La Princesse De Clèves Procédés

Commentaire de texte – La princesse de Clèves (portrait) , Madame de La Fayette Introduction : La princesse de Clèves est un roman historique d’analyse écrit par Madame de La Fayette en 1678. Il est fondateur du roman moderne car c’est la première fois que l’héroïne possède une épaisseur psychologique complexe. L’histoire se déroule à la cour d’Henri II, puis de François II au 16ème siècle. Le texte qui nous intéresse se situe au début du roman. Il décrit la première apparition de Melle de Chartres

devient rapidement pour le lecteur l’histoire de Fabrice del Dongo. Quand ces acteurs de l’intrigue jouent le rôle d’accroche et donnent leur nom au titre de l’œuvre, on parle de personnages éponymes. Le Père Goriot, Mme Bovary. Le XVIIe utilise le procédé du roman éponyme : Jacques Le Fataliste et son maître de Diderot. Le XIXe en est le point culminant ave René de Chateaubriand… Au XXe en revanche, le personnage n’est plus, pour beaucoup de romanciers, une priorité pour aborder leur œuvre.En conséquence

d’analyse, dans lequel on retrouvera une excursion située au cœur des émotions de personnages souvent partagés entre l’amour et le respect des principes. Si nous prenons, par exemple, le roman de Mme de Lafayette « La princesse de Clèves », nous pourrons observer les réactions de Mme de Clèves et M. de Nemours, héros qui se heurtent à une passion violente et soudaine. Confus, tourmentés et honteux parfois, les personnages s’analysent eux-mêmes en observant le comportement de ceux qui les entourent. Grâce

Flaubert : l’impressionnisme comme en témoigne la description de Mme Arnoux. On mesure l’évolution de ce genre depuis les portraits classiques qu’on a pu étudié comme celui de Mme de Clèves ou celui de Manon Lescaut. La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette (1678) Intro pour les 3 lectures : La Princesse de Clèves, publié en 1678 est un roman qui regroupe plusieurs influences : la préciosité que l’on découvre à travers l’idéalisation des personnages et l’analyse approfondie des sentiments avec

faiblesses humaines. Ces règles et codes de la vie sociale de l’époque furent adaptés en littérature par Boileau avec son œuvre : L’art poétique. Ces règles imposent donc des contraintes aux auteurs que ça soit dans l’écriture de romans comme La Princesse de Clèves (Mme De Lafayette), dans la composition de poésies ou de fables comme Le Chêne et le Roseau (La Fontaine), ou bien l’écriture de pièces de théâtres tel que Les fourberies de Scapin (Molière) ou Cinna (Corneille). Les contraintes alors imposées

la narration toute entière dans le cas du roman par lettres. De La Princesse de Clèves, dans laquelle toute une part de l'histoire s'organise autour de la lettre du Vidame de Chartres et de sa récriture par les deux amants, à L'orgue de Barbarie de Bernard Chambaz, en passant par l'essentiel des romans du XIXe siècle on n'en finirait pas de dénombrer les oeuvres romanesques utilisant les lettres. Balzac a lui-même usé du procédé, non seulement dans le roman épistolaire (Le Lys dans la vallée ou

« découverte » est liée de manière inextricable à la notion de connaissance : ce qui est découvert est en partie connu. La connaissance psychologique découle de la découverte de circonstances, de mécanismes humains. De ce point de vue, La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette est un exemple assez frappant. En effet, le lecteur a accès à un certain nombre d’informations sur ce personnage : l’éducation qu’elle reçoit de sa mère attachée à faire paraître la vertu, l’absence de présence

littéraires : réalisme et naturalisme, le Nouveau roman Constitution et fonctions du portrait ****** Séquence II La Princesse de Clèves, une héroïne de son temps Problématique : En quoi le personnage de roman traduit-il la sensibilité d’une époque ? Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIème à nos jours. œuvre intégrale : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (pas d’édition imposée) Lectures analytiques : 1. Extrait n°1 : 1ère partie, « Il parut alors une beauté à la cour […]

fictives, des « êtres de papier » créés par les romanciers qui font croire à leur existence réelle en les caractérisant et en les faisant vivre par divers procédés. Des le XVII siècle, les portraits des personnages peuvent subir plusieurs modification selon les problèmes de l’époque ou du milieu social par exemple dans le portrait de La Princesse de Clèves 1678 de Mme de La Fayette qui représente les difficultés de vivre dans une société avec la corruption des mœurs mais en cherchant le bonheur à travers

La multiplication de ces adverbes intensifs semble parodier l’incipit de  La Princesse de Clèves  où Mme de La Fayette décrit un coup de foudre à l’aide de ces mêmes procédés littéraires. Il s’agit bien sûr d’une subtile parodie car chez Stendhal, le cadre n’est pas la fastueuse cour d’Henri II comme dans  La Princesse de Clèves , mais une maison bourgeoise. Le décalage entre le style précieux et l’univers décrit peut