La Raison Peut Elle Vouloir La Violence

L'homme est un être vivant qui détient, de façon totalement innée, une conscience morale, une raison qui entraîne chez lui le besoin d'une certaine légitimité, égalité et la volonté de paix dans la société dans laquelle il vit. Il a conscience des inégalités naturelles (physiques, psychologiques...) qui différencient chaque individu de sa société, c'est pour cela qu'il a besoin de justice afin de créer une certaine homogénéité entre chaque individu unique de son pays, puis, par suite, se sentir en

fascine. -> coupé du monde Les passions ne produiront que des réactions aliénantes, obstacles à la liberté oppose raison et passion en les situant dans des parties distinctes de l’âme. La partie rationnelle est localisée dans la tête tandis que la partie désirante, qui est le siège des passions, est localisée dans le ventre. Les passions conduisent l’homme à négliger la raison, à ne plus vivre que selon sa sensibilité et ses impulsions, c’est-à-dire à vivre dans l’illusion en ignorant à la fois

S’il était aussi facile de commander à l’esprit qu’à la langue, tout pouvoir régnerait en sécurité et nul gouvernement n’appellerait la violence à son secours. Conscience Personne ne peut faire ainsi l’abandon de ses droits naturels et de la faculté qui est en lui de raisonner librement et de juger librement des choses ; personne n’y peut être contraint. Raison C’est que toutes ces choses sont le droit propre de chacun, droit qu’aucun citoyen, le voulût-il, ne saurait aliéner. Mais, quelle que

pour violences volontaires sur son mari ayant entrainé une infirmité permanente. Quel argument peut-elle invoquer pour tenter d’échapper à sa responsabilité ? L’art 122-1 al 2 du Code pénal énonce que n’est pas pénalement responsable pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes. En théorie, le trouble peut aussi bien être général que spécial. Le trouble peut être

serions dans un état de guerre de chacun contre chacun. Comme le dit Locke, « la liberté consiste à être délivré de la contrainte et de la violence exercées par autrui » : la loi contraint chacun à respecter les droits inaliénables de tous. Cependant, si la loi est ressentie comme contraignante, permet-elle vraiment l'existence de la liberté ? A quelles conditions peut-on concilier contrainte et liberté ? [B. Obligation et contrainte] Dire que la loi est contrainte, c'est considérer qu'elle va à l'encontre

convoque tous les procédés de la fiction, l’illusion des lieux et qu’on s’y déplace, la proximité des visages, le grain ou le rythme des voix : le plaisir, c’est d’amener l’écriture là où le réel est énigme, où la raison ne peut aider à comprendre. A quel moment recourt-on à la violence, comment occupe-t-on le temps vide, pourquoi, quand les usines ont fermé, dedans on a fait la fête… Pendant ce temps, le roman avec nom de personnage et petite histoire continue d’occuper le milieu du paysage, comme

un roi féodal puisqu’il réunit un conseil pour solliciter son avis (« Le Lion tint conseil » vers 15). Il prétend vouloir protéger ses vassaux face à l’épidémie de peste. Les premiers vers de son discours (« Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous [..] » vers 16-18) sont des octosyllabes avec des modalisateurs (« crois » vers 16 « peut-être » vers 20) qui montrent une certaine humilité qui se révèle être de la fausse modestie, puisque succède tout

d'avoir des enfants. Cette tendance présente des risques : dans l'histoire, en effet, on a vu que les différences entre hommes et femmes étaient surtout invoquées au détriment des femmes. D'autre part, ces supposées différences de genre n'existent peut-être pas dans la nature, mais sont surtout d'ordre culturel et établies au profit du pouvoir en place. C'est ce que veut dire la fameuse citation de Simone de Beauvoir : «On ne naît pas femme, on le devient». D'autre part et surtout, il faudrait arriver

PLAN : I) Le rôle de l’Etat dans les démocraties occidentales A) Etat, monopole de la violence légitime B) L’Etat français, un et indivisible ? II) Quelles réactions face à une remise en cause de son autorité et de son indivisibilité ? A) La volonté des peuples à disposer d’eux-mêmes B) Un Etat affaiblie entraine la perte de l’idéal de Nation Eléments pour répondre au sujet : I-A) Etat, monopole de la violence légitime Dans Le Savant et le politique, Weber cite Trosky « Tout Etat est fondé sur

à dire en ayant son libre arbitre, par opposition à la personne qui la perdue. La loi pénale vise à sanctionner les conséquences antisociales d’un acte volontaire. En l’absence de volonté (en cas de démence ou de force majeure par exemple), il ne peut y avoir d’infraction. Cela est valable tant pour les infractions intentionnelles que pour les infractions non intentionnelles que sont notamment les délits d’imprudence et la plupart des contraventions de police. L’élément matériel ne suffit donc