La Personnification Maupassant

ou alors séduisants tout simplement, malgré eux. Certains même sont devenus des archétypes, comme Valmont, héros des Liaisons dangereuses, et bon nombre de titres de romans arborent leur nom suggestif, tels Lovelace de Richardson, Bel Ami de Maupassant ou Nana de Zola, comme un appel irrésistible à la lecture ! Faut-il pour autant affirmer qu’un personnage de roman doit être séduisant pour susciter l’intérêt du lecteur ? Nous étudierons tout d’abord en quoi les personnages séduisants possèdent

lui -terme « brisé » → épuisement et découragement face à cette situation brutale Les Lettres Persanes → roman épistolaire car ce sont des lettres envoyés entre ami qui sont des personnages imaginaires et cela va permettre plus de liberté à Maupassant et donc contourné la censure. Plus vivant, plus intime, permet un regard nouveau et distancé sur qqchose de connu + au XVIIIe s l’Orient fascine les Européens ex : les contes des mille et une nuit Micromégas – Voltaire (extrait chapitre

séduisants, ou alors séduisants tout simplement, malgré eux. Certains même sont devenus des archétypes, comme Valmont, héros des Liaisons dangereuses, et bon nombre de titres de romans arborent leur nom suggestif, tels Lovelace de Richardson, Bel Ami de Maupassant ou Nana de Zola, comme un appel irrésistible à la lecture ! Faut-il pour autant affirmer qu’un personnage de roman doit être séduisant pour susciter l’intérêt du lecteur ? Nous étudierons tout d’abord en quoi les personnages séduisants possèdent tous

ensuite un court texte qui mette en pratique ce projet. Commentaire : vous commenterez le texte de Un roi sans divertissement de Giono. De « Langlois avait l’air de dire » à « mon petit bagage de loup » (p. 204 à 205). Dissertation : Guy de Maupassant écrit à propos du romancier : « Son but n’est pas de nous raconter une histoire, de nous amuser ou de nous attendrir », mais « c’est sa vision personnelle du monde qu’il cherche à nous communiquer ». Partagez-vous cette opinion ? Vous répondrez

champ théorique du fantastique soit très vaste, nous allons exposer seulement les théories de base. L’une des premières théories de haute portée est celle Pierre-Georges Castex. Elle paraît dans sa thèse Le Conte fantastique en France de Nodier à Maupassant (1951), et met en relief le caractère obscur du fantastique. Castex l’associe souvent au cauchemar ou au délire et le définit comme « […] l’intrusion brutale du mystère dans la vie réelle » 28. Vu que Ramuz s’inspire parfois des légendes, le

notre 1er de classe La métaphore : Elle est une comparaison sans mode de comparaison. C’est une relation implicite. On ne compare plus une réalité par une autre mais on la désigne directement par cette autre. Exemple : mon père rugit de colère La personnification : Elle consiste à donner à un objet, à un être inanimé, à un animal, les caractères et les sentiments humains. Exemple : la sécheresse fait pleurer la terre b) Les figures de substitution La métonymie : elle consiste à désigner une réalité ou

|densité des figures de style |réaliste (elle a souvent alors une | | | | | | |(métaphores, personnifications) |fonction narrative, soulignant la | | | | | | |qui renseignent sur le degré de |psychologie des personnages)

chapeau rond, de la casquette de loutre et du bonnet de coton, une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d'expression comme le visage d'un imbecile. >> L'etude de ce procede de style met au jour les indices de personnification (Frolich 144). On constate que la casquette echappe au simple statut d'objet. L'objet est traite comme un veritable sujet. Francois Brun compare le portrait de Charles et la description de la casquette et il montre leur complementarite : ce qui

les branches et les rameaux font penser à de multiples voûtes mais c'est avant tout un ouvrage d'art éblouissant de beauté (...) Sommaire: Introduction I) Le symbole de la vie A. L'éloge du parangon de la vie et de la beauté B. La personnification : un hêtre vivant C. Une créature à plusieurs facettes et paradoxale II) Le symbole de la mort A. Un dieu païen B. Une fascination hypnotique C. Le hêtre comme symbole de cruauté et de divertissement Conclusion Ouverture

Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. DEUX ARTICLES DU MONDE À CONSULTER • Alain Robbe-Grillet p. 10-11 (Michel Contat, 20 février 2008) • Maupassant, chroniqueur vagabond p. 11 (Robert Solé, 19 décembre 2008) Portrait de Jean-Jacques Rousseau par Alain Ramsay, 1766. Vers le contemporain Aux xxe et xxie siècles, le roman est toujours un genre particulièrement prisé par les auteurs, comme par