La Poesie Sublime La Laideur

intrigues aussi bien amoureuses que policières ou criminelles. Ce n’est donc pas pour rien que le roman porte son nom, ou que le personnage de Quasimodo lui ressemble autant, après des années passées dans l’ombre de ses tours. Le « majestueux et sublime édifice » gothique du livre III est suivi un peu plus tard de la dénonciation des démolisseurs des monuments gothiques. Mais elle est aussi l’annonce symbolique de la fin d’une époque, puisque Victor Hugo écrit qu’elle est ce « soleil couchant que

LITTERATURE DU XIX SIECLELE THEATRE FRANCAISE AU XIX SIECLEBIBLIOGRAPHIE · Victor Hugo , Hernani , éd. G. Gengembre, Paris, Pocket, 2009 · Victor Hugo, Ruy Blas , éd. G. Rosa, Paris, Librairie Générale Française, 1994 · Musset, On ne badine pas avec l’amour , éd. F. Lestringat, Paris, Flammarion, 1999 · Labiche, un chapeau de paille d’Italie

objectivement présent dans les choses ou s’il est une qualité que l’esprit attribue aux objets ; aussi cherche-t-elle à définir les processus qui président à la perception des œuvres d’art, et s’interroge également sur la différence entre le beau et le sublime. La critique d’art et la psychologie d’art sont des disciplines distinctes, mais toutes deux s’apparentent à l’esthétique. La critique d’art étudie les œuvres, analyse leur structure, leur signification et tente de définir leur place dans l’histoire

durable, physique ou intellectuel, l'amour est caractérisé par un seul et unique affect, que nous connaissons tous par expérience : la joie. Aimer, c'est « se réjouir », écrit simplement Aristote. La joie d'aimer peut être légère ou intense, banale ou sublime, relative ou absolue. Elle peut s'accompagner de peur, de manque, de tristesse, et même de haine. Mais il y a amour dès lors qu'il y a une joie, du moins un certain plaisir. (...) Aimer, c'est éprouver une valeur positive à l'intérieur de soi -l’amour

La liberté On revendique la liberté au point de vue des thèmes, de l’écriture. Au plan de l’écriture, la liberté se manifeste par la fin des règles, le début des références à l’histoire, aux rêves et aux illusions. Pour la première fois, la laideur sera mise en scène. L’individualisme Conséquence de la désillusion, fin de l’engagement sociale et la volonté de s’échapper d’une société décevante. L’introspection Glorification du moi. La spiritualité prend aussi une dimension

possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique, ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique

dans les odeurs; Ma pensée est couleur de lumières lointaines, Du fond de quelque crypte aux vagues profondeurs. Elle court à jamais les blanches prétentaines, Au pays angélique où montent ses ardeurs, Et, loin de la matière et des brutes laideurs, Elle rêve l'essor aux célestes Athènes. Ma pensée est couleur de lunes d'or lointaines. VAISSEAU D’OR C'était un grand Vaisseau taillé dans l'or massif : Ses mâts touchaient l'azur, sur des mers inconnues ; La Cyprine d'amour, cheveux

Littérature du XIXe siècle Les poètes maudits : Corbière, Rimbaud, Mallarmé | Programme : Corbière, Les Amours jaunes Rimbaud, Poésies Mallarmé, Poésies Cours n°1 : Les poètes maudits et leurs intercesseurs Tristan Corbière : portrait d'un indapté L’appellation « poète maudit » vient de Verlaine qui publie le livre Les Poètes maudits (1884). En 1888, il publie une deuxième édition. Il y rajoute aux côtés de Corbière, Rimbaud et Mallarmé ; Marceline Desbordes-Valmore, Villiers

d’autres = N remet à sa place la tragédie qui a été une solution particulière à un moment de l’histoire l’art fondamental pour N: musique et tragédie, ici il s’agit d’inventer un autre art au XIXe : jonction art/poésie avec le premier : art plastique et musicale // littérature et poésie Aphorisme 145 :premier panneau de l’artiste : la perfection > art d’accomplir une chose jusqu’à son point final perfectare: mettre la dernière main à, il ne manque rien, tout est à sa place dans le ordre =>

ce monde surnaturel dont le monde réel n'est que l'image affadie et même désespérante, en tout cas insatis­faisante. En même temps qu'il investit l'Art de cette ambition métaphysique, le poète lui attribue une finalité technique : être le moyen sublime de recréer l'unité perdue, de produire l'ivresse sacrée par sa "sorcellerie évocatoire", "sa magie incantatoire". Par sa souplesse à traduire les "correspondances", le langage poétique peut nous ouvrir "les portes de corne et d'airain", nous guider