La Poésie Est Elle étonnement

personnage. Car dans le rêve, il poursuit sa vie de veille. Le rêve permet aussi de jouer sur la chronologie du texte, et de fonder une écriture de la surprise. C’est le cas du récit rêveur Nadja de Breton où le lecteur est guidé de coïncidence en étonnement. Le rêve permet enfin de construire un moment de liberté, où l’on peut tout dire, où l’on peut tout imaginer, et notamment braver la censure. Sous couvert de rêve, parce qu’il est une inversion du réel, on peut tout dire. Le Rêve de d’Alembert

dieux de la cité. Il y a une volonté universelle de tout comprendre et d'égaler les dieux c'est ce qu'on appelle Hubris(= démesure, folie). Les premiers penseurs cherchent à penser par eux-mêmes en répondant à une curiosité nouvelle loin de la poésie et du mythe pour s'engager dans la voie nouvelle de la recherche rationnelle : elle est donc la science de la philosophie. On se détache du pouvoir politique et religieux, on ne se contente plus de l'observation des faits, on cherche des causes

|Bardamu ne voit que le grotesque de la comédie que se jouent les | | |hommes entre eux et Meursault regarde avec indifférence ou étonnement | | |les grands gestes théâtraux et les effets de manches de ses juges...: | | |ils voient des faits qui

dernière partie, à la révélation des intérêts que chacun tire du tragique mais accommodant suicide d’un enfant (§3-4). I. L’illusion du réel (§1)Marques énonciatives qui ressemblent à celle du récit, plus que de la poésie : Focalisation interne mais qui est ce « Je » ? En effet, Baudelaire dédie ce poème à Manet, mais son narrateur s’apparente à ce dernier puisqu’il est peintre et perd son modèle inspiré du fait divers. Le discours est rapporté entre

parties de son visage contribuaient à ce rictus, toute sa physionomie y aboutissait, comme une roue se concentre sur le moyeu ; toutes ses émotions, quelles qu’elles fussent, augmentaient cette étrange figure de joie, disons mieux, l’aggravaient. Un étonnement qu’il aurait eu, une souffrance qu’il aurait ressentie, une colère qui lui serait survenue, une pitié qu’il aurait éprouvée, n’eussent fait qu’accroître cette hilarité des muscles ; s’il eût pleuré, il eût ri ; et, quoi que fit Gwynplaine, quoi

faits et des sentiments, il se demandait si tous appartenaient au même homme, si une seule vie avait pu y suffire, et il cherchait à les rattacher a quelque autre existence perdue, tant son passé était loin de lui ! II se regardait lui-même avec étonnement en songeant à toutes ces idées différentes qui lui étaient venues devant ces mêmes bornes et ces mêmes broussailles, aux élans d'amour qu'il y avait eus, aux crispations de tristesse qu'il y avait éprouvées, et ne saisissant plus nettement les motifs

d'en haut il la dévoile ; Car la poésie est l'étoile 80 Qui mène à Dieu rois et pasteurs. Analyse Dans la Préface des "Voix Intérieures", Hugo avait déjà parlé de la «fonction sérieuse» du poète, de sa mission civilisatrice. L'idée s'affirme et se précise ici : sans descendre dans l'arène politique, le poète doit guider les peuples ; il est l'annonciateur de l'avenir, inspiré par l'éternelle vérité, et ne saurait sans trahir sa mission se limiter à la poésie pure. Cette conviction caractérise

exposé, les. On n’atte à la manière ge les réponses possib Ainsi, le plan analytique, dialectique envisa nel. sujet. Le plan de vue person ndés dans le posé. points dema les différents se au problème ctives de répon perspe es divers 86 La poésie II La poésie représente un espoir pour l’être se fait notre porte-pa humain car le poète role II-1 Le poète exprime nos sentiments Argument – Nous avons souvent du mal à exprimer langage nous paraît faible ce pour rendre compte de l’intensité que nous

 je suis  immédiatement éblouit par sa beauté. Si je remarque sa beauté c’est que  cette personne se détache de l’environnement où elle se trouve, qu’elle a  un caractère singulier exceptionnel, qu’elle est belle au point de susciter  chez moi un étonnement inédit qui arrête mon regard contrairement à ce  qui l’entoure. La beauté ne se questionne pas, on ne se demande pas si on  est devant une belle représentation, la beauté de celle‐ci nous apparaît  immédiatement. La beauté ne serait donc pas « une question » 

premiers vers et surtout, ses scandales. Durant son notariat, il garde l’habitude contractée à Louis-le-Grand de rédiger des vers. Son OEdipe est presque achevé, bien qu’il ne parvienne pas encore à le faire jouer. Il échoue également au prix de poésie de l’Académie française. Mais deux poèmes scandaleux, Le Bourbier et L’Anti-Giton s’ajoutent à sa réputation de jeune homme turbulent. Dans ses poèmes, François Marie se permet de se venger des personnes qu’il déteste. En 1714, en cette fin de règne