La Rafle De Roselyne Bosch

message. L’exemple type est les Fables de Jean de la Fontaine, avec des procédés artistiques et des métaphores, il arrive à faire une critique précise de la société monarchique. Prenons un deuxième exemple avec le film La Rafle réalisé par Roselyne Bosch en 2010 qui illustre la Rafle du Vel’ d’Hiv’ datant de 1942. On peut donc ajouter que l’art est mis au service d’une cause passée mais qu’il peut continuer cette mission aujourd’hui. Continuons avec l’idée que l’art peut être porteur d’une vision du

LA RAFLE Problèmatique :Quel était le sort des enfants du Vel’d’Hiv ? Introduction : Présentation du film. Nature de l'oeuvre : La rafle a été réaliser par Roselyne Bosh, ancienne journaliste d'investigation, avec l'aide du point de vue de Joseph Weishmann qui a témoigner de ce qu'il a vécu là-bas lorsqu'il avait 10ans. C'est un film du genre drame historique,la tristesse est apportée par la rafle des hommes juifs en France et sa cruauté envers eux-même. Cette œuvre française est sorti

Harry Potter Chris Colombus. Dans ces films le train représente le passage entre le réel et l’imaginaire. Le train sert donc de transition entre ces 2 mondes alors qu’au départ c’est un moyen de transport. (Wendy qui parle) -La mort: La rafle de Roselyne Bosch, Le pianiste de Roman Polanski, La vie est belle de Roberto Begingni, Elle s’appelait Sarah de Gilles Paquet Brenner: ces films sont reliés à la Shoah et le train est le symbole de la mort puisque c’est lui qui mène à la déportation des juifs

que les films comiques comme « bienvenue chez les ch’tis » de Dany Boon, tragique comme le célèbre film « Titanic » de James Cameron, mais aussi des films d’horreur par exemple « Silent Hill » ou encore des films historiques comme la « Rafle » de Roselyne Bosch qui raconte l’arrestation par des policiers de milliers de juifs. Le cinéma dispose de plus de libertés que le théâtre. En effet, le cinéma est libre de changer de lieu et de décor, ce que ne peut offrir le théâtre à cause de la contrainte

chanteurs, tel que Georges Brassens et Jean-Jacques Goldman ont également exprimé ce besoin de mémoire à la Shoah. Un style artistiques est donc créé, et continu d’être entretenu par les artistes d’aujourd’hui, notamment grâce au film « La rafle » de Roselyne Bosch (2010). VI- Conclusion Jean Ferrat souhaite que cette mémoire se transmette à travers les âges et ne soit jamais oublié : « pour qu’un jour les enfants sachent qui vous étiez » (l.32) Il entretient le devoir de mémoire par une musique

SORBONNE, 2001, 401 pages -Alexis Rosenbaum, L'antisémitisme, BREAL, 2006, 124 pages -Michèle Cointet-Labrousse, Vichy et le fascisme: les hommes, les structures et les pouvoirs, COMPLEXES, 1987, 267 pages 2)Rafles et dénonciations -Roselyne Bosche, La Rafle, GAUMONT, 2009, 1 heure 55 minutes -Jacques Fijalkow, Vichy, les juifs et les justes, PRIVAT, 2003, 303 pages -Serge Klarsfeld, Vichy-Auschwitz, FAYARD, 2001, 391 pages -Jean Estèbe, Les Juifs à Toulouse et en midi toulousain au

film documentaire « Nuit et brouillard » de Alain Resnais (1955) ou encore les peintures et dessins de David Olère. Un style artistiques est donc crée, et continu d’être entretenu par les artistes d’aujourd’hui, notamment grâce au film « La rafle » de Roselyne Bosch (2010). => Jean Ferrat souhaite que cette mémoire se transmette à travers les âges et ne soit jamais oublié : « pour qu’un jour les enfants sachent qui vous étiez » (l.32) Jean Ferrat entretient le devoir de mémoire par une musique violente

Georges Brassens (1964) ou encore « Comme toi » de Jean-Jacques Goldman (1982). Il y a aussi Primo Levi avec son livre « Si c’est un homme » (1947), le film documentaire « Nuit et brouillard » d’Alain Resnais (1955) ou encore le film « La rafle » de Roselyne Bosch (2010).

documentaire « Nuit et brouillard » de Alain Resnais (1955) ou encore les peintures et dessins de David Olère. Un style artistiques est donc crée, et continu d’être entretenu par les artistes d’aujourd’hui, notamment grâce au film « La rafle » de Roselyne Bosch (2010).

persécution des Juifs et la Shoah. ( William Styron, Le Choix de Sophie. Dilemme entre deux options insoutenables. Films : ( Roberto Benigni, La Vie est belle. Comédie tragique sur la déportation à Auschwitz. ( Roselyne Bosch, La Rafle. Sur la Rafle du Vel’ d’Hiv’, en 1942, à Paris, et la participation de la police française. ( Rony Brauman et Eyal Sivan, Un spécialiste, portrait d’un criminel moderne. Documentaire sur le procès d’un criminel nazi, Eichmann, qui a supervisé