La Pluie Verhaeren

cher, deuil, reliques, eau-miroir,...). On reconnait actuellement l'influence poétique de cette oeuvre, considérée dès sa sortie, comme un chef-d'oeuvre du symbolisme et qui inspirera d'autres auteurs et poètes (Mallarmé, Zweig, Huysmans, Rilke, Verhaeren,... voir l'annexe « Contextes;Villes mortes, p.142 à 154 de l'exemplaire étudié). Héritier du romantisme, le symbolisme est protéiforme et difficile à définir, mais favorise les valeurs du rêve, de l'imagination, du subjectif, de l'intériorité

doux terroir méridional, à la petite sous-préfecture de Villefranche qui s’étend sans ambition aucune, sans coquetterie gentille, simplette, calme, tous près de la Garonne qui coule, Paris prévaut. Paris et son aspect dantesque, Paris et ses soirs de pluie et de spleen, Paris et sa plainte incessante que la nuit n’éteint pas. Il regrette de s’être éloigné des femmes de la capitale, des passantes jolies, des délicieuses promeneuses dont on ne connaît que le regard, le parfum et l’illusion du cœur. Sans

d'hiver Le guépard Sur trois marches de marbre rose Léopold Sedar Senghor Raymond Queneau Anna de Noailles Verlaine Charles Trenet Gérard de Nerval Chloé Rolland Marie-Françoise Gaucher Marie-Antoinette Cordina-Fontana Jean de La Fontaine Emile Verhaeren Rabelais Jean-Jacques Rousseau Victor Hugo Paul Verlaine Marcel Proust J. Lanzmann, J. Dutronc Boris Vian Diodore de Sicile Homère Platon Virgile Anonyme Ibn Zamrak Bernard Palissy La Bruyère Madeleine de Scudéry Louis XIV La Fontaine Emile Zola

groupe était composé d'artistes symbolistes venus s'établir dans le village de Laethem-Saint-Martin près de Gand La force émotionnelle de ses oeuvres est vite reconnue vers 1886 par les poètes symbolistes belges comme Maurice Maeterlinck, Émile Verhaeren et Grégoire Leroy . Il participe au Salon de la Rose-Croix organisé par Joséphin Péladan à Paris en 1892. À partir de 1895, il élabore son sujet de l'adolescent nu, introverti, agenouillé, la tête incliné, fragile et isolé du monde qu'il reprendra

Que ce soit peu de temps ou une dizaine d’année après un événement funeste ou heureux, ils ont toujours voulu utiliser la poésie afin que l’on n’oublie pas le destin tragique d’hommes, femmes, ou enfant, durant les guerres. C’est le cas d’Emile Verhaeren (1855-1916), un poète belge qui insista sur les méfaits de la première guerre mondiale dans son recueil Les Ailes rouges de la guerre. Dans ce dernier, le poème Aux jeunes soldats morts, publié en 1916, est dédié et dirigé vers les jeunes soldats

édition des Fleurs du mal » 312 Hugo, « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » 314 Lautréamont, « Le Pou » Le poète, alchimiste du quotidien 316 Verlaine, « Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs » 317 Nouveau, « Le Peigne » 319 Verhaeren, « Les Usines » Le poète, alchimiste du verbe 322 Rimbaud, « Alchimie du verbe » 324 Corbière, « Le Crapaud » 325 Apollinaire, « Réponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople » L’objectif est de montrer comment, à partir

du Volpone que des dizaines de milliers de Parisiens eurent la joie de voir jouer à l’Atelier et dont le succès n’est pas encore épuisé aujourd’hui. Il rendit ensuite visite, dans sa modeste demeure du Caillou-qui-Bique, en Belgique, à Émile Verhæren, dont il devint le traducteur et le biographe. Il vécut à Rome, à Florence, où il connut Ellen Key, la célèbre authoress suédoise, en Provence, en Espagne, en Afrique. Il visita l’Angleterre, parcourut les États-Unis, le Canada, le Mexique.

du Volpone que des dizaines de milliers de Parisiens eurent la joie de voir jouer à l’Atelier et dont le succès n’est pas encore épuisé aujourd’hui. Il rendit ensuite visite, dans sa modeste demeure du Caillou-qui-Bique, en Belgique, à Émile Verhæren, dont il devint le traducteur et le biographe. Il vécut à Rome, à Florence, où il connut Ellen Key, la célèbre authoress suédoise, en Provence, en Espagne, en Afrique. Il visita l’Angleterre, parcourut les États-Unis, le Canada, le Mexique.

vers sont majoritairement rimés ou moins assonancés (« pendent/lente » par exemple). Il s’agit par conséquent de vers libres. b. Le choix du vers libre permet à Verhaeren d’imiter visuellement les longs filets et les gouttes de pluie. c. La musicalité du poème est créée par les nombreuses répétitions de « longue », « longue pluie », « pluie », les anaphores telles « Sur les chemins… », les rimes internes comme « peinant, suant, fumant » ainsi que l’allitération en consonnes liquides qui traverse tout

2-3) ou une fonction adversative. Mais adversatif peut être argumentatif (ex.4), réfutatif (ex.5) ou du type « retour sur l’énonciation », où q s’oppose à l’énonciation même de p et non à son contenu (ex.6) : (4) Le temps n’est pas beau, mais la pluie va arroser les champs (5) A : Le temps n’est pas beau B : Mais un rayon de soleil éclaire le salon (6) A : (tél.) Marie demande s’il fait beau. Elle n’accepte de venir que si c’est le cas B : Le temps n’est pas beau, mais moi je ne t’ai rien dit