La Prisonnière

ses vergers. Il vivait une vie paisible avec ses vieux parents, son épouse Pénélope et son fils. Il reçut un message du roi Agamemnon. Ce message disait  qu'il devait sauver Hélène, la femme du roi Ménélas         (frère d'Agamemnon), qui était prisonnière des Troyens et qu'il avait besoin de lui. Au bout  de dix ans, ils réussirent à la délivrer. Mais ce fut assez compliqué. Il y eut beaucoup de morts. Pour cela, ils ont dû  entre autre construire le cheval de Troie. Apres la guerre de Troie Ulysse

Documents • Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, chapitre II, 1834. • Marcel Proust, La Prisonnière, 1923. • Albert Cohen, Belle du Seigneur, chapitre LXXXVII, 1968. 1. Quelle vision de la relation amoureuse chacun de ces textes propose-t-il ? (3 points) 2. Comment le cinéaste J. Rivette (document D) rend-il compte des rapports entre les deux personnages du roman de Balzac ? (1 point) |Document  A | 

Pages 175 à 177 Introduction : Camus était un écrivain réaliste et un philosophe et un résistant très actif durant la seconde Guerre mondiale. La peste, une maladie terrible redoutée mais aussi fascinante sert ici à illustrer la condition humaine, prisonnière du destin. L’action se déroule en 194x dans la ville d’Oran qui est touchée par la peste. Problématique : Quelle est la visée de cette présentation macabre ? I. Une présentation ayant une visée macabre a. Omniprésence des morts b. Les Oranais

contenus dans l'atmosphère, à savoir principalement la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone et le méthane . L’effet de serre est appelé comme ceci car il est comparé aux serres dans la jardinerie laissant passer la chaleur du soleil et la retenant prisonnière à l'intérieur. Même si ce phénomène est naturel, il est toute fois aggravé par l’action de l’homme. En effet les voitures et les autres types de transport (avions, bateaux,…) dégagent beaucoup de dioxyde de carbone. L'augmentation du taux de dioxyde

: La Guerre de Troie n’aura pas lieu, pièce de théâtre écrite par Jean Giraudoux en 1935 présente une intrigue similaire à celle d’Andromaque : une femme est enlevée d’un peuple. Ce dernier cherche à la récupérer et menace la terre qui retient prisonnière la femme de déclencher une guerre. Argument : Astyanax est très proche du caractère d’Hector Citation : « Le tien seul m’intéresse. C’est parce qu’il est de toi, c’est parce qu’il est toi que j’ai peur. Tu ne peux t’imaginer combien il te ressemble

plus la Cependant, je n'avouerai jamais la douleur de ton départ, Je préfère sourire du matin au soir. Mon coeur se serre lorsque je te croise ton chemin, Mes repères s'envolent, ainsi va mon destin, Une pluie ????? le long de mon visage, Prisonnière de cette vie, depuis mon plus jeune âge. Je cours après ces souvenirs avides, Essayant de semer derrière moi, ces pensées si vides, A bout de souffle, je m'allonge sur un banc, Les yeux dirigés vers le ciel taché de nuages blancs. Doucement

–On peut aussi constater qu’il n’y a aucune ponctuation dans ce poème en heptasyllabes. Le rythme produit des effets d’étirements, de rupture ou même de mise en valeur. On observe par exemple des enjambements : « la belle/prisonnière » v 3-4, « qu’elle/vive » v 17-18, « celle/qu’aucun des deux » v 45-46 Mise en valeur des mots en contre rejet : « Lequel/A le plus triste…

ainsi de la ceinture. Selon une autre légende, les hostilités commencèrent dès que les héros débarquèrent et la ceinture fut remise en échange de la liberté de Mélanippe, une Amazone qui était peut-être la soeur d'Hippolyte et qui avait été faite prisonnière.

Polynésie SÉRIE L Objet d'étude : le roman et ses personnages, visions de l'homme et du monde. Textes :  Texte A : Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, chapitre III, 1834. Texte B : Marcel Proust, La Prisonnière, 1923. Texte C  : Albert Cohen, Belle du Seigneur, chapitre LXXXVII, 1968.  Texte A : Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, chapitre III, 1834.< [Antoinette de Langeais a, pour satisfaire son orgueil, séduit Armand de Montriveau, héroïque généra! de l'armée de Bonaparte

l’impossibilité de cette sortie pour la mère, mais les deux fils insistent avec des affirmations « Si, c’est possible » et négligent la réservation et l’objection de leur mère au point de l’obliger de sortir ;en la prenant par les bras comme une prisonnière, il est temps de la libérée « Allez,mon petit frère, prends la par un bras, je me charge de l’autre. Tu y es ? un , deux, trois, partez ! ». Ensuite, la mère essaie d’ordonner ses fils pour qu’ils arrêtent leur imbécillité ( selon la mère ) en utilisant