La Poésie Pejorative

désignés par l’adjectif « petits ». En définitive, l’enfance de ces bambins est éliminée et laisse place à une condition misérable causée par leur dur labeur. Ensuite, le poème met en avant l’univers monstrueux de l’usine à partir de sa description péjorative. De nombreuses comparaisons qui exposent cet univers comme la métaphore au vers 6 ou l’usine est décrite comme une « prison » ce qui traduit l’enfermement sans culpabilité des enfants par leur maitres. Cet univers infernal est exposé par la gradation

SOUS LA FORME DE COMMENTAIRE COMPOSE L’ALBATROS DE BAUDELAIRE MORGANE RENAULT : motha95@free.fr Introduction : Les Fleurs du Mal, 1857 : nouvelle poésie qui fit scandale. Continuités avec le courant romantique : on retrouve les mêmes thématiques, le mal de vivre, qui chez Baudelaire, s’amplifie et devient le Spleen => refuge de l’artiste dans la poésie du Beau. Nous verrons comment Baudelaire, dans « l’Albatros », oppose l’Idéal au Spleen, met en scène une vision pessimiste de la société, dans laquelle

de la poésie, mais aussi sur le mot même de rime, qui reprèsante ici la poésie en général. Ce mot de rime est important à relever en cette fin de v., d'abord parce qu'il crée une alliance virtuose du fond et de la forme en mettant le substantif « rime » à la rime, ce qui frôle la mise en abyme, et parce qu'il entre dans le procédé plus virtuose encore des rimes équivoquées que va suivre le poète en débutant un poème où toutes les rimes contiennent le mot « rime ».C'est vraiment ici la poésie qui est

la poésie, mais aussi sur le mot même de rime, qui reprèsante ici la poésie en général. Ce mot de rime est important à relever en cette fin de v., d'abord parce qu'il crée une alliance virtuose du fond et de la forme en mettant le substantif « rime » à la rime, ce qui frôle la mise en abyme, et parce qu'il entre dans le procédé plus virtuose encore des rimes équivoquées que va suivre le poète en débutant un poème où toutes les rimes contiennent le mot « rime ». C'est vraiment ici la poésie qui

règles, le goût et le beau classiques : expression sentiments (poésies lyriques) + expression désenchantement par rapport à la société qui les déçoit(poèmes engagés, expression de leur révolte) → extrait des Contemplations (1856), recueil très connu constitué de deux partie : « Autrefois »/«Aujourd'hui » autour d'une date : le 4 septembre 184 → livre III, 1ere partie, « Les Luttes et les rêves » = misère du peuple - poésie engagée et poésie lyrique + composé de sept quatrains en décasyllabes et pentasyllabes

Emma SauvantEmma Sauvant Intro : La poésie par définition est une création, l’acte de faire. Ce n’est pas seulement une façon d’écrire, c’est l’art de manipuler les mots, de les arranger pour qu’ils s’articulent et se complètent entre eux. Mais la vision de l’art poétique a beaucoup changé au fil des années. Effectivement cette pratique est présente depuis le début de l’Histoire, accompagnant dans leurs évolutions toutes les civilisations humaines. Elle a pour but d’aider à exprimer ses sentiments

Antoine Emaz ou l’anti-lyrisme   Antoine Emaz : En-deça, Fourbis, 1990, non paginé, De l’air, Le Dé bleu, Eclats d'encre, 2006, 112 p            Est-il possible, envisageable même, que la poésie se prive du secours du lyrisme ? Certes, elle a pu être épique, comique, objectiviste, donc rarement sans ce je ne sais quoi d’enthousiasme qui fait chanter l’objet du discours… Mais à se priver de ce doigté de chant sublime, de sentiment personnels soufflés sur le monde, les choses ou l’aimé(e), ne

Du Bellay dont les Muses sont la source de son « cœur vainqueur » tandis qu’on trouve chez Baudelaire une image péjorative. Baudelaire désacralise la muse, il ne lui donne ni prénom ni ne met de majuscule à « muse ». Baudelaire et Du Bellay n’entretiennent pas les mêmes relations avec leurs muses. Baudelaire la dénigre et rêve d’une muse bien plus efficace qui lui apporterait une poésie « où reignent tour à tour le père des chansons [Apollon] » qui serait appréciées grâces à des inspirations antiques

- > latin « pretosius » = « qui a du prix ». Une chose précieuse est donc communément une chose de grande valeur, de haute importance. - Dès le XVIIe 2 connotations selon le contexte : → méliorative = « raffinement » → péjorative = « ridicule » LA PRECIOSITE DANS LA SPHERE SOCIALE a) Définition des « salons littéraires » : - Hommes de lettres, dames de Cour et gentilshommes se retrouvent régulièrement dans des hôtels aristocratiques nommés « salons littéraires »

 Fiche méthodologique : Français Poème : "À la musique" " À la musique " est un poème extrait de la section " Cahier de Douai" du Receuil Poèsies, paru en 1870. Écrit par Rimbaud à la veille du conflit Franco-Prussien, le poète se moque ouvertement, dans ses neufs quatrains, du patriotisme bête qui règne à Charlevilles, les soirs de concert dans le jardin public de la ville. Dans une lettre à G.Izambart, le jeune Rimbaud dénonce le " patrouillotisme " de ses concitoyens, néologisme