La Pluie Ponge

NOGUES ALEXANDRE 1D Activité d’appropriation Francis Ponge,  Le parti pris des choses  (1942) Exercice 1 : Le recueil du Parti pris des choses contient 32 poèmes. Exercice 2 :Catégories PoèmesNature végétal et Eléments Naturels· Pluie· Les mûres· Les arbres se défont à l'intérieur d'une sphère de brouillard· Le feu· Le cycle des saisons· La mousse· Bords de mer· De l'eau· Végétation· Le galet Notes pour un coquillage· La fin de l'automne·

de la nuit • Texte B - Arthur Rimbaud "Les Ponts", Illuminations Texte C - Arthur Rimbaud, "Aube", Illuminations • Texte D - Henri Michaux, "La Jetée", (La Nuit remue, 1935, repris dans Mes propriétés, L'Espace du dedans). • Texte E - Francis Ponge, "Le pain", Le Parti pris des choses. Texte A - Aloysius Bertrand, "La ronde sous la cloche", Gaspard de la nuit. C'était un bâtiment lourd, presque carré, entouré de ruines, et dont la tour principale, qui possédait encore son horloge, dominait

Bertrand, "La ronde sous la cloche", Gaspard De La Nuit Texte B : Arthur Rimbaud "Les Ponts", Illuminations Texte C : Arthur Rimbaud, "Aube", Illuminations Texte D - Henri Michaux, "La Jetée", Mes propriétés, L'Espace Du Dedans Texte E - Francis Ponge, "Le pain", Le Parti Pris Des Choses   Texte A - Aloysius Bertrand, "La ronde sous la cloche", Gaspard De La Nuit. C'était un bâtiment lourd, presque carré, entouré de ruines, et dont la tour principale, qui possédait encore son horloge, dominait

dans sa beauté formelle et musicale. En effet Francis Ponge dans son poème L’Olive fait appel a des jeux de mots et de sonorités. C’est le cas avec « Olive, verte vâtres noires » suivie de « olivâtre entre la verte et la noire ». Ce poème repose également sur des jeux de sens avec « olive » et « ovale ». Baudelaire quant à lui privilégie les jeux de formes notamment dans Calligrammes ou chaque poème forment un dessin. « Il pleut » évoque la pluie par sa disposition typographique en cinq lignes verticales

poètes suivants : Ronsard, Rimbaud, Baudelaire, Verlaine, Hugo, Apollinaire, Prévert, Vian, Desnos, Eluard, Ponge Page 2 : Ronsard Mignonne allons voir si la rose Page 3 : Rimbaud Ophélie Page 5 : Verlaine  Il pleut dans mon cœur Page 6 : Baudelaire Enivrez-vous Page 8 : Victor Hugo La plume de Satan et Ecrit au bas d’un crucifix Page 10 : Prévert Sable mouvant Page 12 : Ponge La bougie Page 11 : Eluard Suite Page 13 : Apollinaire Colchiques et Paris Page 15 : Desnos L’idéal

Charles-François Panard, « Le Verre », Théâtre et œuvres diverses, 1764. Texte B : Charles Baudelaire, « Les fenêtres », Petits Poèmes en prose, édition posthume 1869. Texte C : Jean Follain, « Quincaillerie », Usage du temps, 1943. Texte D : Francis Ponge, « L'œillet », La Rage de l'expression, 1952. Texte E : André Wexler, « Le chiffon », Récifs, 1983.   Texte A : Charles-François Panard, « Le Verre », Théâtre et œuvres diverses, 1764.    Le Verre Nous ne pouvons rien trouver sur la terre, Qui

plaine B. Un soleil brûlant dévastateur et stérilisant C. Un soleil générateur d'abondance et de vie III) Etats d'âme dissimulés de la Nature A. La soumission B. Lassitude et accablement C. Haine et tristesse Conclusion Texte 4 : Ponge commence son poème par la fin d'une saison, « l'automne » (l.1), désignée par l'expression « à la fin » (l.1) et la négation « n'est plus que » (l.1). Ce début de poème traite de l'aboutissement d'un processus déjà amorcé qui est la chute des feuilles

SÉRIES TECHNOLOGIQUES   Objet d'étude : La poésie. Texte A : Victor Hugo, L'araignée et l'ortie, Les Contemplations, Livre III (1856). Texte B : José Maria de Heredia, Midi, « La Nature et le Rêve », Les Trophées, 1893. Texte C : Francis Ponge, Ode inachevée à la boue (extrait), Pièces,1962. Texte D: Philippe Jaccottet, Fruits, Airs, 1961-1964.  Texte A -  Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). J'aime

sorti alors de son sac le recueil des Fleurs du Mal de Baudelaire, l'ouvrit à la page des poèmes du Spleen et le tendit au journaliste. « Regardez-là », dit-il en montrant une partie du poème LXXVIII Spleen, « Baudelaire compare ici les trainées de la pluie aux barreaux d'une prison, pour transmettre son mal-être et son sentiment d'enfermement . - Je comprends très bien », répondit Gilles, « cependant, nous restons ici dans le côté lyrique avec ce que vous venez de me montrer, et ce n'était pas tout

------------------------------------------------- Anthologie poétique : ------------------------------------------------- Le partie pris des choses ------------------------------------------------- Par FRANCIS PONGE. P°8 PLAN : * La bougie * Le cageot * La pluie * Le cycle des saisons * La jeune mére * Le papillon La bougie La nuit parfois ravive une plante singulière dont la lueur décompose les chambres meublées en massifs d’ombre. Sa feuille