La Petite Sœur

Incipit de « l’ingénu » du début à « du frère et de la sœur » - Voltaire L’ingénu ne met pas en scène un univers exotique, oriental ou merveilleux : c’est l’étranger qui vient en Europe. L’histoire commence en juillet 1689, on y trouve des personnages historiques comme Monsieur Alexandre, Le père de La Chaise ou le père Quesnel. Les guerres et les allusions religieuses dont il est question dans le récit appartiennent aussi à l’histoire (exemple : l’édit de Nantes). Dans l’extrait que nous allons

discours direct au vers 4 : « Bonjour, mon petit père ». Le poète ressuscite la voix de la défunte en se servant des termes qu’elle utilisait en s’adressant à lui. On peut ajouter que le mot « petit » montre qu’Hugo n’est ici ni l’écrivain aux nombreuses publications, ni l’homme politique connu de tous mais il est simplement un père comme les autres face à sa fille. Ce poème écrit à l’éloge de sa fille nous dit qu’elle ne ressemblait à aucune autre petite fille, en effet, au lieu des dessins informes

46 cm, représente une petite fille : la petite sœur de l'artiste. Elle est exposée au musée de DALI à Figueres en Espagne. La signature de l'auteur s’aperçoit dans le coin en haut à droite. Le peintre dresse le portrait, quasiment en pied, de sa sœur : Anna Maria, lorsqu'elle était enfant. Le personnage est positionné au centre de la peinture, de manière symétrique. Cette peinture ne présente pas d’arrière plan, mais un fond bicolore très abstrait et irrégulier. La petite fille, qui apparaît telle

La nuit s’engouffrait dans sa chambre peu à peu d’une façon mesquine, apportant des cauchemars pleins de douleurs et de peurs avec elle. Le petit garçon,recroquevillé dans son lit tenaient ces yeux écarquillés comme pour pouvoir capter la seule petite lumière présente dans la pièce. Ces membres tremblaient de manière convulsives, son pouls ne cessait de s’accélérer, la sueur perlait le long de son front. Mais pourtant le silence régnait, pas un seul son émanait de la maison, aucune respiration ne

avaient choisi. Il y a quelques jours, je ne sais plus exactement, la centrale nucléaire Tchernobyl 6 a explosé: une véritable apocalypse . Tout n'est que désolation, errance et souffrance. J'ai perdu toute ma famille,mes parents sont morts, ma sœur Urania a disparu,je suis à sa recherche cela fait des jours que j' erre seule,quelquefois je croise des groupes de personnes hagardes,perdues,à la recherche d'humanité. J'ai faim, j'ai soif, j'ai peur, je suis désespérée. Je traverse une forêt

Guenièvre Roth ne se souvient pas, et même, très peu de son enfance. Elle n’a mémoire que de ses voyages répétitifs en compagnie de sa sœur, Elyzabeth. Mais une chose était sûre, elle éprouvait une profonde admiration pour sa sœur. Pour elle, c’était son modèle : elles portaient les mêmes habits, la même couleur de cheveux, les mêmes marques étranges sur leurs corps, les mêmes yeux qui sortaient de l’ordinaire et bien sûr Élyzabeth était toujours présente pour s’occuper de Guenièvre . Elle n’avait

premier roman, "La garce", elle a mis dans "La petite fille de Dar el Beida" son talent au service de sa propre histoire. Résumé 1. Personnages : * MAROUANE * JACKELINE : elle travail pour « terres des hommes » * Beau frère * Père * Mère 1. NOURA : la sœur ainée 2. KAINAT : la sœur qui suit NOURA 3. Souad : la sœur qui suit KAINAT 4. ASSAAD : le seul garçon de la famille 5. HANAN : la petite sœur Principal Souad : * Description : SOUAD

forêt jusqu’à une vieille maison délabrée, se trouvant au bord d’un lac. Tout à coup, Amandine se mit à crier, à hurler de tout son corps, elle disait que Lena était devant elle, mais sa sœur ne voyait personne et personne ne savait qui était cette fameuse Lena. Le lendemain, la cadette réussit à convaincre sa sœur d’aller parler de ce qui s’était passé pendant la nuit, à leur oncle Georges et à leur tante Karen. Mais, Amandine ne se souvenait quasiment de rien, elle avait comme un vide, un trou

très autoritaire, mène son entourage à la baguette. Elle s’éprend pour l’instruction et se revendique ainsi comme femme « savante » et y entraine également sa file aînée, Armande, et sa belle-sœur, Bélise. Son mari, Chrysale, est mécontent de cette passion car à présent, elle délaisse son ménage. La sœur cadette d’Armande, Henriette, veut se marier à Clitandre, prétendant qu’Armande a éconduit. Cependant il lui faut l’accord de sa famille qui est divisée entre son père et son oncle Ariste qui approuvent

A country of lights (Un pays de lumières) En 1977, La sœur ainée d’Insook était déjà en Amérique depuis cinq ans, et Insook venait pour l’aider à s’occuper de ses enfants. « Je ne savais pas à quoi m’attendre. J’étais ouverte à tout, totalement vulnérable. » « Que voulait dire ‘Amérique’ ? » « L’Amérique ? C’était un endroit dans les romans que j’avais lu, et dans les films que j’avais vu… C’était Scarlett O’Hara et Autant on emporte le vent. J’allais vivre à Tara et rencontrer Rhett Butler,