La Perpendiculaire Maçonnique

l’état de choc émotionnel dans lequel je venais de rentrer : je n’avais pas le droit de parler à quiconque de ce que je venais de vivre et de ce qui se passerait en loge dans l’avenir. Ma première épreuve à affronter a été la cérémonie d‘initiation maçonnique, cérémonie rituelle durant laquelle de l’état de profane on devient apprenti Franc -Maçon. Au cours de celle-ci j’ai effectué mes premiers voyages de purification, puis m’ont été transmis tout d’abord les premiers outils symboliques  puis les mots

A∴L∴G∴D∴G∴A∴D∴L∴U∴ V∴M∴ et vous tous mes FF∴ en vos grades et qualités, Le sujet de ma planche est : Schib∴ le mot et le sens du mot Lors de la réception au grade de C∴, l’A∴ qui demande à passer de la perpendiculaire au niveau, on bénéficie d’un nouveau signe, d’un attouchement différent se divisant en deux séquences, d’une marche plus complète en deux temps et de deux mots : un mot sacré, et un mot de passe sans lesquels le nouveau C∴ ne saurait être admis

nuit est un meilleur guide qu’une lumière éclatante à midi. Mais de quelle lumière s’agit-il au juste? De la mienne avant tout. Celle qui existait déjà dans mon cœur de croyant profane et qui faisait de moi un candidat potentiel à l’initiation maçonnique.  Celle qu’il me faut attiser pour mieux voir ce qui se passe en moi, mieux voir les aspérités projetées sur mon être dans ma vie profane. Mieux voir ces imperfections pour mieux me connaître, mieux me connaître pour mieux  les combattre, mieux

appelé « perpendiculaire » est représenté par un fil a plomb fixé au centre d’un arceau. Cet outil ainsi représenté, me rappel la maxime de Socrate en ces thermes : «Connais-toi toi-même ».Il m’exhorte à faire une introspection, condition première à mon perfectionnement. Le Niveau représenté par un fil à plomb fixé au sommet d’un triangle et mesurant l’horizontalité, me rappel que tous les hommes sont égaux foncièrement et m’indique de rester modeste quelques soit mes progrès maçonniques. Le 4°

me permets de tracer ce soir s’intitule « La règle à 24 divisions ». Cette méditation renferme plusieurs sens et significations tant dans le domaine de profane que dans le cadre de la maçonnerie. Le travail est le point central de l’enseignement maçonnique en loge. La règle à 24 divisions fait partie de la méthode avec laquelle ce travail doit être mené. Elle symbolise la journée du maçon, dont toutes les heures doivent être utilement employées. En effet, au sens propre du terme, une règle est

propos commence, presque toujours, par une mise en garde sur le risque qu’il y a de confondre le compagnonnage avec la Franc-maçonnerie. Par ailleurs, de nombreux éléments évoqués lors de sa conférence, nous ramènent, néanmoins, à la symbolique maçonnique. La construction du Temple de Salomon est une référence commune à nos deux sociétés. Pour le compagnonnage, la construction du Temple de Jérusalem préside à l’apparition d’une communauté de métiers artisanaux qui, à l’occasion de cette réalisation

retrouvons le thème de la mort propose à la méditation du futur Maçon lors de l’initiation, dans le cabinet de réflexion. L'équerre Le premier usage de cet outil est de tracer des perpendiculaires et des figures carrées. On lui attribue une dignité particulière, en relation avec les notions de justice, de rectitude et de probité. Elle montre à chaque frère, des qu’il fait son entrée dans le temple, que le souvenir de cet ornement doit

1888, lors de la fondation du Groupe maçonnique d’Études Initiatiques, dont la L Travail et Vrais Amis fidèles devait adopter la programme en 1897. Le Livre de l'Apprenti fut tiré tout d'abord à 3.000 exemplaires, qui s'écoulèrent peu à peu jusqu'en 1908. Il fallut préparer alors une nouvelle édition de 5.000 exemplaires. Elle comporta un remaniement de la partie historique, qui fut mise en harmonie avec les conquêtes les plus récentes de l'histoire maçonnique. La troisième édition se trouva retardée

la main droite vers le coté droit et la laisser retomber le long du corps ; pendant ce temps, abaisser la main gauche ; Ce n’est-il pas pour se faire reconnaître d’un autre F\ ? Ces gestes des bras et des mains accomplis par équerre, niveau et perpendiculaire nous aident à rectifier ce qui doit l’être en nous pour avancer et découvrir la lumière. Si le cerveau ordonne et que la main agit en maîtrisant le geste imposé il faut bien effectivement un outil à qui donner le juste effort, la bonne trajectoire

stable, équilibré, régulier. Chaque chose est à sa place, dans un tout cohérant et harmonieux. Dans le pavé mosaïque la dualité n’est pas contradiction mais complémentarité. Le pavé mosaïque est alors, doublement symbolique : il est un symbole maçonnique avec sa fonction particulière, mais il est également un symbole au sens étymologique du terme puisqu’il réunit deux couleurs dont il assure la jonction. A mon sens, c’est l’unité des opposés, assemblés et complémentaires qui est assurée par