La Raison Peut Elle Vouloir La Violence

chacun s'imposent par la raison, et non par la force, puisque les lois d'un État bien constitué interdisent justement le recours à la force pour faire prévaloir son opinion (car ce serait le retour à la guerre civile). 2.  a) La loi telle qu'elle est m'interdit de faire ceci ou cela. Je peux tout à fait trouver cette interdiction stupide ou injuste, et je peux à bon droit exposer publiquement mon désaccord ; si par mes arguments j'arrive à convaincre assez de monde, il se peut d'ailleurs que la loi

Violence et colère à l’âge de la globalisation Entretien avec Arjun Appadurai Arjun Appadurai, né en 1949 à Bombay en Inde, est un sociologue culturaliste et anthropologue, qui étudie la modernité et la mondialisation. Il fait ses études aux États-Unis et notamment à l'université de Chicago où il obtient une maitrise. Et un doctorat. Ses principales études portent sur les conflits pendant la colonisation (1981), sur les différences et les réappropriations culturelles dans la mondialisation…

poursuivre une double-finalité : légitime et sûre c.-à-d. juste, conforme à un idéal moral, en accord avec le respect de la dignité humaine et avoir une stabilité, être pérennes* donc durables, signe de leur validité et parce que l'exercice du pouvoir ne peut se faire que dans et par la stabilité. Première finalité de l'Etat : assurer la paix sociale. Si je ne vis pas en sécurité je ne peux pas faire un usage de ma propre liberté. Dble finalité qui fait que Rousseau, pourtant philosophe moderne, réfléchit

Cependant, on constate que toute action humaine repose sur un certain nombre de contraintes, ne serait-ce que les limites naturelles imposées par la condition humaine : on ne peut pas marcher sur l'eau, on doit mourir un jour... De plus, l'être humain est un individu social qui ne se réalise qu'au contact d'autres hommes. Or, peut-on penser que ceux-ci resteraient libres, sans morale ni contraintes publiques ? L'objection nous montre que notre définition est trop large car l'on risque de nier toute

excellent c’est quelqu’un qui n’a pas de malice et qui ferait d’énorme sacrifice pour les autres. L’excellence représente en autre une personne qui ne possède aucun défaut et qui réunit toute les qualités qu’un être humain peut avoir. Il développe des théories du combat contre la non-violence et la désobéissance civile. Il a mis sa vie en danger en s’engageant dans l’armée pour soutenir les Britanniques dans la première guerre mondiale. Aussi, il s’engage à accorder l’indépendance de l’Inde et plus encore

l’ingénu A- Les marques de l’ingénuité B- L’ingénu a-t-il tort ? III- Les intentions de Voltaire A- Signification de Versailles B- Comment devrait s’exercer le pouvoir ? Partie 1 : la drôlerie A- Les traits d’humour de Voltaire On peut voir plusieurs traits d’humour de Voltaire dans le texte : Il était en affaire avec une dame – connotation polisson, coquin. Son prénom Hercule se révèle bien choisi : »il les bâtit » Structure en asyndète : « je m’appelle ... au roi » B- La

UNE GUERRE PEUT-ELLE ÊTRE JUSTE ? Les conflits entre les hommes ont toujours existé. Souvent, ceux-ci se sont transformés en guerres pour prouver ou imposer par la force leurs opinions, leurs valeurs et leurs actions. Pour justifier ces hostilités, les hommes d’état ont utilisé autant de motifs qu’il y eut de guerres. Pour les vainqueurs, ces prétextes furent considérés comme juste, tandis que pour les vaincus, ils furent décriés comme illégitimes. Mais au cours des siècles, devant les nombreuses

is bloody. Revolution is hostile. Revolution knows no compromise. Revolution overturns and destroys everything that gets in its way.” Cette phrase de Malcom X extraite du Message to the Grass roots, (discours du 10 novembre 1963) met en avant la violence, la brutalité, la radicalité, la force de destruction qu’implique le concept de révolution dans notre pensée contemporaine. Mais cette définition est celle d’une des nombreuses strates qui composent cette notion. En effet, avant d’apparaitre dans

On peut d’abord commencer par voir que le mal n’est pas vu de la même manière par tout le monde. Tout le monde, c’est la société, le monde qui nous entoure. La question peut être : le mal, qui est en nous et propre à l’homme peut il agir de la même manière sur moi et sur autrui. C’est à dire, qui est la victime ? Celui qui vit le mal ? Ou celui qui le fait ? Celui qui fait le mal l’a déjà subit. Je ne peux faire souffrir quelqu’un sans avoir déjà connu la souffrance. Ce n’est pas une raison pour

faut constamment lui rappeler ce qu’il a le droit de faire et ce qui lui est interdit, lui redéfinir également le rôle des éducateurs; un rôle qu’il a tendance à vouloir prendre. Il est toujours dans l’observation et imite en permanence ceux qui l’entourent. Il a un rapport à la femme et à la sexualité très compliqué, ses crises de violences découlent souvent des pulsions qui l’animent et de son incapacité à les gérer et à les exprimer autrement. Il a de gros problèmes d’élocutions ce qui ne facilite