La Quete De La Perfection Physique

sont cependant plurielles et complexes. D’une part, le mythe du sport est représenté par l’idéal. Georges VIGARELLO, dans son essai L’esprit sportif aujourd’hui : des valeurs en conflit publié en 2004, considère le sport comme l’avènement d’une perfection irréalisable dans le monde quotidien, c'est-à-dire le dépassement de soi pour atteindre des objectifs surréalistes. Les sportifs sont alors considérés comme des héros : des modèles exemplaires. Pour le philosophe français Gustave THIBON, dans son

intérieur Tout part du Temple du roi Salomon qui est auréolé d'un mythe intemporel. La sagesse et la quête de perfection de ce roi l'ont conduit à vouloir édifier un temple extraordinaire auquel il a voulu apporter toute sa science et la transcendance de sa relation avec Dieu. Donc, les temples ont toujours eu comme mission de nous amener au-delà des apparences, au-delà de la lettre, au-delà du physique et du matériel pour capter et ressentir ce qui est véritablement essentiel. Le temple le plus important

guider « dans le chemin du vrai, et en aplanir la voie ». Il s’agit donc de suivre un parcours, un sentier nous permettant de quitter notre errance « dans le champ de la religion » afin de « rechercher » la vérité. En d’autres termes de mener une quête. Maïmonide se propose dès lors d’être le guide de R. Yossef, fils de R. Yehuda, son élève. Durant cette progression, le penseur utilisera les plus éminentes connaissances de son époque sans pour autant hésiter à se montrer critique à l’égard de

ambivalente de la passante : une femme à la fois attirante et effrayante. * portrait physique : élégance et beauté sculpturale. * Description insistant sur l’élégance : « majestueuse », « main fastueuse », « noble », robe longue → soulever « l’ourlet » « le feston » →bourgeoise, « grand deuil » → habillée de noir mais sans doute vêtements somptueux * Description aussi sur la perfection physique : silhouette élancée (« longue et mince »), corps sculptural (« jambe de statue »)→ Baudelaire

beauté avec liberté. Pourtant définir la poésie par la simple capacité à présenter les merveilles de la création est bien restrictif. c. Finalement la beauté, une quête poétique Plus que montrer la beauté, la poésie l’explique pour que nous comprenions mieux notre monde. Beaucoup de poètes sont en effet dans une quête de perfection absolue, comme par exemple le mouvement parnassien de la moitié du 19 eme siècle. Pour le Parnasse, «  l'art n'a pas à être utile ou vertueux et son seul but est la

sociale C) Principes physiques D) Utilisations diverses II- Symbolique A) Le miroir métaphorique B) Piège du regard C) Connaissance de soi D) Quête d'adéquation BIBLIOGRAPHIE • « Le miroir, essai sur une légende scientifique, révélations, science fiction » de Jurgis Baltrusaitis • « On reflection » de Jonathan Miller • « Histoire du miroir » de Sabine Melchior-Bonnet • « Le miroir, symbole des symboles » de Régor-Robert Mougeot • Cours de physique de MANAA sur la

Quête et Idéaux ETUDE COMPAREE DE: Perceval ou le conte du Graal, de Chrétien de Troyes et Le voyage de Saint Brendan, de Benedeit « Chevaliers, dames et amour manquent, mais la figure du héros élu et « errant » est bien placée, les péripéties abondent, et tout l'espace narratif dans lequel se déplacent les actants est structuré autour d'une quête » affirment Ian Short et Brian Merriles dans leur Présentation du Voyage de Saint Brendan. Ainsi soulignent t-ils le lien unissant cette

Superlatifs : l.8 apparence engageante et noble (implicite : noblesse morale + importante que noblesse de naissance) - Avait su mettre des bornes… : sagesse - Maison : petite et ss ornement mais propre( modestie ; reflète la sagesse - Physique : frais, jamais malade ( à l’abri des passions - Habits : simplicité Rencontre avec l’auteur : pas de formules de politesse, pas de révérence, mais apparence de politesse « naturelle » - formules alambiquées de Voltaire/ simplicité

bible… Après la première étape de découverte, l’impétrant doit essayer de pénétrer le sens symbolique de chaque objet. La mise en scène de ces objets est censée susciter la réflexion. Le crâne doit être mis en exergue car il est symbole de mort physique mais aussi le siège de la pensée. Il est le réceptacle du cerveau qui gère la réflexion. Jadis le cœur était le symbole de l’esprit, mais les progrès de l’anatomie et de la physiologie ont démontré le rôle du cerveau, véritable « centrale de contrôle »

(Tiburce), nos Pygmalion connaitront toujours une fin plus ou moins tragique Cette note finale malheureuse est un aboutissement à une vie préalable torturée là encore en raison de Galatée. En effet, Pygmalion est à la recherche de son idéal esthétique, quête perpétuelle qui le rend fou car s’avère impossible : Frenhofer recherche à tout prix à exprimer la nature à travers son art (p 30 « la mission de l’art n’est pas de copier la nature, mais de l’exprimer »), il s’y emploie pendant dix ans de sa vie au