La Préciosité Dans La Princesse De Cleves

DEVOIR SUR LA PRINCESSE DE CLEVES "Aucun secret, aucun retrait, aucun détour; tout est mis en lumière, en valeur, et rien à attendre de plus; sans doute, c'est le comble de l'art : un nec plus ultra sans issue" André Gide Gide observe aucun secret aucun retrait aucun détour dans l'écriture. Ne s'appliquait pas au plan de la fiction. Après le point virgule, cela s'applique aussi à l'art de l'écrivain. Un récit qui met tout en lumière, tout en valeur. "Rien à attendre de plus" signifie que

les salons mondains, des débats passionnés autour de la peinture des sentiments amoureux. Son auteur a, en effet, été influencée par deux courants d'idées. D'une part, on reconnaît, dans les réactions des personnages qui parcourent le roman, la Préciosité, mouvement initié par des femmes, qui revendique le droit au respect et prône le raffinement du langage et des manières. D'autre part, amie de La Rochefoucauld, dont la participation à l'écriture du roman est probable, Mme de La Fayette est marquée

l'amour par Mme de Lafayette souligne toute la préciosité des sentiments de cette époque, le XVIIe siècle, siècle des beaux sentiments, de la bienséance... Cf. la Clélie de Mlle de Scudéry + idée du devoir, de la vertu - qui semble dénuée de sens au XXIe siècle : pourquoi, alors que l'on est libre (Mme de Clèves est veuve) ne pas épouser l'homme que l'on aime plus que tout au nom de la vertu ? NB : c'est par sa seule volonté (vertu) que Mme de Clèves refuse le mariage avec son amant car la société

La princesse de Clèves Introduction : -roman de mme de LaFayette (1678) (renaissance) -publié sous un pseudonyme (Claude Barbin) puis en 1780 Lafayette apparaît sur l’œuvre -roman moderne car premier roman d’analyse psychologique et fin du roman courtois médiéval -XVII marqué par la préciosité (contraste) -roman encré dans la vraisemblance (vraisemblance historique : cour de Valois d’Henri II + vraisemblance psychologique : évolution naturelle des sentiments) -présenté comme l’inspiration

personnages stéréotypés-« Riquet à la houppe » est caractérisé par un signe physiquedistinctif (cf définition du Littré : étymologie : on dit qu’ennormand, riquet veut dire contrefait, bossu), et la« Princesse » est définie par son statut social (jeune fille nobleà marier).-Des personnages stylisés : autant la Princesse est laide (maiscela n’apparaît pas dans cet extrait), autant Riquet accumuleles traits de laideur (3è paragraphe du texte), ce qui lerapproche du monstre.-Surtout, des systèmes d’opposition

Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves (1678) texte 1 Intro : Lafayette -> auteur classique du XVII em siècle, du temps de Louis XIV (noble et amie de Larochefoucauld). Le roman date du XVI èm siècle à l’époque d’Henri II. Roman -> L’histoire d’une jeune femme mariée très jeune et qui n’a jamais été plus heureuse que pendant son mariage. Bal au palais du Louvre -> Elle va rencontrer l’homme de sa vie (Mr de Nemours). Question possible : Comment cette rencontre amoureuse se déroule

En 1678, Mme de Lafayette, femme de lettres française et classiciste du XVIIème siècle, fait paraître de forme anonyme La Princesse de Clèves, roman historique et d’analyse influencé par le jansénisme et la préciosité. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l'indique le narrateur dans ses premières lignes. Dans cet extrait, on va témoigner l’apparition et de deux personnages, Mme de Chartres et sa fille, et leurs effets

Correction L.L. La Princesse de Clèves Texte 1 Correction L.L. La Princesse de Clèves Texte 1 Introduction qui peut être valable pour les trois textes (avant l’annonce du plan): Le classicisme, « art de pudeur et de modestie » comme le dit André Gide, est la recherche d'une harmonie entre la pensée et le langage, c'est avant tout exprimer simplement les mouvements du cœur dans leur complexité. Cest un mouvement culturel esthétique et artistique qui se développe en France, et plus largement

1 Etude d’une œuvre intégrale : La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette, 1678 Problématique : En quoi La Princesse de Clèves est-elle une femme symbole du renoncement ? Textes :  « Il parut alors une beauté à la cour […] pleins de grâce et de charmes. » (tome 1)  « Le lendemain qu’elle fut arrivée […] une passion et une estime extraordinaires. » (tome 1)  « Elle passa tout le jour des fiançailles […] ne put admirer que Mme de Clèves. » (tome 1)  « La reine dauphine […] la

la Cour » Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678 Introduction :  Femme de lettres, appartenant à la noblesse, Mme de la Fayette a fréquenté toute sa vie les cercles mondains et littéraires, ainsi que l’entourage de la Cour. Parmi ses amis, on compte Mme de Scudéry, auteure de romans précieux, Henriette d’Angleterre, future duchesse d’Orléans, ou encore le duc de La Rochefoucauld, un des maîtres du classicisme. Son œuvre majeure, La Princesse de Clèves, est publiée en 1678. Elle est considérée