La Poésie Fonction Sublimer Le Réel

imperfections d’hier. La diversité générique de l’œuvre devient source d’abondance et des inédits confirment au hasard des découvertes les dons exceptionnels d’un écrivain polygraphe. Bien vite, Les Tragiques forment l’expression la plus pure de la poésie baroque et d’Aubigné l’écrivain majeur de son temps – J. Plattard parlait d’une « figure de premier plan de la Renaissance » (1931). Dans le seconde moitié du XXe siècle, l’œuvre albinéenne connaît enfin une consécration indiscutable. Aujourd’hui

l’œuvre d’art : DELIMITER (donner sa place à l’homme dans le monde)2.1.   Délimiter pour se représenter : l’exemple de l’architecture sacrée des Temples2.2.    La caractère sacré des nombres : Pythagore, la gématria et la superstition2.3.   Le sublime dans la fonction pyramidale, le nombre d’or et les spirales logarithmiques3.       Transgresser   : La hiérophobie contemporaine (Le sacré ne disparaît jamais)3.1    Du sacré dans un monde techno-centré ?3.2    Du vertical catholique à l’horizontal protestant :

comme le confirme l'enjambement des vers 1 et 2 qui suggère l'immensité des espaces que l'albatros a à parcourir. Cette notion de grands espaces est renforcée par l'hypallage du vers 2 (" vaste oiseau des mers " = oiseau des vastes mers). - L'aspect sublime : Au-dessus de l'horizontalité médiocre (la société), l'oiseau donne une impression de majesté, fait de fluidité, comme l'eau sur laquelle vogue le navire mis en relief par l'harmonie suggestive du vers 4 en " v ", " s " et " f ". - L'isolement,

peste fait des ravages. Une société médiévale qui évolue avec des principes. On remarque une division de la société médiévale en 3 ordres : * Les oratores, tiré du latin oraré = prier. Il s'agit en fait des membres du clergé qui ont pour fonction spécifique d'obtenir par la prière la protection divine. Une population très religieuse à l'époque. * Les bellatores : les guerriers. Vient du latin « bellum » * Les laboratores : ceux qui travaillent la terre. Ce sont généralement

autour de pratiques artistiques permettant de s'intégrer, former un tout cohérent (comme les maisons des jeunes). La création artistique fait médiation, on a l'idée est que l’art est quelque chose de « magique ». La fréquentation artistique à une fonction intégrative. Cette médiation culturelle a un engouement parce qu'il y a un problème du politique à la question du vivre ensemble (la preuve est qu'on ressent ce problème de plus en plus et qu'on en parle de plus en plus). On met donc en relation

révolution copernicienne. C’est de la théorie de la connaissance = au fond, nous sommes un point fixe (la conscience) et ce point fixe n’a pas à tourner autour des objets mais elle fait graviter des objets autour de son pouvoir central: elle a un fonction solaire. La philosophie se définit comme l’affirmation de la toute puissance de la conscience dans un mouvement transcendantal. L’attractivité du « je pense » vient à se soumettre tout forme de connaissance. Mais cette organisation toute puissante

leur viendrait pas à l'idée de rompre avec lui pour jeter les fondements d'une nouvelle esthétique. Le théâtre est, à cette époque, totalement assimilé à la poésie classique. Textes importants pour l'histoire de l'esthétique du théâtre : - préfaces de Racine à ses tragédies - discours sur la tragédie, discours sur la poésie dramatique de Voltaire - Racine et Shakespeare, Stendahl - Préface de Cromwell, Hugo Pendant tout le XVIIIè et la majeure partie du XIXè, l'esthétique

constitue toutefois une véritable création. La réécriture constitue malgré tout une véritable création. Pour commencer, l'auteur copie une oeuvre mais l'innove. En effet, il apporte une nouveauté à celle-ci, une modernisation et cela en fonction de chaque époque, et de chaque mouvement littéraire, et l'adapter au lecteur. La réécriture combine l'ancien et la modernité. C'est ainsi que l'on retrouve un Dom Juan de Molière, suivant les règles classiques ( unité de temps, de lieu et d'action

dispose des deux éléments essentiels à l'influence éducative: une signification universelle et un appel immédiat. Parce qu'il combine ces deux moyens susceptibles de faire autorité sur l'esprit, il surpasse à la fois la réflexion philosophique et la vie réelle. La vie recèle un appel immédiat, mais les événements qui la composent manquent de portée générale: ils s'accompagnent de trop de hasards pour pouvoir déclencher dans l'âme une vérité profonde et une impression durable. La philosophie et la pensée

représentations de l'entendement. Elle ne se révèle pas dans le concept mais hors de lui. Elle se donne, elle advient à l'Etre. Elle ne peut donc se saisir que par une visée esthétique là où la philosophie reste muette. L'art a pour Nietzsche une fonction métaphysique : il manifeste l'être. Il met ainsi en évidence le fait que cette saisie ne peut être qu'esthétique, intuitive et non conceptuelle. L'art ne va-t-il pas ainsi être conduit à remplacer la philosophie ? Faire de sa vie une œuvre d'art