La Poésie Doit Elle Forcément être Engagée

depuis toujours la poésie a toujours occupé une place spécial dans la littérature étant considérée comme un art exquis pour certains et renié à un art incompréhensible pour d'autres. En effet Alfred Musset au XIXème siècle déclare « J'aime surtout les vers, cette langue immortelle » cependant beaucoup de lecteurs préfèrent aujourd'hui le roman ou les pièces de théâtres à un bon vieux recueil de poèmes. C'est pourquoi nous allons nous intéresser à ce qui fait que de nos jours la poésie nous parrait moins

La poésie, bien qu’elle fut un art longtemps très limité par toutes les contraintes qu’elle subissait et qui l’enfermaient dans le carcan d’une tradition très fermée, est, des formes littéraires, sans doute le plus varié, le plus libre, et possédant un nombre de ressources infini. En s’interrogeant sur ces ressources, sur ces possibilités si grandes et si variées, on peut s’interroger sur la façon dont la poésie doit être lue. Doit-on partir du principe que cet art est oral ? La poésie doit-elle

INTRODUCTION La poésie est un genre littéraire très ancien aux formes variées, écrites généralement en vers (il existe cependant des poèmes en prose), dans lequel l’importance dominante est accordée à la forme, c’est-à-dire au signifiant. La poésie est un art du langage qui fait une utilisation maximale des ressources de la langue. Comme tout genre littéraire, la poésie est l’aboutissement du travail du poète car en effet comme le dit Victor HUGO chacun travaille et sert à quelque chose. D’autres

Dans le texte le poète défend la poésie engagée dans les deux premiers paragraphes et refuse la poésie divertissante. Il dénonce du vers 60 à 81 les dictateurs et les assassins, et la liberté d’expression en utilisant la métaphore dans l’énumération des termes « fantômes » et « vampires » (l.61), « voleurs de paroles » (l.62), « les tricheurs au jeu de la vie » (l.62), « les spéculateurs de la mort » (l.64). Il montre que la poésie est dérangeante et qu’elle cherche à soulever des problèmes du vers

de la littérature était consacrée à la poésie lyrique ; on désignait ainsi les chants dans lesquels les écrivains exprimaient, le plus souvent accompagnée d’une lyre, des sentiments élevés. Aujourd’hui, il semble que beaucoup associent le genre poétique à cette classification originelle. La poésie, exclusivement lyrique, consisterait donc uniquement à exprimer son moi intime, ses sentiments personnels. Peut-on se satisfaire de cette définition qui, sans être complètement erronée, n’en est pas moins

LA POESIE Au sens premier, la poésie s'oppose à la prose. Cette dernière se définit comme un sermo soluta, c'est-à-dire un « discours délié » dont le seul but est d'aller de l'avant. La poésie, au contraire, est définie comme un « discours mesuré », c'est-à-dire astreint à une mesure que l'on appelle un mètre. La poésie ainsi définie coule la langue dans des moules aussi divers qu'il y a de mètres. Classiquement, la langue poétique se présente sous la forme de vers qui peuvent être regroupés en

théâtre conçu comme un divertissement quand l écrit dans son Petit organon pour le théâtre : « L’affaire du théâtre a toujours été de divertir leshommes. » 2- Eduquer Dans a poétique, Aristote disait de la tragédie qu’elle est un spectacle qui doit se faire par l’entremise de la crainte, de la pitié et de la terrer. Son objectif est depurger les âmes. S’identifiant au héros, le spectateur éprouve en même temps et rejette les passions génératrices de souffrance. Dans la comédie, cette purgation

Sujet : La poésie ne doit-elle parler que de ce qui est beau ? Introduction rédigée Nombreux sont les genres et les registres poétiques qui ont pour but de célébrer le sujet dont ils traitent : la poésie épique exalte les exploits et le courage des héros, l’ode1 vise bien à célébrer une personne ou un événement, il n’est pas jusqu’au registre élégiaque qui, s’il déplore les souffrances liées à la mort ou à l’amour, ne revienne à valoriser la vie et le sentiment amoureux. Dès lors, on peut se

le spirituel, la Beauté donc à créer « L’Irrémédiable » « Le Guignon ». Ne parvient pas à concilier Beau et Bien. Pour conclure on peut dire que Baudelaire ne supporte pas sa condition d’homme mortel et soumis aux exigences du corps. Il voudrait être un pur esprit. Les Fleurs du mal et « Spleen et idéal » en particulier reflètent les tentatives du poète pour échapper aux épuisantes contradictions de la nature humaine divisée entre ses aspirations au Bien et son attirance pour le Mal B= l’Idéal :

morale. Au cours des siècles, le répertoire de la fable s’est considérablement enrichi, constituant un fond de sagesse populaire et de morale pratique. C’est ce genre littéraire que La Fontaine choisit car il y voit la possibilité de pratiquer une poésie naturelle, spontanée, plaine d’élégante simplicité, propre à plaire au public des salons. L’apologue : Vient de « apologos » = récit détaillé/ fable - synonyme de fable puis désigne un récit à visée argumentative - forme très ancienne