La Pervenche Lamartine

forêt à la plaine, De la montagne au vallon, Je vais où le vent me mène, Sans me plaindre ou m'effrayer ;   | Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose Et la feuille de Laurier. | |  La Pervenche  -  (Alphonse de Lamartine)   Pâle fleur, timide pervenche Je sais la place où tu fleuris, Au pied des monts, ton front se penche           Pour mieux charmer nos yeux épris !   | C'est dans un sentier qui se cache Sous ses deux bords de noisetiers Où pleut, sur

Victor Hugo Dans la forêt De quoi parlait le vent ? De quoi tremblaient les branches ? Était-ce, en ce doux mois des nids et des pervenches, Parce que les oiseaux couraient dans les glaïeuls, Ou parce qu’elle et moi nous étions là tout seuls ? Elle hésitait. Pourquoi ? Soleil, azur, rosées, Aurore ! Nous tâchions d’aller, pleins de pensées, Elle vers la campagne et moi vers la forêt. Chacun de son côté tirait l’autre, et, discret, Je la suivais d’abord, puis, à son tour docile, Elle

clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire, Tout dise : Ils ont aimé ! Alphonse de Lamartine * Le sentiment amoureux * Poésie * Importance de la sensibilité Alphonse de Lamartine Le Realisme Le père Goriot La façade de la pension donne sur un jardinet, en sorte que la maison tombe à angle droit sur la rue Neuve-Sainte-Geneviève, où vous la voyez coupée dans sa profondeur

d’argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire, Tout dise : Ils ont aimé ! Alphonse de Lamartine (1790-1869), PREMIER SOURIRE DE PRINTEMPS Tandis qu'à leurs oeuvres perverses Les hommes courent haletants Mars, qui rit malgré les averses, Prépare en secret le printemps. Pour les petites pâquerettes, Sournoisement, lorsque tout dort

lisions le divin Lamartine. Oui ! nous avons vécu l'âge de nos seize ans Où le coeur entend mieux ce que la lyre exprime, Parmi les vers d'amour frappés au coin sublime. Oui ! nous avons connu les baisers innocents, Sur le lac de cristal que la nacelle effleure, Devant le livre ouvert à la page où l'on pleure. III Comme ils coulaient heureux ces beaux jours d'autrefois ! Comme nous nous aimions avec nos âmes blanches ! Dans les sentiers discrets émaillés de pervenches Qu'épargnaient

Elles illustrent le thème de l'amour. Vous retrouverez 12 poèmes, les uns plus beaux que les autres. Je vous les présente dans un ordre chronologique. Tout d'abord nous trouvons l'œuvre du grand auteur Alphonse de Lamartine (1790-1869) qui s'intitule «Le Lac» écrite en 1820. Lamartine nous montre ici que ce lac lui évoque ces souvenirs, qu'il y ait attaché car ses plus beaux moments y sont lié. Ce texte m'a touché car il me fait penser également à des endroits qui m'évoque de magnifiques souvenirs

au front d'argent qui blanchit ta surfaceDe ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,Que les parfums légers de ton air embaumé,Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,Tout dise : Ils ont aimé ! Alphonse de Lamartine, Meditations poétiques(1820), Le lac C'était, dans la nuit brune,Sur le clocher jauni,La luneComme un point sur un i.Lune, quel esprit sombrePromène au bout d'un fil,Dans l'ombre,Ta face et ton profil ?Es-tu l'oeil du ciel borgne ?Quel chérubin

lois répressives après l’attentat de Fieschi contre Louis-Philippe mènent à la proclamation de la seconde République, le 25 février. 1. Cette période est fort bien évoquée dans le roman de Flaubert L’Éducation sentimentale•. L’Enfant 4 Lamartine, Louis Blanc, Ledru-Rollin qui participent au gouvernement provisoire, la veulent « sociale » et souhaitent que désormais « la blouse » et « la redingote » se côtoient sans hiérarchie. Ils sont favorables à une république démocratique, établissent

qu’il lui plait (vision de narrateur divin) dans une organisation totalement aberrante.! • p34 deux phrases anodines «Nous rencontrions ( le narrateur et Sylvie) sous nos pas les pervenches si chère à Rousseau» p36 « fraises, groseilles, cerises» → ces deux actions se déroulent la même journée → problème : les pervenches ne poussent pas à la même période que les fraise groseille et cerise, exemple encore de la recomposition du passé par la mémoire du narrateur. Cela montre bien qu’il se moque

sur le bord Un orme des longs bras d'une vigne enlacée, Et la voyant ainsi doucement embrassée De son pauvre Perrot se pourra souvenir, Et voudra sur le bord embrassé le tenir... "Je veux faire un beau lit d'une verte jonchée De pervenche feuillue encontre-bas couchée, De thym qui fleure bon et d'aspic porte-épi, D'odorant poliot contre terre tapi, De neufard toujours vert, qui la froideur incite, Et de jonc qui les bords des rivières habite. "Je veux jusques au coude