La Position De Pyrrhon Sur Le Bonheur

aucune ne peut lui seul me déterminer. Capacité de distance avec détermination. - science peut déterminer de l’extérieur les objets qu’on appelle chose. Savoir qui je suis : plus difficile. Solitude des consciences. - être sujet : avoir une position singulière, unique. - être sujet : pouvoir qui pose les autres sujets comme objet. Prendre quelqu’un d’autre comme objet est plus difficile que de prendre une table comme objet, car chacun prend l’autre comme objet. - pour être sûr que l’autre

estiment que le bonheur est indépendant du plaisir. Socrate : « connais-toi toi-même » naissance de l’éthique. L’éthique pose la question du bien (plaisir-jouissance, douleur- vertueux) et du mal (douleur-souffrance). Le bien c’est ce qui conduit au bonheur (lié au plaisir mais ne se réduit pas à ça). Hédonisme : plaisir le plus possible, maximisation du plaisir. Eudemonisme : « rival » de l’hédonisme, c’est une doctrine éthique qui soutient que le bien conduit au bonheur mais le bonheur est très différent

l’être absolument, N’est-ce pas une nouvelle illusion que de supposer une vérité absolue ? Enfin, y a-t-il un danger à rechercher la vérité ? Pour Augustin cette recherche est une « maladie de la curiosité » ; Elle peut rendre malheureux. (Vérité/bonheur). Chercher la vérité, à la dévoiler est une quête dangereuse (Galilée, Copernic, Socrate- suggestion des mythes : Œdipe roi qui veut connaître la cause de la peste de Thèbes- ce qui le mène à sa perte/ Psyché qui veut voir le visage de son amant Eros

le stoïcisme et le christianisme, ou entre le scepticisme et le christianisme. On retient surtout une morale, et non pas une réflexion métaphysique. a) le stoïcisme : à propos du stoïcisme et du christianisme, on a relevé tout un éventail de positions, que l’on a ramené à 4 : Le stoïcisme chrétien L’humanisme chrétien Le groupe des libertins Le groupe des augustiniens et des jansénistes association, mélange, de dogmes chrétiens et de morale stoïcienne à peine christianisée. Il est arrivé

présentation de l’atomisme de Démocrite que fait Aristote selon Simplicius (Diels-Kranz, Fragments des présocratiques, Démocrite A 37) : les atomes sont invisibles à l’œil nu, ils sont pleins et éternels, différents en taille et en forme, ainsi qu’en position dans l’espace. Si, pour qu’un monde vienne à exister, il faut qu’une portion de matière constituée d’atomes se 16 © Groupe Eyrolles À l’école des présocratiqu es : méthodes et principes détache de la masse première uniforme, on doit alors

l’analyse sophistique l’élément déterminant c’est le destinataire : dimension de l’apparence. Deuxième position : celle développée par les sceptiques : Il faut écarter une confusion : différence entre les sceptiques modernes et les anciens. Ce doute moderne c’est ce qui constituerait aux yeux des anciens un dogmatisme. Contradiction sur laquelle insiste Descartes. Si l’on illustre la position sceptique : « toute vérité est inaccessible » : on s’expose d’emblée à une contradiction : il n’y a pas

l’éthique Ambivalence de la civilisation occidentale II/ L’origine de l’étique LES GRECS L’étique a été inventée par Platon et Aristote au – 400 il y a 2500 ans. Il y a les éthiques hédonistes et les éthiques eudémonistes qui estiment que le bonheur est indépendant du plaisir. Pour les grec il ya autant d’étiques que de causes à défendre (problématiques plurielles). Il y a eu huit éthiques pour les grecs. On les sépare en 2 groupes : Les éthiques classiques et les étiques marginales.

un questionnement, une interprétation et une réflexion sur le monde et l'existence humaine. Différents buts peuvent lui être attribués : la recherche de la vérité ; la méditation sur le bien, le beau, le juste ; la quête du sens de la vie et du bonheur. 2) L'épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de

a-t-elle du sens ? N'est-elle pas vaine et déraisonnée, voire tragique ? Et cependant, n'avons-nous pas, du fait de notre condition humaine, un besoin de vérité, un besoin de sens, qui nous poussent vers cette quête comme condition de sens et de bonheur ? Plan de cours I. Qu'est-ce que la vérité ? II. Comment accéder à la vérité ? III. Pourquoi accéder à la vérité ? _______________________________________________________ I. Qu'est-ce que la vérité ? Avant toute chose, il faut savoir plus

s'abandonner. On voudrait tourner le vouloir, la volonté d'un but, le risque que l'on pourrait courir en se donnant un but à soi-même; on voudrait se décharger de la responsabilité ( - on accepterait le fatalisme). Enfin: le bonheur, et, avec un peu de tartuferie, le bonheur du plus grand nombre. On se dit: 1) un but déterminé n'est pas du tout nécessaire; 2) il n'est pas possible de prévoir ce but. Maintenant que la volonté serait nécessaire dans son expression la plus forte, elle est justement