette recherche de la de la perfection, de la beauté et de la santé. Même encore de nos jour cette image du surhomme nous est imposé à travers les médias et la publicité. On en vient donc à l’eugénisme qui est le contrôle de la reproduction dans le but d’améliorer les qualités de l’individu

intéressant de voir comment nous sommes catégorisés au travers de notre apparence physique, de manière consciente ou inconsciente par les individus qui nous entourent. Notre auto évaluation n'est rendue possible que par comparaison à un référent. Le corps de l'autre est donc pris comme terme de comparaison pour estimer sa propre apparence et ses propres compétences physiques. L'autre n'étant que le modèle de perfection social imposé par la société, le duel s'annonce dès le départ inéquitable et quoi

de polyèdres réguliers. Aristote parvient à proposer une théorie complète de la connaissance , et élabore un système physique cohérent qui intègre la somme des observations faites à son époque. Il décrit un Univers composé de deux mondes de natures différentes : au centre se trouve la Terre, zone de génération et de corruption; elle est entourée du Ciel, domaine de la perfection. Le Ciel comprend sept sphères, portant les sept planètes. Il est limité par la sphère des fixes, sur laquelle sont placées

certaines choses la forme qui leur convient. Mais la forme architecturale n'est vouée qu'à « Etre » en trois dimensions. Ce qui en fait une composante physique dans notre environnement, un encombrement qui structure l'espace, et par conséquent, structure notre locomotion. En effet, si nous abordons la forme architecturale d'un point de vue strictement physique, aussi simple qu'elle soit, elle fait appel à la tridimensionnalité; une simple brique est un objet à trois dimensions. Mais pour comprendre une