La Poésie Est Elle étonnement

utilisant cette métaphore du monument, il souhaite laisser une trace dans l’histoire. Cependant, le poète distingue deux monuments différents ; celui dédié aux jeunes victimes, qui évoquerait leur douleur exprimée avec les mots« souffrances, terreur, étonnement ». D’ailleurs, il accentue cette volonté de leur rendre hommage par l’utilisation de l’anaphore « je voudrais faire un monument ». De plus, il veut se distinguer de ce qui est déjà fait « pas de pierre, pas de béton, ni de bronze qui devient vert

sept ans, il reste très prolifique et écrit de nombreuses pièces de théâtre. Reconnu par ses pairs, il est élu Prince des poètes en 1960, peu de temps avant sa mort à Paris. Jules Supervielle est considéré comme l'une des plus grandes figures de la poésie contemporaine française. Ce poème veut montrer qu’avoir une vie est très précieux qu’il faut profité de sa vie en évitant les petits problèmes, car un petit problème peu entrainer a des grands problèmes, exemple la vie de jules S. qui a commençait

avec trop d’admiration, et une fausse lettre dans laquelle il parle de son amour pour Araminte à un destinataire fictif. Le masque par excellence, c’est la parole », dit Jean Rousset (critique littéraire suisse XXe dont recherches touché surtout poésie et littérature baroque) à propos des Fausses Confidences. Dorante, un jeune noble a perdu sa fortune. Dubois son ancien valet le quitte pour entrer au service de Araminte. Cette dernière est une riche héritière, ravissante, jeune veuve. Mais sa

didactique, épidictique, fantastique  registres plaisants : comiques, satirique 1. Le registre épique  origine : épopée, long récit d’exploits et d’aventures à la gloire de héros hors du commun (L’Illiade, d’Homère).  émotion : étonnement, admiration ou effroi. Il traduit des affrontements grandioses et souvent guerriers (le Bien contre le Mal, la Lumière contre les Ténèbres…), en présence de héros surhumains et de forces surnaturelles. Il vise à amplifier des événements. Les

système de valeurs irremplaçable. Des siècles de civilisation humaine l'ont bâti!… JEAN, toujours dans la salle de bains. Démolissons tout cela, on s'en portera mieux. BÉRENGER. Je ne vous prends pas au sérieux. Vous plaisantez, vous faites de la poésie. JEAN. Brrr... (Il barrit presque.) BÉRENGER. Je ne savais pas que vous étiez poète. JEAN, (Il sort de la salle de bains.) Brrr... (Il barrit de nouveau.) BÉRENGER. Je vous connais trop bien pour croire que c'est là votre pensée profonde

l'emprise passionnelle. Il s'agit alors de voir comment le poème, sous couvert d'un propos hostile, est en réalité un témoignage amoureux et comment le poète transforme une plainte en un récit dont l'atmosphère est « infernale ».  Je pense que cette poésie de Baudelaire est très belle parce qu'elle touche à un thème très intéresant: le rapport entre un "homme" et un “vampire”, qu'est toujour pensé comme "l'autre", "celui qui est différent" ,et à cause de cela il/elle est quelcu’un qui doit vivre seul

l’aspiration vers Dieu et son attirance vers Satan. Il oppose systématiquement ses aspirations vers l’Idéal (spiritualité) et sa fascination de ses propres rechutes qu’il appellera le Spleen. Dans la première partie, Spleen et Idéal, il cherche dans la Poésie et puis dans l’Amour de vains remèdes contre ce Spleen ou désespoir. Pour vaincre ce désespoir, il se tourne alors vers d’autres moyens d’évasion comme le spectacle de la ville et des hommes, les paradis artificiels (le vin), le vice (les Fleurs du

stratège.) Progression, tout le monde, puis "même" le roi aime cet art. INTRO : Corneille, à propos de sa pièce, parle d'un trait d'art quand au dénouement qui consiste à créer une illusion pour mieux la dissiper. Comme le précise Aristote dans sa poésie procure une catharsis qui permet au spectateur de se libérer de ses émotions. C'est en opposition aux règles du théâtre classique que Corneille inscrit sa pièce L'illusion Comique dans le courant Baroque. C'est dans ce dénouement que Corneille dévoile

connaissances seule par son expérience des choses et grâce à sa curiosité qui se développe. La pédagogie de Rousseau est une éducation par les choses. Or le contraire des choses, ce sont les mots, et donc les livres. On découvre, parfois avec étonnement, une véritable campagne contre les livres; On note par exemple l’exclamation : « Je hais les livres! » qui ouvre une assez longue critique de ces derniers. Jean-Jacques hait les livres, entre autres, parce que, selon lui, ils ne nous apprennent

sorte d’intellectuel de l’humour. Il le niera toujours, prétextant une « éducation pauvre. » Il s’en sert pourtant, pour attirer le regard, montrer ce qui l’étonne ou ce qui l’émeut, ce qui l’amuse aussi. Son regard oscille en permanence entre joie, étonnement et tristesse. Il sensibilise le spectateur aux sujets graves, interroger sur le monde et les hommes, refuse l’indifférence. Ferdinando Scianna, un autre rescapé de la mémoire de Magnum, lui aussi grand photographe à l’excellent français, connaît