La Petite Marchande d'allumettes

LITTLE MATCH GIRL (LA PETITE MARCHANDE D'ALLUMETTES JEAN RENOIR 1928) EXTRAIT 1 : [00:07:18]-[00:16:00] La petite marchande d'allumettes est une jeune fille affamée qui tente de survivre en plein hiver dans une ville où tous les habitants restent chez eux, à l'abri du froid, en vendant des boites d'allumettes. L'extrait se situe immédiatement après qu'on l'ait vue envier les personnes pouvant se restaurer, le « nez collé au carreau » d'un café. Karen, la marchande d'allumettes, est vue dans un

photographie.[1] En 1920, il épouse l'un des modèles de son père, Andrée Heuschling, et s'installe comme céramiste. Jean aime sa femme, elle est très belle, « d'une beauté insolite », il veut faire d'elle une vedette de cinéma. Pour elle, il écrit un petit sujet, Catherine, qu'il finance lui-même et fait réaliser par Albert Dieudonné. Andrée Heuschling devient Catherine Hessling. Le film fini est pour Renoir une déception, mais dit-il, « le démon de la mise en scène était en moi ». La découverte, en

projet Objectif général : A partir du travail réalisé en classe autour de « La petite fille aux allumettes » de H. C. Andersen création d’un spectacle salle Europa à Montigny-lès-Metz en février 2012 en partenariat avec l’école de musique de la commune. Valoriser les apprentissages. Intervention d’un dumiste en classe une fois par semaine d’octobre à février afin de sonoriser le film muet « La petite marchande d’allumettes » de Jean Renoir (1928) Voir projet pédagogique « Musique et cinéma » Déroulement

Une Vendeuse d’Allumettes, d’après H. C. Andersen Conte de glace et de feu, tout public, dès 6 ans Conteuse : « C’est pendant les fêtes de fin de l’année. Il fait froid. Le vent souffle. La neige tombe. Dans le centre commercial, toutes les boutiques sont illuminées. Les vitrines clignotent scintillent et brillent de mille feux… Les gens sont contents. Ils achètent plein de cadeaux de dernière minute et se saluent aimablement : - « Bonjour Madame ! Je vous fais un petit emballage cadeau

Renoir.  L'accueil mitigé réservé au film ne décourage cependant pas le cinéaste, qui se lance peu après dans une production coûteuse, Nana (d'après Émile Zola, 1926), puis dans une série de réalisations aux inspirations très diverses (la Petite Marchande d'allumettes, d'après Andersen, (1928); Tire-au-flanc, comédie militaire, 1928) qui ne surent pas toujours convaincre le public.  En 1931 il réalise "On purge Bébé", d'après Feydeau, le tournage est bouclé en six jours seulement ( un exploit dans l'histoire

Centre Scolaire Saint-Michel, Bruxelles Travail de fin d’étude  « La petite marchande de prose » Table des matières |Table des matières |1 | |Fiche signalétique |2 | |Résumé

BIOGRAPHIE Dès son plus jeune âge, Ingvar Kamprad, le créateur d'Ikea a montré un certain talent pour les affaires en vendant des allumettes et des décorations de noël. Depuis, l'histoire suédoise du petit marchand d'allumettes devenu milliardaire a fait le tour du monde. En 1943, comme récompense à une scolarité réussie, son père lui remet une somme d'argent. Cet argent servira de mise départ pour créer un commerce qu'il nomme Ikea, acronyme de Ingvar Kamprad, Elmtaryd, la ferme familiale

plus que de reliquats de corps, conséquence de la folie guerrière. Le ridicule se retrouve ensuite dans les prothèses auditives que Dix représentent comme un jouet : le joueur de gauche porte un tuyau qui part de son oreille droite jusqu’à une petite cornette posée sur la table ; de même que chez le joueur qui fait face, sort de son oreille gauche, comme son voisin de droite, une sorte d’amplificateur. Le jeu de cartes cimente la sociabilité des anciens combattants en Allemagne. Le Skat rassemble

jambes. Ses vêtements sont tout abimés. Sa tête est déformée, ce qui rappelle les « gueules cassées ». Il a les yeux vides et mendie pour survivre. A l’arrière-plan, derrière le mendiant, on peut voir une petite fille qui dessine a la craie sur les murs, les pieds nus, mal habillés. Cette petite fille est probablement une orpheline de la guerre. On voit aussi un autre mutilé, bien vêtu, le buste bien droit et qui passe devant le mendiant sans le regarder. On voit ensuite des morceaux de personnages

LA PETITE FILLE ET LES ALLUMETTES, de Hans Christian Andersen Comme il faisait froid ! la neige tombait et la nuit n’était pas loin ; c’était le dernier soir de l’année, la veille du jour de l’an. Au milieu de ce froid et de cette obscurité, une pauvre petite fille passa dans la rue, la tête et les pieds nus. Elle avait, il est vrai, des pantoufles en quittant la maison, mais elles ne lui avaient pas servi longtemps : c’étaient de grandes pantoufles que sa mère avait déjà usées, si grandes que