La Premiere Replique De Tartuffe

« Il réchappa, n’est-ce pas ? ») et il accepte de l’entendre disputer : « Eh bien ? » * Mais très vite, ses réponses montrent son ennui : * Sur la médecine, en une réplique, DJuan exprime son idée : « C’est une des grandes erreurs qui soient parmi les hommes ». * Cela suffit ! dès la seconde réplique, il élude la question (« Vous ne croyez pas ? – Et pourquoi veux-tu que j’y croie ? ») * Puis deux antiphrases : « l’effet est admirable », « tu as raison » (l. 13 et

voyage en Amérique du Nord en 1968, il fit de multiples séjours à l’étranger (Amérique latine, différents pays d’Afrique noire) qui eurent une grande influence sur son inspiration. Il écrivit et mit en scène une première pièce dès 1970 (les Amertumes), inspirée par Enfance de Maxime Gorki. Après 1977, son écriture prit une nouvelle orientation : tout en mettant en scène des personnages singuliers, solitaires — voire marginaux —, chacune des pièces de sa maturité

restes de la troupe, qui se fond bientôt dans la troupe du duc d'Épernon, dirigée par Charles Dufresne. C'est dans l'acte d'embauche du danseur Daniel Mallet, en juin 1644, que Jean-Baptiste Poquelin signe simplement « De Moliere, prenant pour la première fois son nom de théâtre. Jamais il n'en a voulu dire la raison, même à ses meilleurs amis. Depuis le 19e siècle, les biographes pensent que ce pseudonyme a pu être choisi en l’honneur de l’écrivain libertin François de Molière ou du musicien Louis

représenter la morale sur scène mais préfère à la tragédie, la comédie, qui permet une critique des mœurs au travers de son temps. Dom Juan, qui est joué pour la première fois en1665, connaît un succès considérable jusqu’à ce qu’il soit secrètement interdit par le roi sous la pression des dévots qui venaient de faire interdire Tartuffe. En effet, cette pièce, qui reprend un sujet à la mode déjà illustré par l’espagnol Tirso de Molina, est une tragi-comédie qui raconte la vie dissolue d’un libertin

Dom Juan ou le Festin de pierre est une comédie de Molière en cinq actes. Ecrit en prose et joué pour la première fois en 1665, Dom Juan met en scène un personnage infidèle, séducteur, libertin et blasphémateur. Comme son nom l’indique, Dom Juan relate les aventures d’un jeune noble, du nom de « Dom Juan », vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle : Dom Juan y accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès ; à l’exception

le but n’est plus uniquement de faire rire mais aussi de critiquer la société. Ses comédies de caractère qui dresse un portrait cinglant de la société lui attire de nombreux ennemis. Justement, en 1666, après les problèmes rencontrés à la suite de Tartuffe et Dom Juan, Molière crée le Misanthrope comme pour provoquer une fois de plus ses ennemis. En effet, dans cette comédie grave, rédigé en vers, Molière fait le portrait d’un homme dénonçant et fuyant toutes formes de fausseté ; un ennemi de la société

fonction de catharsis de la société, soit la purgation des sentiments à travers le théâtre. Aristote dans sa Poétique en dit ; c’est la purification de l’âme du spectateur par le spectacle du châtiment du coupable. Ainsi les tragédies se trouvent à la première ligne pour accomplir cette fonction. Prenons l’exemple de Phèdre, tragédie éponyme de Racine, le personnage principale, Phèdre l’épouse de Thésée, produira cet effet de catharsis chez le spectateur, vu l’emprise de ses sentiments incontrôlables qui

Tout texte ajouté à la fin d'une œuvre littéraire et qui apporte, de manière indépendante, des  éléments nouveaux postérieurs aux événements racontés.    II LES PHASES DE L'ACTION​  ​ DRAMATIQUE ​ (lire FMH, p. 262b ; cf. aussi M&T p. 121)    L' exposition :  La ou les premières scènes qui fournissent les informations (sur les personnages ou la situation) nécessaires pour comprendre la suite de l'action.     Exemple : La scène 1 de l'acte I du ​ Britannicus​  de Racine expose les différends entre Agrippine  et son fils Néron

Certains auteur les rédigent avec soin tel que Feydeau ou Samuel Beckett, alors que d'autres ne donnent aucune indication scénique. Au delà des didascalies, présentes ou non, les textes théâtraux se distinguent à première vue grâce à l'apposition des noms des personnages avant leur réplique. Ceci peut alors prouver qu'une conversation s'échange entre plusieurs personnages et aide à retrouver le lecteur. Il est vrai, qu'en plus des noms donnés, en début de chaque scène est indiqué les personnages présents

comparant à sa rivale et en affirmant sa supériorité sur une jeune fille d'un rang social plus élevé : c'est le mouvement qu'amorce l'expression « toi seule », référence implicite à Camille, qui devient explicite avec la mise en relief en fin de réplique de la « bague de Camille ». Par le temps des verbes (l'imparfait « c'était » et le plus-que-parfait « m'avait donnée »), Perdican relègue Camille dans un passé révolu. Grâce à cette progression étudiée dans l'éloge, Perdican peut presque affirmer