La Personnification Maupassant

"trou" peut évoquer la tombe ...Le verbe dormir évoqué a plusieurs reprises garde le lecteur dans le doute. II Un poème qui repose sur des contrastes A. La nature vivante /Homme mort -Nature présentée de façon vivante par le bier de la personnification ;rivière "chante" ... -Adresse du poète à la nature -Symbole de la vie : la rivière (eau) // Cadavre couleur rouge = sang B. Mouvement /Immobilité -Nature en mouvement = Rythme très enlevé , Enjambements , irrégularité de l'alexandrin

nouvelle réaliste Guy de Maupassant, La ficelle, 1883Travail réalisé par : Naoual SalhiSaliha El hilaliRajiba ElmirHanane ZounakiNezha MahmoudChaimaeTouyafzateLa ficelleFiche de lectureRéférences bibliographiques :Titre  : La ficelle Auteur  : Guy de Maupassant Date de publication  : 25 novembre 1883 Nombre de pages  : 10pages Renseignements complémentaires :Auteur : Guy de Maupassant, nait le 5 aout 1850, écrivain

XVIIe ; Europe : jusqu’au milieu XVIIIe) (Théophile de Viau, Agrippa d’Aubigné, St Amant) -fascinés par un monde constamment changeant, par l’inconstance, le mouvement, la mort. Goût de l’ornement, décors surabondant (architecture), métaphores, personnification, antithèses… Liberté du théâtre (pas de règles) La préciosité : (prix donné aux choses), mouvement né dans les salons féminins vers 1650-1660, idéal social et artistique de raffinement et de distinction, débarrasser les sentiments et le langage

travers le lexique : métaphore « mousse de rayons » v4, adverbe « follement » v2. -Profusion de lumière : champs lexical (soleil, lumière, luit) dont les métaphores « la lumière pleut » v8, « des haillons/ D'argent v2-3 -Recours aux figures de la personnification : « la montagne fière » v3, « où chante une rivière » v1 et de l'allégorie « Nature, berce-le »v11 Un personnage ambigu 1) Fragilité et vulnérabilité -insistance sur son extrême jeunesse avec l'adjectif « jeune » v5 postposé, la comparaison

semblable u prince des nuées. (Baudelaire) La métaphore Elle établit une assimilation entre deux termes. Comparé et comparant sont rapprochés sans terme de comparaison. On peut dire que c'est « une image ». Un gros serpent de fumée noire. (Maupassant) S’emmêler les pinceaux. Répondre sèchement. Si la métaphore est développée par plusieurs termes, on parle de métaphore filée. On parle de clichés dans le cas de métaphores passées dans le langage courant (ex : « être à cheval sur

Pierre et Jean de Guy de Maupassant - Chapitre 2 - L’errance de Pierre Comment ce passage rend-il compte de l’état d’esprit de Pierre ? INTRO A REDIGER ! I. Un texte descriptif A. Le Réalisme de cet extrait => imparfait de description utilisé ex : “on le prenait” l.20 => texte essentiellement narratif on remarque qu’il présente peu d’actions => beaucoup de repères spatiaux lieux qui ont vraiment existés pour plus de Réalisme -> toponymes universels ex : “Sainte-Adresse” l.1, “cap de la Hève”

« crépuscule ») tant dis que la lumière qui est utilisée dans l’extrait de la condition humaine, est artificielle, en effet elle provient des buildings de la ville. Ce ci prouve que ces auteurs n’utilisent pas la même nature. De plus, il y la présence de personnifications dans le texte le Zola (« arbres vieillis), mais elles sont plus nombreuses dans celui de Camus (« cymbales du soleil »..). Alors que dans le texte de Malraux, il n’y en a pas. Cette figure de style, montre que dans certains textes la nature est

compris manipuler les plus pauvres qui leurs semblent inférieurs. BEL AMIE Maupassant, dans cet extrait de Bel Amie nous propose l’ascension sociale de George Duroy. En effet dans cet extrait (Première partie, Chapitre premier) il nous fait l’image de l’ascension social que connaitra Duroy dans son avenir .On peut voir ici que plus le personnage montre les marches, plus il se trouve élégant, chique. Maupassant utilise donc une gradation pour nous montrer cela : « il aperçut en face de lui un

Maupassant est un grand écrivain de nouvelles fantastiques et réalistes. Celle nommée Sur l’eau en est une très intéressante, selon nous. En effet, il allie le réel et le surnaturel de manière à ce que le lecteur soit plongé dans l’univers du récit. Au cours de la lecture, des indices apparaissent et viennent déstabiliser l’esprit du lecteur. Nous verrons comment l’auteur parvient à faire ressentir l’angoisse et la peur dans Sur l’eau. On s’intéressa au rôle des indices qui nous annoncent le genre

car leurs enjeux se recoupent. 1) Les descriptions sont nécessaires à la mise en place de l’action - Rôle de l’incipit = présenter les lieux et les personnages. Ce n’est en aucun cas inutile, au contraire. Dans Pierre et Jean de Maupassant la mer n’est pas qu’un cadre : elle est presque un personnage. Ses bruits et ses vagues semblent répondre aux questions de Pierre. C’est sur la mer qu’ont lieu les événements importants de l’action. Sa description met en place le cadre et annonce