La Prisonnière

le désir s’oriente. III/. Désir & désir de l’autre - Désirer avoir toujours plus que l’autre, être l’objet de son envie. - « Souvent les femmes ne nous plaisent qu’à cause du contre poids d’homme à qui nous avons à disputer » - Proust, La prisonnière. - Désirer n’est donc rien d’autre que le désir du désir de l’autre. - Désirer c’est la volonté de reconnaissance. - Le désir veut conquérir, il veut être reconnu par ce qu’il reconnaît. p94 - C’est en cela que le désir est désir d’être désiré

refrain pour obtenir alors un distique et un quatrain. Pour des raisons pratiques dans cette étude, nous nous référons toutefois ici à des sizains. LE THEME DU TEXTE : Ce poème semble parler de deux hommes qui viennent libérer une « belle, prisonnière » en haut d’une tour puisqu’il faut, pour l’atteindre, utiliser une « échelle ». Ceci nous fait bien sur aussitôt penser aux contes populaires qui se passent au Moyen-âge, avec deux preux chevaliers venus libérer une belle princesse enfermée dans

obsédant, comme s'ils défilaient jusqu'à la folie dans la tête de Fantine pour aboutir à un constat désolé : elle n'a plus rien. [2.3. Prisonnière de la société : un univers de cauchemar] Fantine vit dans une terrible solitude affective, privée de sa fille ; il n'y a pas d'issue pour elle : travailleuse « libre », Fantine ? Elle est tout autant « prisonnière », dans son univers de cauchemar, que les femmes emprisonnées dont le travail bon marché lui fait concurrence ; cette impression d'enfermement

situation dans laquelle se trouve la malheureuse, situation exprimée tardivement au vers 13 : « ainsi parlait au chat la souris attrapée » à la lecture du mot attrapé nous comprenons que tout le discours de la souris est influencé par sa situation de prisonnière. Ainsi le ton respectueux sur lequel elle s'adresse au chat s'explique par cette position d'infériorité. - Tutoiement et vouvoiement Tout au long de son plaidoyer la souris vouvoie le chat, les indices de ce vouvoiement sont tout d'abord les verbes

temps perdu. Ces Œuvres : Albertine disparue : Publié en 1927 Albertine disparue est le dernier volume revu et remanié par Proust avant sa mort, et publié à titre posthume. Prévu d'abord sous le titre 'La Fugitive', comme le pendant de 'La Prisonnière', il présente la fin de l'épisode d'Albertine : sa fuite, sa mort, le chagrin, puis l'oubli. Un long passage conduit Marcel à Venise, depuis toujours cité de ses désirs, maintenant univers thématique dense où nous retrouvons sa mère, Mme de Villeparisis

contradiction, l’être aimé va donc se prendre au jeu du déterminisme passionnel, mais c’est une action libre et volontaire de la part de l’amant ( qui a librement accepté sa captivité, et est tombé amoureux de son plein gré ), ainsi, la liberté joue la prisonnière. L’amour véritable est donc, en quelque sorte, voué à l’échec. Tout d’abord, l’auteur affirme dans la première partie (lignes 1 et 2 ) que l’amant ne cherche pas à s’approprier l’autre : ce que l’auteur cherche à dire est qu’il ne veut pas le « posséder »

venus de la Grèce, aux Troyens. Face à la cité, les navires des assiégeants reposent sur la plage et leur servent de campement. Agamemnon, le chef des Achéens, retient prisonnière Chryséis, fille d'un prêtre troyen d'Apollon et le dieu a envoyé une peste meurtrière sur l'armée. Achille adjure Agamemnon de rendre la prisonnière. Le roi finit par y consentir, mais décide de prendre en dédommagement Briséis, une belle Troyenne captive d'Achille. Furieux, ce dernier décide de cesser de combattre avec

cherche moi-même. Mon bonheur évolue avec moi. Je ne veux point d’une vie figée comme la tienne, réduit à un état de constante inaction, prisonnière d’un carcan solidement établi autour de ma personne. Je ne veux point être victime de cette aliénation environnante et chronique. Je veux être libre! Emma. Détrompe toi je ne suis nullement aliénée, encore moins prisonnière, cette vie je l’ai choisie et cela pour mon plus grand bonheur. Je te souhaite ardemment de connaitre un jour ce bonheur, que ton bonheur

Tableau-synthèse Déduction Repérage des illustrations Interprétation Idées principales et thèmes Procédés d’écriture Preuves textuelles Explication de l’illustration Dualité de Verlaine Il est confus et instable dans sa situation amoureuse. Son âme est prisonnière. Champs lexicaux Ivresse : « folle » (v.3) « ivre » (v.12) « immensité » (v.14) Dualité émotive : La situation affective du poète est contradictoire et démontre son instabilité. Tristesse : « amer » (v.2) « mélancolique » (v.7)

entre eux deux : elle dit à propos de la voix d'Oreste qu'"elle me fait mal, elle me coupe comme un couteau." (lignes 46-47). Electre ressent une espèce d'hostilité. Oreste échappe à Electre quelquepart. Elle est prisonnière de l'acte qui a été fait par son frère. En fait, Electre est prisonnière du remords : "je ne me sens pas libre." (ligne 26). Electre lui fait remarquer la malédiction de la fatalité. III - Les Mouches, image du remords Electre est attirée par le remords, par ses déesses : les